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Israel Etat voyou
17 juillet 2014 10:16
Des militants d'extrême-droite israéliens ont été filmés et photographiés avant, pendant et après avoir passé à tabac des manifestants de gauche opposés à l'intervention d'Israël à Gaza, à Tel Aviv ce samedi. En analysant les images, on remarque que certains d'entre eux portaient des t-shirts affichant des symboles néo-nazis. Un paradoxe qui paraît incompréhensible.

Le 12 juillet dernier, à Tel Aviv, des militants d’extrême-droite israéliens ont passé à tabac des manifestants pacifistes israéliens (marqués à gauche), opposés à l’intervention de Tsahal à Gaza.

Des photos et vidéos des scènes qui ont précédé ce tabassage montrent que parmi les contre-manifestants avides d’en découdre, certains portaient des symboles d’extrême-droite radicale. Il s’agit de t-shirt "Good night left side" (‘Bonne nuit la gauche’) dont le logo représente le passage à tabac d’un militant de gauche.
Jusque-là, rien de très étonnant pour des militants d’extrême-droite sauf que ces t-shirts sont habituellement portés par une branche bien spécifique de la droite extrême, à savoir le courant néonazi. Le site de vente en ligne de vêtements néonazis werwolfwear.com propose par exemple ces t-shirts à ses clients.
L’information a été révélée par un bloggeur israélien et reprise par le quotidien israélien Haaretz.

Selon ce dernier média, la rixe a eu lieu Square Habima dans le centre de Tel Aviv. La vidéo ci-dessous montre la détermination et la violence de ces groupes.


voir video dans ce lien
la pressetitué francaise et les merdias sont aux gabonnais absent comme d'hab

[www.rtbf.be]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
18 juillet 2014 11:20
« Depuis les toutes premières périodes de son évolution moderne et jusqu'à ce qu'il aboutisse à la création d'Israël, le sionisme plaisait à un public européen pour qui la classification des autochtones des terres étrangères en plusieurs classes inégales était canonique et « naturelle ». C'est pourquoi, par exemple, tous les Etats ou mouvements des territoires anciennement colonisés d'Afrique et d'Asie, sans exception, s'identifient à la lutte palestinienne, la comprennent et la soutiennent totalement. A maints égards (...) il y a une incontestable ressemblance entre l'expérience des Palestiniens arabes aux prises avec le sionisme et l'expérience de ces peuples noirs, jaunes ou bruns qui furent dépeints comme des êtres inférieurs ou des sous-hommes par les impérialistes du dix-neuvième siècle. Parce que, bien qu'il ait coïncidé avec une ère où l'antisémitisme était le plus virulent en Occident, le sionisme a aussi coïncidé avec une période sans précédent d'acquisition de territoires par l'Europe en Afrique et en Asie, et c'était en tant que partie de ce mouvement général d'acquisition et d'occupation que le sionisme, initialement, avait été lancé par Theodor Herzl. Durant les dernières décennies de la plus grande période d'expansion coloniale européenne, le sionisme fit aussi ses premiers et déterminants préparatifs pour obtenir ce qui est maintenant devenu un large territoire d'Asie. Et il est important de rappeler qu'en se joignant à l'enthousiasme général de l'Occident pour l'acquisition de territoires au-delà des mers, le sionisme ne s'est jamais présenté sans ambiguïté comme un mouvement de libération juif, mais plutôt comme un mouvement juif d'implantation coloniale en Orient. (...)

Ce ne sont pas là des commentaires historiques dépassés et oiseux car (...) ils expliquent et même déterminent beaucoup de ce qui se passe aujourd'hui au Moyen-Orient. Le fait qu'aucune partie notable de la population israélienne n'a jusqu'à présent été capable de faire face à la terrible injustice sociale et politique faite aux Palestiniens natifs indique combien sont ancrées les anormales (encore maintenant) perspectives impérialistes fondamentales du sionisme, sa conception du monde, sa conviction de l'infériorité de l'Autre. »




.../...




« (...) Il est clair que dans la pensée de Herzl cela ne pouvait avoir lieu qu'à la condition qu'il y eût, au départ, une tendance de l'Europe à considérer les autochtones comme négligeables. C'est-à-dire que ces autochtones entraient déjà dans une grille de classification plus ou moins acceptable, qui faisait d'eux, sui generis, des êtres inférieurs aux hommes blancs ou occidentaux - et c'est cette grille culturelle de leur époque que les sionistes comme Herzl se sont appropriées, l'adaptant aux seuls besoins de nationalisme juif en développement. (...) »

« Finalement, qu'a ressenti la victime quand elle a vu les sionistes débarquer en Palestine ? Que pense-t-elle de ce qu'on dit du sionisme aujourd'hui ? Où et comment, à ses yeux, les pratiques qu'elle subit s'inscrivent-elles dans l'histoire du sionisme ? Ce sont là des questions qui n'ont jamais été posées ».




.../...




