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Israel Etat voyou
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8 mai 2014 13:09
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Personne ne pourra bouger l'état d’Israël. Armée très puissante et très bien entraînée
Aucun arabe ne peut bouger le petit doigt.
10 mai 2014 15:13
la roue tourne te retour de bâton ne va pas tarder


PAR JEFF STEIN *
Israël ne cessera pas d’espionner les États-Unis
Qu’est-il advenu de l’honneur chez les voleurs ? Lorsque la National Security Agency s’est fait prendre à écouter le téléphone cellulaire de la chancelière allemande Angela Merkel, on a considéré que c’était une manière choquante de traiter une amie.
9 MAI 2014
Maintenant les responsables du renseignement américain disent-quoique très discrètement, derrière des portes closes sur Capitol Hill [le Congrès des États Unis]-que nos « amis » israéliens sont allés trop loin dans leurs opérations d’espionnage ici.

Selon des notes confidentielles relatives à la législation visant à alléger les restrictions pour les visas exigibles des ressortissants israéliens, les actions de Jérusalem pour voler les secrets US sous le couvert de missions commerciales et de contrats communs en matière de technologie de défense ont « franchi des lignes rouges ».

Les activités d’espionnage d’Israël en Amérique sont sans équivalent et sont indignes, ont déclaré les responsables du contre-espionnage aux membres des Commissions judiciaire et des affaires étrangères, elles vont bien au-delà des activités menées par d’autres proches alliés, comme l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni et le Japon. Un attaché parlementaire en poste au Congrès et au courant de la teneur d’un briefing de janvier dernier a qualifié ce témoignage de "très décevant ... alarmant ... même terrifiant." Un autre attaché l’a qualifié de « dommageable ».

Objectif principal de l’État juif : les secrets industriels et techniques de l’Amérique.
"Aucun autre pays proche des États-Unis ne va jusqu’à dépasser la limité en matière d’espionnage comme le font les Israéliens", a déclaré un ancien membre du personnel du Congrès qui avait assisté à une autre réunion d’information classifiée à la fin de 2013, une des nombreuses réunions de ces derniers mois avec des fonctionnaires du Department of Homeland Sécurity (Sécurité Intérieure, DHS), du Département d’état, du FBI et de la Direction nationale du contre-espionnage.

Les services de renseignement ne vont pas dans les détails, a expliqué l’ancien employé du Congrès, mais ils ont parlé "d’espionnage industriel ici avec des missions commerciales ou avec des entreprises israéliennes partenaires d’entreprises américaines, [ou] des agents de renseignement sous le contrôle direct du gouvernement , ce qui signifie je suppose, de l’ambassade [israélienne] ".

Un porte parole de l’ambassade israélienne a démenti catégoriquement ces accusations mardi après avoir d’abord refusé de s’exprimer sur le sujet. Aaron Sagui a déclaré à Newsweek : « Israël ne mène pas d’activités d’espionnage aux États Unis, point final. Nous condamnons ces accusations mensongères et scandaleuses qui sont dirigées contre Israël. » Les représentants de deux agences de renseignement américaines, tout en reconnaissant des problèmes avec des espions israéliens, n’ont pas voulu parler [avec la presse] des témoignages classifiés. Un représentant du Département d’état a simplement dit que des personnels des affaires consulaires et israélo-palestiniennes ont informé les membres du Congrès sur les problèmes de réciprocité du visa.

Bien sûr, les États Unis espionnent eux aussi Israël. « C’était le dernier endroit où on avait envie de partir en vacances, » a dit à Newsweek un ancien agent de haut rang de la CIA, à cause de la surveillance israélienne extrêmement pesante. Mais le niveau de l’activité d’espionnage israélien ici [aux USA] ulcère maintenant le contre espionnage américain.

