Les établissements de santé marocains -privé et public confondus- sont en bien mauvaise posture. La corruption y est monnaie courante, banalisée, et implique aussi le patient que le personnel de santé. Selon une étude de l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC), 53% des pots-de-vin sont délivrés à l’admission dans un centre hospitalier. Casablanca et Rabat sont les villes où la corruption