« Toute personne bien intentionnée peut donc à la fois s'opposer au racisme sud-africain ou américain et soutenir la discrimination raciale pratiquée par le sionisme (...) »

« Il faut répéter que ce qui dans le sionisme visait les objectifs sans doute justifiés de la tradition juive - préserver le peuple de l'exclusion et de l'antisémitisme et rétablir son identité nationale - correspondait aussi à ces aspects de la culture dominante (où, organiquement, le sionisme avait sa place) qui rendaient possible pour les Européens le fait de juger inférieurs, négligeables et sans importance les non-Européens. Pour l'Arabe palestinien, c'est donc la collaboration qui a compté. (...) L'Arabe a fait les frais non d'un sionisme bienveillant - qui était réservé aux Juifs - mais d'une culture essentiellement puissante et discriminante dont le sionisme a été l'agent en Palestine. »

Edward W. Saïd
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
18 juillet 2014 19:51
En déclarant accepter le plan égyptien pour un cessez-le-feu, l'Etat d'Israël a cherché durant quelques heures à se donner le beau rôle et à faire oublier les crimes de guerre perpétrés contre la population civile de Gaza durant plus d'une semaine de bombardements aériens qui ont fait près de 200 morts et des centaines de blessés. Comme on pouvait s'y attendre, les réserves exprimées par le Hamas palestinien à propos de l'initiative égyptienne ont été dénaturées par les médias mainstream et ont été présentées comme un refus du cessez-le-feu, justifiant ainsi par avance la reprise des raids israéliens contre Gaza.

Que s'est-il passé au juste ? D'abord, au moment où les médias mainstream se sont relayés l'information israélienne, le Hamas n'avait pas refusé le cessez-le-feu en question pour la bonne raison qu'il n'a pas encore été à ce moment destinataire d'une quelconque initiative. Les discussions secrètes ont eu lieu entre les généraux égyptiens et les représentants du gouvernement israélien et ce dernier a vite fait de donner son accord à la partie égyptienne sans attendre que la partie palestinienne en prenne connaissance.

Il est normal dans ces conditions que le Hamas se méfie et demande à connaître les détails de l'initiative avant de prendre position surtout qu'il n'est pas sans ignorer les motivations secrètes du régime militaire égyptien dont la dernière mise en scène diplomatique s'apparente à un cadeau à son acolyte israélien en vue de lui donner un nouveau prétexte dans sa guerre destructrice. Le Haaretz israélien vient de découvrir le pot aux roses en divulguant que le document de l'initiative égyptienne a été rédigé en collaboration avec des experts israéliens!

En dépit de tout cela, quelques heures après que le gouvernement israélien eût déclaré accepter la trêve proposée par l'Egypte, le porte-parole du Hamas a fait savoir que son mouvement était en train d'étudier l'initiative rejetée entre-temps par le Djihad islamique. En rappelant les conditions qui pourraient selon lui ramener la paix, à savoir la cessation des bombardements israéliens, la fin du blocus qui frappe Gaza depuis 2006, la réouverture du terminal de Rafah et la libération des prisonniers palestiniens, le Hamas n'a fait que mettre le doigt sur les véritables enjeux de cette énième guerre d'agression contre Gaza.

Ce sont ces enjeux que la désinformation systématique des médias occidentaux et arabes cherche à cacher à l'opinion publique. Ce faisant, Gaza ne subit pas seulement les conséquences d'une agression aérienne complètement disproportionnée par rapport aux tirs de roquettes que la propagande israélienne agite régulièrement mais doit aussi faire face à une guerre psychologique et médiatique aux conséquences aussi ravageuses.

Israël peut envoyer son armada aérienne contre Gaza sans subir l'opprobre des nations parce qu'il peut compter la complicité des grandes puissances qui régentent le monde mais aussi sur la complaisance des médias qui font et défont l'opinion publique mondiale. Certes, ces médias montrent les images des victimes civiles des bombardements israéliens mais ces images sont toujours accompagnées d'un discours qui feint de regretter qu'à côté des terroristes éliminés, il y a toujours malheureusement des civils innocents.

L'information essentielle qu'on cherche à faire passer est toujours la même et elle accompagne désormais comme une litanie toutes les guerres de l'Empire contre le terrorisme: les victimes civiles sont des victimes collatérales obligées d'une guerre qui resterait quant à elle légitime dans ses motivations profondes dans la mesure où il s'agirait partout de la défense de la civilisation contre la barbarie intégriste.

Dans cette guerre médiatique sans laquelle la guerre tout court ne serait pas possible, les néoconservateurs de la droite dure et les sociaux-démocrates de la gauche caviar se retrouvent au fond sur la même longueur d'onde. Pour les premiers, à la guerre comme à la guerre et Dieu reconnaître les siens. Pour les seconds, Israël devrait faire preuve de retenue et de mesure dans l'espoir qu'une guerre mieux ciblée permettrait d'atteindre les objectifs escomptés sans susciter la colère de l'opinion publique.

Dans ce contexte, la dernière "information" relayée par les médias mainstream suivant laquelle le Hamas aurait refusé le cessez-le-feu accepté par le gouvernement israélien fait partie d'un plan d'intoxication médiatique servant à justifier une fois de plus le soutien de la classe politique toutes tendances confondues à l'intensification de l'agression israélienne quelques heures seulement après l'annonce d'une trêve imaginaire. Cette désinformation n'a fait que reprendre celle qui a accompagné depuis le début l'agression israélienne suivant laquelle Israël n'a fait que riposter aux tirs de roquettes du Hamas et à l'assassinat de trois adolescents israéliens en Cisjordanie.

Pourtant, le casus belli était tellement grossier qu'il ne méritait même pas qu'on s'y arrête si ce n'était la complaisance aveugle des médias quand il s'agit de défendre Israël. En effet, quel intérêt avait le Hamas pour tomber dans pareille extrémité quand on sait que l'accord qu'il a signé récemment avec la direction de l'autorité palestinienne lui a permis de surmonter l'isolement diplomatique et la crise financière dans lesquels Américains, Israéliens et Arabes ont voulu l'enfermer ?