« Je ne pense pas que quiconque ait été surpris par ces révélations, » déclare l’ancien attaché au Congrès. « Mais quand vous prenez du recul et que vous entendez... qu’aucun autre pays ne tire avantage de notre partenariat de sécurité comme le font les Israéliens à des fins d’espionnage, c’est assez choquant. Je veux dire, personne ne devrait perdre de vue que malgré tout ce qu’on a pu écrire sur [Jonathan] Pollard, ça continue. »

Israël et les organisations pro-israéliennes aux États Unis font pression depuis longtemps sur l’administration américaine pour qu’elle libère Pollard, un ancien analyste des services de renseignements de la marine américaine qui purge une peine de prison à vie depuis 1987 pour avoir volé des dizaines de milliers de secrets pour le compte d’Israël (le contre espionnage américain soupçonne Israël d’avoir échangé avec Moscou une partie des informations à l’époque de la Guerre Froide en échange de l’émigration des Juifs de Russie). Après avoir nié pendant une dizaine d’années que Pollard émargeait auprès d’elles, les autorités israélienne ont présenté des excuses et promos de ne plus espionner sur le sol des États Unis. Depuis, d’autres espions israéliens ont été arrêtés et condamnés par des tribunaux américains.

I.C. Smith, un ancien haut gradé du FBI spécialisé dans le contre espionnage à l’époque de l’affaire Pollard, affirme à Newsweek que, « Au début des années 1980, s’occuper des Israéliens était, pour ceux à qui était confiée cette mission, extrêmement frustrant. Les Israéliens avaient une confiance totale en leur influence, spécialement sur le Congrès, pour se débrouiller à peu près de n’importe quel problème. C’était l’époque de la Criteria Country List – qui deviendra ensuite la National Security Threat List, liste des menaces à la sécurité nationale – et je trouvais incroyable que le Vietnam et Taïwan, par exemple, y figurent alors qu’aucun de ces deux pays n’avait mené des activités comparables même de loin avec celles de l’affaire Pollard, et qu’aucun de ces deux pays n’avait une capacité comparable à mener des activités de ce genre. »

Alors que tout ça se passait, Israël faisait un intense lobbying pour figurer sur la liste restreinte des pays (38 à ce jour) dont les citoyens sont dispensés de visa pour séjourner aux États Unis.

Récemment encore, la pierre d’achoppement était le traitement discriminatoire et parfois brutal infligé par l’État juif aux ressortissants arabo-américains et palestino-américains qui veulent entrer en Israël. Israël n’a pas non plus satisfait à une autre exigence du programme, comme de signaler rapidement et régulièrement les passeports perdus et volés, disent les officiels – un problème d’autant plus sensible depuis qu’on a découvert que des Iraniens avaient embarqué avec de faux passeports dans l’avion de la Malaysia Airlines qui a disparu. « Mais c’est la première fois que des attachés parlementaires ont indiqué que les inquiétudes en matière de renseignements et de sécurité nationale sont aussi pris en considération pour l’admission d’Israël dans le programme d’exemption de visa, »écrivait le mois dernier Jonathan Broder, chef de la rubrique défense et diplomatie de CQ Roll Call, un site d’information consacré à Capitol Hill. « La communauté américaine du renseignement s’inquiète du fait que l’admission d’Israël dans le programme d’exemption du visa rende plus facile l’entrée des espions israéliens dans le pays. »

Les Israéliens « pensaient qu’ils n’avaient qu’à claquer les doigts » et trouver des amis au Congrès pour obtenir une changement de la réglementation sur le visa, déclare un attaché parlementaire, en contournant les embûches posées par le Department of Homeland Security (DHS). Mais face à la résistance des services secrets US, Israël a récemment fait part de sa disponibilité à collaborer avec le DHS, affirment des officiels israéliens et américains. « Israël est intéressé par l’admission dans le programme d’exemption de visa et fait des pas concrets pour satisfaire à ses conditions, » a déclaré à Newsweek Aaron Sagui, le porte parole,de l’ambassade israélienne. « Tout récemment, les États Unis et Israël ont décidé de constituer un groupe de travail pour faire avancer le processus, » a ajouté Sagui, précisant que « le vice-ministre israélien des affaires étrangères Zeev Elkin conduira la délégation israélienne. » Il a refusé de dire quand la délégation d’Elkin allait arriver.

