Les polycliniques marocaines (au nombre de 13) passent dans le giron du privé. Voilà la santé et la gestion des établissements publics de la Caisse nationale de la sécurité Sociale (CNSS) qui tombent sous l’escarcelle du privé. Certes, c’est peut-être un mal pour un bien (tant l’état des polycliniques laissaient à désirer ainsi que le déficit en équipements), néanmoins, la prudence doit être de mise car on ne peut pas traité à la légère l’environnement médical de