Les véritables enjeux stratégiques de cette énième guerre israélienne, au premier rang desquels se trouve précisément l'acharnement américano-israélo-égypto-saoudien à détruire l'accord de réconciliation inter-palestinien signé entre le Hamas et le Fatah, seront une fois de plus occultés de la même façon que les manœuvres underground des services occidentaux et arabes en vue de faire avorter les velléités révolutionnaires et indépendantistes dans la région continueront à être mises sous le boisseau au profit de la sur-médiatisation des avancées et des massacres accomplis en Syrie et en Irak par les néo-djihadistes de l'EIIL qui sont arrivés comme par hasard au bon moment pour dénaturer et diviser la résistance aux pouvoirs en place et semer le trouble dans une opinion publique arabe déboussolée et impuissante.

L'Empire a tout intérêt à cacher à l'opinion publique les enjeux véritables dont la prise de conscience pourrait accélérer les décantations sociales et politiques et dicter aux peuples qui ploient sous le joug de la mondialisation et de la dérégulation néolibérale de nouvelles alliances géostratégiques à l'échelle mondiale. Dans cette guerre totale et planétaire, Israël occupe une place symbolique forte non seulement en raison du sentiment de culpabilité qui habite de nombreux esprits européens suite aux souffrances historiques infligées aux juifs d'Europe mais surtout parce qu'il fait appel aux fantômes historiques qui continuent de hanter l'imaginaire politique européen: colonialisme, racisme et militarisme.

La sécularisation et la racialisation d'un mythe religieux comme celui de "peuple élu" sont aujourd'hui intériorisées et sublimées par les médias occidentaux pour devenir une sorte de mot de passe secret qui justifie qu'on passe toujours au second plan les victimes collatérales des guerres israéliennes qui sont systématiquement présentées comme des guerres par définition défensives.

Ce faisant, les médias mainstream partagent sans complexe la négation du peuple palestinien renvoyé à l'image de l'Autre absolu. Dans ce discours foncièrement raciste, les civils des deux côtés ne se ressemblent pas, ne se valent pas. Il y a les civils israéliens que les bruits des sirènes d'alarme suffisent à traumatiser et il y a les civils palestiniens qui servent de boucliers humains aux terroristes du Hamas. Dans ce discours, il n'y a ni colons ni colonisés, ni occupants ni résistants. Il y a des humains normaux qui veulent profiter tranquillement du soleil et des belles plages de Palestine et il y a les Autres, qui ressemblent à "nos immigrés" d'ici et qui ne savent pas tenir la place que le Système qui fabrique le chômage ici et la guerre là-bas s'entête à leur imposer.

C'est pourquoi, sans négliger les autres formes de solidarité civile et humanitaire avec le peuple palestinien en butte aujourd'hui à une agression barbare et sans minimiser les efforts courageux des comités de soutien qui sont souvent acculés à une activité militante qui ne dépasse pas le cadre groupusculaire en dehors des temps forts de la mobilisation conjoncturelle et affective , il y a un besoin urgent de se hisser au niveau des défis posés par cette guerre médiatique dont les lobbies israéliens en France et en Europe ont compris l'importance stratégique.

Si avec un millier de sms, le CRIF se permet aujourd'hui de mobiliser autant d'intervenants téléphoniques en vue de faire pression sur les journalistes de la presse audiovisuelle et écrite , qu'est-ce qui empêche les militants associatifs pro-palestiniens de réfléchir sur de nouvelles méthodes de travail aptes à relever le défi de cette nouvelle guerre médiatique ? Cette bataille médiatique est d'autant plus impérative qu'elle permettra du même coup aux militants associatifs pro-palestiniens de mieux se préparer à l'autre bataille politique qui les attend et qui consiste à mettre en œuvre une véritable stratégie en vue de débusquer et de contrebalancer le poids nocif des lobbies israéliens au sein des organisations politiques et syndicales de gauche.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
19 juillet 2014 07:10
Israhell pays colonial qui commet des crimes de guerre et la france pays des droits de l'homme qui bafoue la liberté d'expression et tous ca au 21ieme siecle!

La gouvernement d'eunuques politique francais complice de guerre de guerre par ses agissement
Hollande marionette du crif et de lieberman le sioniste assoifé de sang palestinien et arabe

22 juillet 2014 00:20
l'arméz sioniste entrain de gazer les habitant de gaza avec des bombes aux phosphore qui cuase des civiles sans defense a l'asphyxie.

Bruler des civil es: les cremotoire: déja fait
Gazer les civiles: chambres a gaz déja fait
les palestiniens avec des cartes speciales et des plaques speciales pour etre reconnu de loi : etoile de David : deja fait
La nuit de crystal= le quotidien des palestiniens deja fait
enlever les dents en or: voler les biens des civiles quand ils rentrent dans les maisons : deja fait

declaration des politiciens de leurs choix pour la solution finale ; deja fait

et malgré tous ca les politiciens europeenes apportent leurs soutiens indefectible a l"etat raciste

donc uls sont tous complice du genocide des palestiniens
donc tous devraient etre juger devant le tribunal de la haye
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
22 juillet 2014 16:08
Un ancien officier israélien : « Notre but était de semer la peur »
En novembre 2012, Israël a lancé à Gaza une opération baptisée « Amud Anan », qui peut se traduire littéralement par « colonne de nuages ». Le nom sous lequel elle a été officiellement désignée à l'étranger a pourtant été « Pilier de défense ». Il y a quelques jours, nous avons déclenché une nouvelle opération nommée « Puissante falaise », officiellement connue sous le nom de « Bordure protectrice ». Les deux dénominations choisies sont ostensiblement défensives. Mais quand j'entends les noms donnés aux opérations militaires à Gaza – notamment ceux destinés à un public international –, cela me rappelle mon service militaire dans l'armée israélienne, dont le nom complet est Forces de défense israéliennes (FDI).