Les attachés parlementaires se sont rengorgés à cette annonce. « Les Israéliens n’ont strictement rien fait pour être admis dans le programme d’exemption de visa, » affirme l’ex attaché parlementaire, faisant écho aux points de vue de deux autres collaborateurs parlementaires qui travaillent sur ce dossier. « Je veux dire, si les Israéliens se retrouvaient dans le programme d’exemption de visa et si nous étions en mesure de répondre à ces préoccupations [des services de renseignements] – formidable, ce sont nos proches alliés, il y a de solides relations économiques et culturelles entre les deux pays, ce serait magnifique si plus d’Israéliens pouvaient venir ici sans visas. Je suis certain que ça ferait affluer l’investissement et l’argent des touristes dans notre économie et ainsi de suite. Mais ce que je trouve vraiment drôle, c’est qu’ils n’ont absolument rien fait pour entrer dans le programme. Ils pensent que leurs amis au Congrès peuvent obtenir leur admission, et ce n’est pas le cas. Le Congrès peut lever un ou deux obstacles, mais il ne peut pas simplement légiférer pour faire admettre les Israéliens [dans le programme sans satisfaire à certains critères, NdT].

Le chemin vers les exemptions de visa passe par le DHS et peut nécessiter plusieurs années ? Pour le Chili, il a fallu trois ans, a indiqué un officiel du gouvernement sous couvert d’anonymat ; pour Taïwan, « plusieurs » années. Les critères requis comprennent « une amélioration des échanges d’informations judiciaires et relatives à la sécurité avec les États Unis ; le signalement en temps opportun des passeports perdus ou volés ; et l’application de normes élevées en matière de contre terrorisme, de police judiciaire, de contrôle des frontières, de l’aviation et de la sécurité des documents, » lit-on dans une déclaration du DHS. Israël n’est pas près de satisfaire à ces critères, observe un attaché parlementaire. « Il faut mettre en place des passeports lisibles à la machine – les e-passeports munis d’une puce électronique. Les Israéliens viennent à peine de commencer à en délivrer à leurs diplomates et à leurs hauts fonctionnaires et ainsi de suite, et il ne sera probablement pas diffusé au reste de la population avant encore dix ans. »

Mais le contre espionnage américain aura le dernier mot. Et comme il n’y a pas plus de chances qu’Israël cesse d’espionner ici qu’il n’y en a qu’il renonce au pain azyme pour la Pâque juive, la barrière du visa va sans doute rester en place.

Comme Paul Pillar, l’ancien officier de la CIA en charge du Proche Orient et de l’Asie du Sud l’a dit à Newsweek, il est difficile de rompre avec de vieilles habitudes : les sionistes dépêchaient des espions en Amérique avant même la création d’Israël , pour collecter de l’argent et du matériel pour la cause et par la suite pour l’État naissant. Des composants essentiels des bombes nucléaires israéliennes ont été obtenues clandestinement ici. « Ils ont trouvé des moyens inventifs et créatifs, » affirme Pillar, pour obtenir ce qu’ils veulent. [le producteur de cinéma Arnon Milchan (**) a admis avoir travaillé comme espion pour Israël au profit notamment de son programme d’armes atomiques, NdT]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
s
10 mai 2014 19:33
bonjour
depuis toujours on entend les arabes vont raser Israél , ils vont lui donner la correction ils vont la faire reculer
mais hélas de plus en plus Isrél est puissante , imbattable , et intransigeante
et aucun pays Arabomusulman, ne pourra faire le poids
hélas c'est ça la vérité
reste sur le papier , et les discours , c'est faisable mais il reste un rêve , et non la réalité
je hais l'hypocrisie
12 mai 2014 07:10
le but ne doit pas etre de détruire Israel mais de faire justice pour les Palestiniens et d'arrêter l'extreme droite israelienne dont le but est de mener a une guerre mondiale.

il faut aussi que le monde prenne conscience de se qui se passe la bas
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
s
12 mai 2014 19:54
nous n'avons nous Musulmans aucune force pour y faire face
ni force économique
ni force technologique
ni force militaire
ni force Politique
aucune force , ni aucun pouvoir
donc subir , et encore subir au bon vouloir de cet état Hébreux , petit par la taille et grand par la technologie , par l'efficacité de son travail, et par sa violence sans merci envers les Palestiniens
je hais l'hypocrisie
15 mai 2014 18:23
le meilleur reportage que j'ai jamais vu sur les dessous du sionisme, ses objectifs, ses magouilles, ses collaborateurs "sayanims" dans le monde depuis plus d'un siecle jusqu'a nos jours.
Ce reportage a été censuré par le lobby sioniste mondiale alors qu'il est fort mesuré, très documenté et c'est surtout des intellectuels qui parlent (pas des farfelus excentriques).
très grande qualité intellectuel pour ceux qui veulent savoir


