Shimon Peres jouissait d’une bonne presse auprès du Maroc officiel, notamment sous le règne de Hassan II. En revanche, les organisations de défense des droits des Palestiniens et certains partis panarabes et islamistes gardent de lui une autre image. En 2015, des avocats marocains avaient même demandé son interpellation alors qu’il était sur le point de se rendre à une conférence internationale organisée par la fondation
Le Parti du progrès et du socialisme (PPS), l’association Justice et bienfaisance et le Mouvement unicité et réforme (MUR) ont exprimé leur solidarité avec le Liban, en proie à de violents raids d’Israël. Par la même occasion, la formation de gauche et les organisations islamistes ont appelé à la fin de la normalisation avec l’Etat hébreu.
Résidents dans la bande de Gaza sous la guerre de l’occupation israélienne, des ressortissants marocains ont fait part à Yabiladi de leurs souffrances quotidiennes face aux offensives en cours, aux déplacements forcés et au manque de ressources. Dans ce contexte, ils ont appelé le gouvernement marocain à permettre leur évacuation d’une région où désormais, aucun endroit n’est sûr.