Je me souviens ces jours-ci du fossé que j'avais découvert à l'époque de mon service militaire entre l'éthique que représente l'appellation même des FDI et les opérations militaires concrètes que nous menions en Cisjordanie. La tâche qui nous était assignée était défensive. Nous menions des opérations « préventives » permettant d'empêcher des actes terroristes. Mais mes amis et moi avions vite compris que l'adjectif « défensif » n'était qu'un terme qui pouvait dissimuler toutes sortes d'actions dont bon nombre étaient sans conteste des opérations offensives.

Moshe Yaalon, le chef d'état-major de l'époque devenu aujourd'hui ministre de la défense, nous exhortait à « brûler la conscience palestinienne ». Pour répondre à cet appel, on nous envoyait intimider et punir une communauté tout entière. Ces opérations étaient fondées sur la conviction que ces civils s'abstiendraient de se révolter si on les brutalisait, si on les opprimait et effrayait. Autrement dit, une « conscience brûlée » était une conscience effrayée.

la suite
[www.lemonde.fr]

Yehuda Shaul, Un vrai patriote qui mérite notre respect et notre support.
ancien fantassin puis officier de l’armée israélienne, est l’un des fondateurs de Breaking the Silence, une association d’anciens soldats critiques des autorités militaires de leur pays.
Ces gens courageux sont persecutés comme les refusnik en russie ou les résistant en allmagne nazi
26 juillet 2014 17:14
Israhell fait du chantage aux gros bonnet de ce monde pour obtenir ce qu'il veux.
compbien de videos et d'enregistrement de parlementaires pédophiles ou gay en pleine action ils ont pour pouvoir faire taire tout le monde?
le fait est que netanyahu le criminel de guerre a déja utilisé cette methode avec billy l'ameteur de stagiaires et de gateries.
[www.timesofisrael.com]


grace aux enregistrements il a obtenu la libération de l'espion du mossad Pollard.
ca explique pourqoui ils font tous dans leurs froque en france, uk, usa et ailleurs
je suis sur que meme banque ki mou est dans ses petits soulier a cause de l'une au l'autre affaire

affaires croustillantes dans les coffres du moussade
27 juillet 2014 23:02
le chantage grace aux affaire continuent
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
3 août 2014 23:02
l'etat voyou ecoutait les conversation de jhon kerry l'innocent
les zamericain sont fachés
[www.lemonde.fr]
Reporter Sans frontières Espagne a condamné samedi les « incessantes pressions des services diplomatiques israéliens en Espagne ».
[croah.fr]


Le célèbre penseur américain de confession juive, Noam Chomsky, a déclaré à Press TV ce samedi qu’Israël commettait des « crimes de guerre » d’une grande gravité à Gaza. Il a poursuivi en affirmant qu’Israël était bien pire que l’ancien régime d’apartheid en Afrique du Sud.

Voici le récit d’Alon Gorman, un jeune israélien qui a refusé de faire son service dans l’armée en 2012, et qui explique à quel point c’est « normal » pour les jeunes d’aller en guerre et pourquoi :

On ne se pose pas la question de savoir si c’est juste ou pas, on le fait. La « préparation » s’effectue au travers d’un travail systématique d’effacement de l’histoire de « l’autre ». On nous parle de « guerre de libération », on oublie la Nakba, on organise des visites guidées au delà de la Ligne Verte. Du coup, les jeunes ne comprennent pas le contexte, ils ne savent pas ce qu’est la Palestine, ils ignorent tout simplement ce qui se passe. Les soldats viennent faire un discours dans les écoles et racontent le moment où ces jeunes devront entrer dans l’armée. On peut dire que l’école est la première étape du recrutement. Cela se passe tout naturellement, comme si c’était apolitique, ce n’est pas ressenti comme un « endoctrinement ». Par ailleurs, les voyages organisés par l’école à l’étranger revêtent un caractère important, comme par exemple dans les camps d’extermination. J’ai remarqué à quel point cela a augmenté, chez des garçons de mon âge, le désir d’entrer dans des groupes de combattants.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
4 août 2014 02:04
same as nazi germany but now nazioniste
[5mfi.com]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
6 août 2014 09:27
Des soldats de retour de Gaza parlent comment ils tuent des civiles ,femmes et enafnts de sang froids
voila une information qui n'est pas présenté dans les merdias francophones
[www.irishtimes.com]
peu etre Hisham voudra faire une traduction?

voir aussi ce site qui reprends les témoignages de soldat avec une conscience et une morale.
Comme quoi il fat toujours garder l'espoir qu'un jours des gens bien pourrons œuvrer pour la paix même si aujourd'hui c'est une minorité
[www.breakingthesilence.org.il]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/08/14 09:32 par Btof.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
7 août 2014 10:28
Citation
omar625 a écrit:
il est plus facile de boycotter israel que n'importe quel pays arabe, à voir la liste des nombreuses entreprises citées ci-dessus, s'il s'agissait de boycotter un pays arabe c'est WALOU ! il n'y a rien à boycotter, circulez.
Au moins eux ils fabriquent, ils inventent, ils créent
,

Bonjour,

Tu as tout a fait raison, mais si, nous nous unissons soit certain que,l on gagnera, mais il faut nous,unire, et l Union fait la force comme l a mentionné Mellinda, on a la liste il suffit juste de la memoriser, et le boycott tiendra, vivement la défaite
9 août 2014 00:05
LA BOMBE. Snowden : « Le chef de l’EIIL, Al Baghdadi, a été formé par le Mossad »
[allainjules.com]

