Deux mois après l’ouverture du procès de Philippe Servaty, le verdict est enfin tombé. Le pornographe d’Agadir a écopé de 18 mois de prison avec sursis. Et même si la peine semble légère, la partie civile se réjouit car c’est une première en Belgique. Cependant, l’avocat des victimes estime que prochainement, c’est la justice marocaine qui devra condamner ce genre de faits.
Le 19 février prochain, le juge prononcera la sentence de Philippe Servaty alias le pornographe d’Agadir. Une affaire à couper le souffle qui a bouleversé les Marocains. Thierry Berthier, un jeune français cadre de société, s’en est inspiré pour écrire un roman : Khanssae, récemment publié. Il ne relate pas uniquement le fait divers d’Agadir digne d’un scénario hollywood, mais il met aussi
Philippe Servaty, connu sous le surnom de «pornographe d’Agadir», a comparu devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, ce matin, huit ans après les faits. La partie civile espère encore que justice soit faite. Au Maroc, certaines victimes majeures de Servaty ont été condamnées à un an de prison pour débauche.
On n’avait plus entendu parler de cette affaire scandaleuse (cf article) depuis plusieurs années et voilà qu’elle refait surface. En effet, l’ancien journaliste belge du «Soir» Philippe Servaty, surnommé par les médias «le Pornographe d’Agadir» repasse devant la justice début février 2012 en Belgique. Le début d’une nouvelle et longue procédure judiciaire qui mettra, peut-être,