film de Beatrice Pignède : l'Oligarchie et le sionisme

Merci pour ce très grand reportage a Madame Pignède

je suis sur que les trolls vont s'en donner a coeur joie
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
16 mai 2014 06:40
C'est connu l'Etat voyou heberge des criminels et des escrocs et utilise ces fonds pour continuer a corrompre des politiciens a travers le monde. Ils blanchissent l'argent pour toutes les mafias
voila encore un autre exemple
Qu'est-ce qui se cache derrière l'arnaque «au faux patron» ?
Deux structures criminelles organisées, basées en Chine et en Israël, dévalisent conjointement des entreprises françaises en se jouant des failles de leurs employés. En trois ans, 250 millions d'euros ont ainsi été extorqués.
[www.lefigaro.fr]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
A
16 mai 2014 10:00
les premiers a participer aux BDS c est les pays majorite musulmans. Arabes notamment.

Si eux le font, Israel perdra bcq d argent. Et on gagnera bcq en dignite.

C est dur pour nous car on nous cache l origine des produits. On ne respecte pas tjs la legislation concernant l etiquettage des produits en Europe.

merci pour le partage

salam
19 mai 2014 08:06
la seule solution est le boycott des produits israeliens sous toutes leurs formes pour aider les israeliens qui sont contre l'occupation et pour la paix
voila comment les sionistes arrivent a corrompre la communauté a travers le monde

Les différences entre le nationalisme juif (le sionisme) et celui d’autres pays et cultures, sont quadruples :

1. Le sionisme est une véritable bouillie de sorcière [où se mélangent] xénophobie, racisme, ultra-nationalisme, militarisme, ce qui le place en dehors d’un simple « contexte nationaliste » – par exemple, quand j’étais en Irlande (dans les deux parties), je n’ai vu aucune indication selon quoi Armée républicaine irlandaise provisoire ou qui que ce soit qui ait exercé des pressions pour une Irlande unie songe à envoyer les protestants dans des camps ou à l’extérieur du pays, malgré qu’il puisse bien y en avoir une poignée qui pense ainsi – et dépasse de loin les misères infligées par les nazis ;

2. Le sionisme sape la loyauté civique de ses adhérents vivant dans d’autres pays comme aucun autre mouvement nationaliste (incluant même des mouvements ultra-nationalistes comme le nazisme) ne l’a jamais fait – par exemple, une grande majorité de Juifs américains, y compris ceux qui n’ont pas de double citoyenneté affichée, épousent une forme de la bigamie politique appelée « double loyauté » (à Israël et aux États-Unis) qui est tout aussi malhonnête que la bigamie matrimoniale – tentent de cacher la préséance qu’ils accordent à Israël par rapport aux États-Unis (il y a beaucoup de petits Rahm Emanuel là-bas qui ont servi dans l’armée israélienne mais PAS dans les forces armées américaines), et n’a absolument aucun parallèle en ce qui a trait à une identité nationale ou culturelle épousée par quelque autre groupe ethnique ou racial définissable aux États-Unis – même le Bund nazi aux États-Unis a disparu une fois que l’Allemagne et les États-Unis sont entrés en guerre, avec la quasi-totalité de ses membres se portant volontaires dans les forces armées américaines ;

3. L’« ennemi » des mouvements nationalistes normaux est la puissance occupante et peut-être ses alliés, et une fois l’indépendance atteinte, des relations normales avec la puissance occupante sont véritablement la norme, mais pour le sionisme presque tout le monde extérieur est un ennemi réel ou potentiel, ne différant qu’en terme de proximité géographique et de position sur sa très longue liste d’ennemis (qui est maintenant la liste des cibles des États-Unis) ; et

4. Presque tous les mouvements nationalistes (y compris les variantes irrédentistes et sécessionnistes) cherchent à créer un État indépendant à partir d’une population en place ou pour réunir un peuple séparé (comme les Allemands des Sudètes dans les années 1930) – il est très rare qu’il comprenne le déplacement massif d’une autre population indigène, qui est beaucoup plus commun dans les mouvements colonialistes qui ont réussi comme c’est le cas aux États-Unis – et peut-être qu’une raison expliquant le fait que la plupart des Américains ne se sentiraient pas concernés par ce que les Israéliens font subir aux Palestiniens, et ce même s’ils étaient au courant, est que cela ne diffère guère de ce que les Européens ont fait aux Amérindiens ici même en Amérique du Nord sur une plus longue période de temps et avec une technologie très rudimentaire.