Hillary Clinton confirme

[www.tunivisions.net]

et L’EIIL révèle pour qui il oeuvre
[www.partiantisioniste.com]

et après on parle d'etats voyou?
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
10 août 2014 13:27
Depuis le « désengagement » de Gaza en septembre 2005, se succèdent, entre les opérations militaires d'envergure contre les Gazaouis, des épisodes de « paix » pendant lesquels la vie des Israéliens ressemble à celle des pays européens voisins. En Cisjordanie, l'occupation va bon train. Entre 2005 et 2011, la population de colons israéliens a augmenté de 22%, passant de 425 000 à 520 000 (excluant Jérusalem-Est).
Israël a gagné en tous points. Devant le non respect du droit international régissant les devoirs de l'occupant, la communauté internationale a baissé les bras. Depuis la signature des Accords d'Oslo en 1993, Israël n'a plus à se soucier des frais relatifs à ses responsabilités de puissance occupante. La logique guidant la partition des territoires palestiniens occupés oscille « entre présence et absence sélective, adressant deux stratégies israéliennes contradictoires : territoriale (qui tente d'annexer le plus de territoires possible) et démographique (excluant les zones fortement peuplées par des Palestiniens).» (Wizman, Hollow Land, 2007) Ainsi, les Accords d'Oslo et le « désengagement » ont assuré la pérennité de l'occupation et la colonisation en abandonnant le plus gros de la population palestinienne tout en gardant le contrôle sur l'ensemble du territoire encore colonisable.

La rentabilité de l'économie de la violence depuis le « désengagement » de Gaza, l'occupation est marquée par une administration de plus en plus dépendante d'une logique de « violence retenue » permettant à Israël d'affirmer sa domination sur les territoires palestiniens et sur la population tout en répondant à l'impératif économique. Comme le soulignent des universitaires israéliens, cette violence retenue « promet un contrôle maximal [...] au plus bas prix. ». Au-delà de la mitigation des répercussions politiques d'une longue occupation, l'administration israélienne, en plus de réduire les coûts économiques, exploite maintenant la violence dans les territoires palestiniens comme stimulus économique. C'est dans ce cadre d'économie de la violence qu'il faut situer la présente opération.

Gaza est ainsi devenu un véritable laboratoire d'expérimentation sur la misère humaine et sur le contrôle des populations « non désirables ». Laboratoire qui sert également à tester les techniques et armes développées par le complexe militaro-industriel. C'est ainsi que le gouvernement israélien relança l'économie propulsée par son secteur des technologies liées à la sécurité et à l'industrie de l'armement. Les Israéliens ont pris conscience de la « valeur » de leur expérience et savoir-faire en matière d'opérations militaires et policières dans un contexte post-9/11. Il en va de même pour l'armement testé sur des cibles humaines. Ainsi, à la question par le journaliste israélien M. Feldman « pourquoi une telle demande pour les armes israéliennes ? », le ministre de l'industrie israélien, M. Ben-Eliezer, affirmait « Si Israël vend des armes, les acheteurs savent qu'elles ont été testées. » Le journaliste demande alors si cette expérience avec la violence est liée à la croissance économique et le ministre répond : « cela génère des milliards de dollars ».

Cette économie de la violence retenue est basée sur un principe de modulation qui vise à éviter les débordements : des seuils à ne pas franchir sont déterminés pour maintenir un contrôle politique et économique efficace. Les dirigeants israéliens nomment « zone élastique de discrétion » cet équilibre dynamique. Des journalistes israéliens ont révélé l'existence d'un document appelé « Lignes rouges » qui établit une liste de ces seuils. Par exemple, le minimum de calories requises pour soutenir une population de 1.8 million de Gazaouis est réglé juste au-dessus de la définition du seuil de famine de l'ONU et la « zone de discrétion » est constamment réévaluée grâce à la surveillance permanente.

LA « PAIX », CETTE GUERRE SANS FIN

Alors qu'Israël se retire de Gaza, le compte de l'opération « Bordure Protectrice » s'élève à 1817 tués et plus de 9000 blessés du côté palestinien. Ces chiffres révèlent l'ampleur du drame qui se déroule sous nos yeux, qui n'est qu'une montée en intensité de la violence quotidienne de l'occupation.

Destitués via une politique raciale et identifiés comme un « problème démographique », les Palestiniens, entre deux opérations militaires, rencontrent constamment les obstacles de l'occupation qui les dirigent graduellement vers une mort beaucoup moins spectaculaire que les scènes télévisées actuelles. Cette forme de « mort en douceur » prend la forme d'un non-événement où les implications politiques et éthiques de l'État Israélien sont dissipées dans la matrice d'occupation qui implique la taxation, la séquestration de revenus, la violence quotidienne des colons israéliens, un blocus aérien, naval et terrestre, un réseau de « checkpoints », la multiplication des permis, des cartes magnétiques, etc.