Les implications de ceci pour les perspectives de paix au Moyen-Orient, et pour d’autres pays sous l’emprise (ou pas) de leurs lobbies juifs domestiques, donnent le frisson. Le fait que le livre du Deutéronome prenne vie dans un État doté d’un arsenal nucléaire serait suffisant pour donner à réfléchir à quiconque n’est pas soumis par l’argent ou la corruption – soumission qui de nos jours caractérise tout à fait le gouvernement des États-Unis, étant donné la propension d’Israël à lancer de la boue au visage de l’administration Obama et compte tenu du penchant manifeste de ce dernier à accepter cela avec le sourire, au point où l’on en vient à se dire que Bibi Netanyahou a son propre « Oncle Tom » en poste à Washington.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
19 mai 2014 10:46
Citation
omar625 a écrit:
il est plus facile de boycotter israel que n'importe quel pays arabe, à voir la liste des nombreuses entreprises citées ci-dessus, s'il s'agissait de boycotter un pays arabe c'est WALOU ! il n'y a rien à boycotter, circulez.
Au moins eux ils fabriquent, ils inventent, ils créent

surtout ne va pas a l'université, ne te fais pas soigner, ne porte pas de lunette, ne compte pas en chiffre Arabe essaie plutot en romain, tout sa ce sont des domaines ou les Arabes exelait
22 mai 2014 18:28
voila la tolerance religieuse des sionistes
Israël: les actes antichrétiens en hausse avant la venue du pape François
De notre correspondante, Marie de Vergès, publié le 15/05/2014 à 12:50

En savoir plus sur [www.lexpress.fr]

Graffitis injurieux, profanations, menaces de mort... Juifs extrémistes et activistes d'extrême-droite sont soupçonnés de multiplier les attaques contre des lieux chrétiens et musulmans.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
23 mai 2014 06:22
c'est possible de faire comprendre aux sionistes que leurs crimes ne sont plus supportables et le BDS commence a donner des resultats:
L'Union européenne a interdit l'importation de volailles et d'oeufs des colonies juives en Cisjordanie occupée y compris le secteur oriental annexé de Jérusalem, rapporte jeudi le site israélien d'information Walla.

[www.rtbf.be]
27 mai 2014 20:43
même la presse israélienne émet des doutes sur l’assassinat antisémite. Mais, en France, black-out total avec les derniers développement de cette affaire…

l'Etat voyou cache t il quelque chose?
Ce lundi, The Forward, quotidien juif américain, évoque sur son site une piste troublante à propos de la tuerie survenue samedi au Musée juif de Bruxelles: celle d'un "assassinat politique".

Le double motif d'une telle spéculation: le tireur muni d'une petite caméra GoPro s'apparenterait à un "tueur professionnel" selon certains experts sollicités et plusieurs médias israéliens ont divulgué -au cours des dernières heures- des informations particulières quant au profil de deux victimes (sur les quatre).

Rédigé à partir d'une dépêche de Reuters, le papier de The Forward passe néanmoins sous silence certains éléments singuliers rapportés par l'agence de presse. Extrait:
Une des victimes israéliennes, Emanuel Riva, avait antérieurement travaillé pour Nativ, une agence gouvernementale qui a joué un rôle clandestin dans l'encouragement de l'immigration juive en provenance de l'ex-Union soviétique, rapporte un officiel israélien.
Aux côtés de l'agence du renseignement extérieur, le Mossad, et de son équivalent chargé de la sécurité intérieure, le Shin Beth, l'agence Nativ était sous l'autorité du bureau du Premier ministre.
Miriam Riva, son épouse, travaillait également pour le bureau du Premier ministre, affirme l'officiel sans plus de détails.
Des amis du couple interrogés par les médias israéliens ont affirmé que tous deux travaillaient comme comptables dans les services gouvernementaux.

Le site du journal Israel Hayom ajoute aujourd'hui un détail intéressant à propos de leur collaboration antérieure avec Nativ, une agence d'espionnage fondée en 1952 et devenue semi-clandestine après la fin de la guerre froide. Extrait:
Il y a quatre ans, ils (les Riva) ont été envoyés travailler en Allemagne par le ministère des Affaires étrangères.
Selon Yediot Aharonot, ils ont vécu à Berlin jusqu'en 2011.
En 2009, responsable de Nativ et soucieux de l'avenir de la communauté juive allemande, le ministre des Affaires étrangères était déjà celui de mai 2014: Avigdor Lieberman. Leader de l'extrême droite locale, cet ultra-nationaliste (rencontré en secret par Manuel Valls à la mi-février) s'était distingué sur la scène politique pour avoir suscité le courroux du Mossad, du Shin Beth et de l'Agence juive pour une raison spécifique: sa volonté d'utiliser Nativ pour favoriser l'émigration en Israël des citoyens juifs originaires de Russie et résidant en Allemagne.
Dans son poste antérieur (celui de ministre des Affaires stratégiques de 2006 à 2008), il avait ainsi bravé la désapprobation des organisations juives allemandes et la colère de plusieurs haut-responsables israéliens qui s'opposèrent à son projet (annoncé en 2006) car il était susceptible de saborder l'amitié israélo-allemande.
En 2005, le quotidien Haaretz rapportait que Nativ, dans le collimateur du Mossad qui la jugeait caduque et encombrante, ne devait son maintien que par la volonté du Premier ministre alors en exercice: Ariel Sharon. Dans sa foulée, Avigdor Lieberman a repris le flambeau et a réorienté la mission de l'agence en direction des 200 000 juifs russes d'Allemagne.
Ancienne ambassadrice d'Israël en Ukraine et ex-conseillère politique de Lieberman, Naomi Ben-Ami dirige Nativ depuis sept ans. L'Agence juive l'accusa en 2008 d'avoir provoqué une crise diplomatique avec l'Allemagne, pays allié, pour avoir exaucé le souhait de son mentor: ce dernier, d'origine russe, comptait précisement sur ces potentiels citoyens israéliens originaires de l'ex-Union soviétique pour consolider sa propre base électorale.
En janvier 2008, un article du Jerusalem Post rapportait un détail intrigant au regard du profil des victimes israéliennes de Bruxelles: selon le quotidien, la récente démission de Lieberman du poste des Affaires stratégiques devait geler un projet décidé en juillet 2007 et relatif à l'envoi -en Allemagne- de "deux émissaires" de Nativ. Sa dirigeante n'avait pas commenté cette information et l'entourage de Lieberman s'etait contenté de réitérer son souhait que ce projet aille jusqu'au bout.
Un an plus tard, Lieberman revint au gouvernement et dans le ministère, plus puissant, des Affaires étrangères. C'est alors que le couple Riva, travaillant pour Niva, fut envoyé en Allemagne sous sa tutelle. Troublante similitude: leur départ -dont les détails sont inconnus à ce jour- semble s'inscrire dans la reprise du projet antérieur de 2006-2008 (dit "Operation Germany"winking smiley.
Dans le contexte actuel de la crise russo-ukrainienne, le rôle de Niva, autrefois attaquée publiquement par le Mossad, a pris une ampleur inattendue. Critiquée également dans un rapport officiel (paru fin 2013) en raison de son opacité, l'agence -qui constitue toujours une tête de pont avec les communautés juives de Russie, d'Ukraine et d'Allemagne – demeure sous la tutelle ministérielle d'un seul homme qui continue de l'instrumentaliser: Avigdor Lieberman. De notoriété publique, ce dernier aspire à succéder à Benyamin Netanyahou au poste de Premier ministre.
Transformée en tremplin politique à usage personnel, Niva n'en finit pas d'agacer: les rivaux politiques de Lieberman comme les groupes hostiles à l'émigration juive hors d'Allemagne demandent toujours la cessation des activités de l'agence.
Rien n'exclut que la fusillade du Musée juif de Bruxelles soit l'oeuvre d'un "terroriste" antisémite agissant à l'aveugle mais, au regard de l'engagement passé du couple Riva au sein d'une organisation controversée, rien ne permet non plus d'écarter la piste d'un assassinat ciblé en guise de représailles. Ou d'avertissement?

l'ommerta des merdias main stream inquiétant pour la liberté d'expression
voila Pourquoi l'europe passe a l'extrême droite.
si l'Etat voyou peu vivre avec une extreme droite et les merdias les chouchoutent, donc les gens trouvent l'extreme droite être un partie des plus normaux pour chez eux aussi
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
2 juin 2014 13:47
Plus de 1.500 enfants palestiniens ont été tués par l’occupant israélien, et plus de 6.000 autres ont été blessés, selon des statistiques révélées samedi par le ministre des Affaires sociales de l’Autorité Palestinienne, à l’occasion de la Journée de l’Enfant.