Le politologue Achille Mbembe écrivait au sujet de la Palestine : « Les villages et villes assiégés sont enfermés et coupés du monde. La vie quotidienne est militarisée. Liberté est donnée aux commandants militaires locaux de tuer quand et qui bon leur semble. Les mouvements entre cellules territoriales nécessitent des permis officiels. Les institutions civiles locales sont systématiquement détruites. La population assiégée est privée de ses sources de revenus. Tuer de façon invisible s'ajoute aux exécutions ouvertes. » L'odeur des eaux usées suite au bombardement de l'usine de traitement, les coupures d'électricité, le vrombissement des drones, le blocus, les assassinats ciblés, les restrictions de déplacement, le manque de nourriture, les tirs sporadiques venant de la barrière de sécurité qui sert de cage aux Gazaouis sont autant de signes quotidiens qui rappellent que la « paix », de leur côté du mur, prend la forme d'une guerre sans fin.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
12 août 2014 09:11
La dictature militaire d'extreme droite persecute les journalistes, les intellectuels et les ONG.
C'est comme a l'epoque du Nazisme en Allemagne
Qui osera encore critiquer Tsahal ?

Des roquettes qui peuvent atteindre le nord d'Israël et des tunnels par dizaines : face à la puissance grandissante du Hamas, la société israélienne s'unit derrière son armée. Et gare aux voix dissidentes.
regrette un journaliste israélien sur le site d'information Al-Monitor. Il observe comment, de façon diffuse, "des hommes politiques et des journalistes que l'on considérait auparavant comme 'du centre' ont tous adopté la même attitude excessivement patriotique et militariste et louent à qui mieux mieux la 'résilience' et la 'ténacité' des Israéliens".

Ce qui est inquiétant, déplore enfin un article d'opinion dans Ha'Aretz, c'est que les intimidations ne viennent pas des services secrets ou du bureau de propagande de l'armée, mais de la société civile, dotée d'"une grande volonté de soumission d'une société aux ordres". Avec une telle société, conclut le papier, "a-t-on besoin d'un régime totalitaire ?"

[www.courrierinternational.com]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
23 octobre 2014 09:20
Le Nobel de la paix un gadget. Avec Obama ou Elie Vaissell il n'a plus de sens

J'ai toujours beaucoup appris des rubriques "potins", que nos journaux préfèrent appeler par pudeur "échos". Sans elles, comment saurions-nous qui roule pour qui, et dans quel intérêt ?
Avant de lire les pages d'information pure, allez donc jeter un œil à ces pages légères. Vous verrez, cela vous aidera à comprendre les rouages du système.

Renforcer la présence juive

Ainsi, vendredi dernier, Ha'Aretz comportait un encadré de remerciements, en hébreu, à ces "dizaines de nouvelles familles qui rejoignent la communauté juive dans la Cité de David" [nom donné au quartier arabe de Silwan à Jérusalem-Est, site de la Jérusalem antique du roi David, qui fait l'objet d'une campagne de 'judaïsation' démographique].

"Nous saluons l'engagement sioniste de tous les acteurs : nous sommes unis dans la volonté de renforcer la présence juive à Jérusalem. Avec vous, nous accueillerons les pèlerins qui nous rendront visite pendant les fêtes."

Le texte est suivi de signatures de proches du mouvement de colonisation Elad. Certains des noms sont totalement inconnus, mais d'autres étonnent. Après tout, c'est une organisation connue pour semer le trouble dans la "ville de la paix" [Jérusalem].

Que font-ils là ?

Je ne me suis pas étonné de voir le nom du chanteur israélien Yehoram Gaon - il voit des drapeaux partout. Mais que viennent faire là l'ancien chef des services de renseignements militaires, Amos Yadlin, l'ancien chef de la police, Shlomo Aharoniski, et l'ancien directeur de l'hôpital universitaire Hadassah, Shlomo Mor-Yosef ? Que fait ici Ilan Cohen, un ancien directeur du cabinet du Premier ministre ? Peut-être devraient-ils expliquer comment ils peuvent apporter leur soutien à des gens qui en expulsent d'autres [Palestiniens] pour s'emparer de leurs maisons ?

Et qui y a-t-il à leur tête ? Vous ne le devinerez jamais. Pas le magnat des casinos [le milliardaire américian] Sheldon Adelson. Pas l'homme d'affaires américain Irving Moskowitz et son épouse Cherna.

Non, à leur tête se trouve un homme étroitement lié à la mémoire de l'Holocauste, un lauréat du prix Nobel de la paix et de la médaille de la Liberté de la présidence américaine : Elie Wiesel. Un homme au sujet duquel le comité Nobel déclarait : "Elie Wiesel est un messager pour l'humanité ; son message est un message de paix, de pardon et de dignité humaine."

Voilà un homme dont on attend qu'il manifeste une sensibilité particulière aux souffrances d'autrui, et ce où qu'il se trouve, aussi bien dans la ville roumaine de Sighetu Marmatiei, dont il est originaire, que dans le quartier de Silwan à Jérusalem. Voilà un homme qui se targue d'être l'ami de Barack Obama mais qui soutient des gens qui insultent publiquement le président américain.

Les saboteurs du processus de paix

Avant chaque réunion à Washington [pour la paix israélo-palestinienne], les activistes d'Elad préparent une énième invasion à Jérusalem, sabotant du même coup les efforts laborieux accomplis par les négociateurs. Peut-être [le Premier ministre israélien] Benyamin Nétanyahou savait-il pourquoi il proposa, un temps, la présidence d'Israël à Elie Wiesel - nous en tout cas, nous ne comprenions pas.

Elie Wiesel se déclare en dehors de la vie politique israélienne. Chaque fois qu'on lui a demandé de réagir à quelque injustice autour de nous qui rappellerait quelque autre injustice lointaine, il a éludé.

Alors maintenant le voir lui, entre tous les hommes, pénétrant violemment dans une maison [palestinienne] puis une autre, des maisons acquises par des transactions douteuses, qu'on peut faire évacuer dans la nuit avant que les draps et le café aient refroidi ? Lui, entre tous, brandissant le châle de prière pour dissimuler un nettoyage ethnique ?

De toutes les organisations d'Israël, il a choisi Elad, la plus controversée, un mouvement sans vérité, sans grâce, sans compassion. On ne comprend que trop bien pourquoi Elad l'a choisi lui à la présidence ; mais pourquoi a-t-il accepté ?

Elie Wiesel est un homme immensément respecté, par les Juifs et par les nations non-juives, parce que ce survivant est devenu un témoin et un passeur pour toutes les victimes de l'Holocauste. M. Wiesel, pourquoi ne rendez-vous pas un peu de ce respect ? Revenez sur votre choix, n'associez pas votre nom à Elad, ne signez pas leurs remerciements infamants.
Ha'Aretz
| Yossi Sarid

Voila pourqoui l'extreme droite va gagner les prochaines elections partout dans le monde et que les sionistes vont devoir expliquer aux juifs du monde la cause de la haine anti juive
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
30 octobre 2014 05:56
Voila l'outil de la démocratie qui devient l'outil des opresseurs et qui prends partie pour les criminels de guerre d'israhell.
Il faut en prendre note


Le groupe Facebook "Solidarité avec les prisonniers palestiniens en grève de la faim en Israël" n'existe plus. Cette page, qui aurait récolté, selon les Palestiniens, l’adhésion de millions d'internautes a été fermée par Facebook, ainsi que celles créées par tous les groupes militaires palestiniens, nous apprend Al-Hayat.

Déjà en 2011, le réseau social avait fermé la page "La troisième Intifada palestinienne" un mois après son lancement, alors qu’elle avait été "likée" plus de 350 000 fois, selon le quotidien panarabe. Yuli Edelstein, le ministre de l’Information israélien de l’époque, aurait réclamé la fermeture de cette page au motif qu'elle incitait à "la haine des Juifs". Mais Yediot Aharonot l'explique autrement : en plein "printemps arabe", au cours duquel les réseaux sociaux avaient joué un grand rôle dans la mobilisation populaire, Israël avait craint que les Palestiniens ne se servent de ces outils pour appeler à une nouvelle Intifada.
Courrier international
| Marc Saghié
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
1 novembre 2014 09:05
La bête immonde dévoile ca face la plus horrible.
les criminels de guerre continuent avec leurs plans avec la complicité des prix nobels de la paix et les defonceurs de la démocratie Hollande,obama, Cameron et les autres. Les pays arabes continuent a dépenser dans les produits de luxe et les prostitués, les merdias parlent de choses sans interet pour endormir les peuples.

L’idée du « transfert » est passée progressivement de certaines couches de la société à un discours politique ordinaire. En effet, aux yeux de nombreux Israéliens, l’option de la déportation des Palestiniens hors des territoires occupés – le dit « transfert » donc - est devenu une solution acceptable pour résoudre à la fois le problème de «sécurité» et le problème «démographique» en Israël, problèmes posés, dit-on, par la population palestinienne des territoires occupés. De récents sondages révèlent que plus de 40% des Israéliens sont en faveur du « transfert ».

Partout dans le pays, circulent posters, pancartes et autocollants où figurent des slogans tels que « Transfert = paix et sécurité », « Eux là-bas, Nous ici », « Transfert un point c’est tout! » et « Pas d’Arabes, pas d’attentats ».

Il existe un réel danger de voir Israël utiliser comme couverture une guerre américaine en Irak pour commencer à expulser les Palestiniens des territoires occupés lorsque la communauté internationale portera son attention ailleurs. D’actuels responsables israéliens ont d’ailleurs soutenu l’idée du « transfert » dans le passé. Benjamin Netanyahou, ancien premier ministre (1996-1999) et actuel ministre des affaires étrangères, déclarait en 1989 qu’ « Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine au moment où tout le monde portait son attention sur ce pays, pour expulser massivement les Arabes des territoires ». L’actuel premier ministre Ariel Sharon a soutenu dans le passé « l’option jordanienne » qu’il décrivait comme un moyen d’établir le Grand Israël grâce à l’annexion des territoires occupés. Mais il est clair, aujourd’hui, que pour maintenir une majorité juive qui soit viable dans ce « Grand Israël » , Israël aura besoin de « réduire le nombre des Palestiniens vivant dans les territoires », comme l’a dernièrement déclaré Eitan Ben Eliahu, l’ancien commandant des forces armées israéliennes.

Ha’aretz a récemment rapporté que Sharon rejetait la requête des Jordaniens qui lui demandaient d’exclure la possibilité d’un transfert durant l’imminente guerre des Etats-Unis contre l’Irak. Plus troublant encore, l’actuel gouvernement compte en son sein le Moledet (la patrie), un parti de colons qui soutient ouvertement le transfert. Benny Elon, leader de Modelet et actuel ministre du tourisme a déclaré :« Quand on examine cette idée, le transfert est la seule conclusion. C’est la seule lumière à la sortie du tunnel. » Moledet a récemment formé le Parti d’Union Nationale avec d’autres partis de droite, faisant passer ainsi, de deux à six, le nombre des membres du parlement israélien soutenant officiellement le transfert . On s’attend à ce que ce nombre soit doublé après la formation du nouveau gouvernement à la suite des dernières élections.

L’expulsion massive des Palestiniens a déjà eu lieu auparavant. En1948 et en 1967, des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés pour permettre à Israël de contrôler davantage de territoire. Comme l’a écrit le grand historien israélien Benny Morris, « l’idée du transfert est aussi vieille que le sionisme… Et sa mise en pratique était d’une logique de fer : il ne pouvait y avoir d’état juif viable dans toute la Palestine ou dans une partie de la Palestine sans un déplacement massif de ses habitants arabes. »

L’épuration ethnique des Palestiniens est déjà mise en œuvre par l’entremise des mesures répressives de l’occupation. En 2002, plus de 80 000 Palestiniens ont quitté la Cisjordanie et des milliers de plus Gaza pour échapper aux conditions économiques et aux actions brutales et humiliantes menées par les FDI dans les territoires palestiniens occupés. De plus, sous la pression exercée par les colons qui les menacent et tentent de récolter et de voler leurs olives, plusieurs villages palestiniens ont commencé à se vider de leurs habitants comme c’est le cas du village de Yanun près de Naplouse. Selon une étude menée en septembre 2002 par USAID, un enfant palestinien âgé de moins de cinq ans sur cinq souffre aujourd’hui de malnutrition chronique ou aiguë. USAID en explique les causes par le bouclage et le siège que les Israéliens imposent aux grands centres habités par la population civile dans les territoires.

La Banque mondiale a, de plus, récemment rapporté que 62 % des familles palestiniennes vivaient actuellement avec moins de 2$ par jour. Ces conditions de vie abominables qui poussent de nombreux Palestiniens à abandonner leurs foyers dans l’espoir d’une vie meilleure, ne représentent rien de moins qu’un nettoyage ethnique « passé sous silence ». L’aide monétaire venant des contribuables américains contribue dangereusement à la poursuite de l’occupation israélienne. Chaque année, les Etats-Unis fournissent environ trois milliards de dollars d’aide à Israël. Or, Israël utilise la grande majorité de cette aide pour financer ses actions militaires dans les territoires palestiniens occupés.

Malgré le soutien croissant de la population israélienne au nettoyage ethnique, il subsiste des Israéliens qui reconnaissent l’urgence d’en empêcher sa réalisation. Récemment, près de 187 professeurs d’universités israéliens ont signé une déclaration exprimant leur inquiétude croissante concernant la mise en œuvre d’un futur nettoyage ethnique dans les territoires occupés durant une guerre américaine contre l’Irak : « Il se peut que le gouvernement israélien envisage de commettre des crimes contre l’humanité…Nous sommes profondément inquiets de voir que le gouvernement israélien puisse exploiter le « flou de la guerre » pour commettre davantage de crimes contre le peuple palestinien, jusqu’à la mise en œuvre d’une épuration ethnique bien élaborée… Les médias citent régulièrement des hommes politiques qui avancent l’idée d’une expulsion forcée…Le racisme démagogique croissant à l’encontre des citoyens palestiniens d’Israël peut donner une idée de l’envergure des crimes peut-être envisagés… Nous appelons la communauté internationale à prêter davantage d’attention aux événements qui ont lieu en Israël et dans les territoires occupés, à avertir le gouvernement israélien qu’elle ne tolèrera pas l’accomplissement de crimes contre l’humanité et à prendre des mesures concrètes pour empêcher que ces crimes ne soient commis. »

Jews against occupation s’oppose formellement à toute forme de nettoyage ethnique des Palestiniens. En tant que Juifs, nous nous opposons fermement à ces actes infâmes et inhumains et considérons qu’il est urgent d’en empêcher la réalisation. Nous pensons que le seul moyen pour Israël d’obtenir la sécurité qu’il désire est de mettre fin à son occupation illégale et inhumaine et d’abandonner totalement l’idée de « transfert ». Nous demandons aux Juifs ainsi qu’aux non-Juifs d’agir immédiatement et de faire en sorte que leur voix soit entendue concernant leur opposition à l’épuration ethnique en Palestine et à l’occupation israélienne.
I
1 novembre 2014 10:31
Transfert d'un côté et accueil des juifs en terre d'Israel de l'autre. Si tu vis en Papouasie que tu n'as aucun lien avec Israel mais que tu es juif et que tu souhaites y vivre, no problem on t'accueilleras à bras ouverts. En revanche, si tu es palestinien, que tes grands-parents ont habité la Palestine d'antan ( et qu'ils ont encore la clé de leur maison volée ) , que ta culture , tes origines viennent de cette terre et bien tu n'as aucun droit sur cette terre.

C'est insoutenable cette manière d'octroyer le droit de vivre en Israel .
18 novembre 2014 19:05
lees nouvelles provenant de israhellstan sont de plus en plus inquietante et les merdias main stream ne pipent mot. Plus inquietant encore les donneurs de lecons des droits de l'homme et les leaders du monde libre democrates contre vent et marais ainsi que les anti fascistes en europe et en amerique mais vendus au fascisme anti semites sionistes et criminels de guerre qui appliquent le racisme et l'appartheid comme philosophie et mode de gouvernance se taisent dans toutes les langues.
Les lieux de culte musullmans et chrestians sont scagés, les tombes sont detruites, les civiles sont tués ou lynchés par l'estreme droite juif sionistes et nous ne voyons riens aux nouvelles.
Si vous avez le malheur de tomber devant une synagogue a Paris ou Bruxelles vous vous faite arreter pour attentat terroriste et vous etes juges pour anti semitisme.
les abus et le silence complice des politiciens europeens deviens tellement scandaleux que les gens vont aller voter extreme droite de plus en plus.
les exactions et les horreurs commises par les sionistes d'extreme droite juifs alimentent l'anti semitisme.
Une nouvelle guerre des religions et lancé par le nazillon nethenyahou et son sinstre des affaires etrangeres
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
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