L’UNICEF ajoute qu’elle a identifié une série de pratiques « relevant de traitements cruels, inhumains et dégradants, selon les critères de la Convention des Droits de l’Enfant et de la Convention internationale contre la torture ».
Parmi les derniers cas en date de crimes de guerre israéliens, l’assassinat, de sang-froid, du jeune Yussef Sami Shawamreh, comme le rapporte ci-dessous le site [www.info-palestine.eu]


[www.chaos-controle.com]
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
16 juin 2014 09:10
3 colons racistes disparus? est ce vrai ou une excuse de l'etat voyou pour commencer une guerre et un nouvelle crime contre l'humanité?
Le criminel de guerre Nethanyahu et ses ultra racistes d'extreme droite veulent profiter du chaos actuel et que le monde est fort occupé avec la coupe du monde pour jouer a son jeu favoris: le fait accomplis

voila une opinion qui semble fort plausible au vu de l'histoire de mensonges de l'etat raciste d'extreme droite:
Les 3 colons "disparus" ne le sont pas véritablement. C'est une opération qui est directement liée à la situation en Iraq et en Libye (Benghazi) où la France, l'Angleterre, les réseaux néo-cons aux Etats-Unis, leurs larbins des pays du Golfe et "les modérés" autour de Rouhani à Teheran tentent de remodeler les frontières du Shaam et d'Afrique du Nord. Ces réseaux du likoud s'opposent aux réseaux du CFR à Teheran où Khameney, signataire de l'accord CFR-Teheran, appelle à une coopération ouverte et directe avec Washington. Comme ça, c'est clair pour tout le monde. Le plan israelien est bien d'étendre ses frontières de Nouakchott à Baghdad. En Algérie la famille bouteflika-DGSE, Gaid Salah, Ouyahia, Hamel de la France-Israel s'opposent au DRS-Africom de l'israelite Tewfik, qui est le caméléon juif sioniste parfait, changeant de camp et de couleurs pour sauver sa tête. Ceux-ci s'affrontent au Mali, Niger et en Libye. Le faux enlèvement de 3 colons est le début d'une gigantesque opération de nettoyage ethnique en Cisjordanie, où le likoud veut exterminer le maximum de Palestiniens pour talmudo-judaiser toute la Palestine. Où le CFR avec l'aide du vatican tente d'imposer ses vues sur le likoud via un gouvernement "d'union nationale". Cette guerre des factions sionistes impériales se déroule également au sein du FN en France, à Moscou via l'Ukraine. Cukierman en prenant le contrôle du FN, le poussera à la confrontation directe avec les Musulmans, à la suite d'attentats orchestrés par le gouvernement français (Hollande, Valls, Cazeneuve, Calvar) entièrement à la solde du likoud israelien. Ya'alon affirme qu'il ne sait pas où se trouve les trois colons, cela lui permet de ratisser toute la Cisjordanie et d'y créer le chaos, la terreur et d'organiser l'exil des Palestiniens vers la Jordanie.
qu'en pensez vous?
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
17 juin 2014 08:20
L’hystérie des SS wagen militaires sionistes n’a rien à envier à celle des colons racistes d'extreme droite «dit civils », qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, qu’ils vivent dans les territoires occupés en 1948 ou en 1967. Des appels aux meurtres (« un Palestinien par jour jusqu’au retour des colons disparus » lancent les hordes coloniales sur Facebook) ou aux enlèvements d’enfants palestiniens, des agressions commises sur des citoyens palestiniens un peu partout en Cisjordanie ou dans la ville d’al-Quds, la multiplication des incursions dans la mosquée al-Aqsa sous la direction des députés et des rabbins. Ainsi, l’entité coloniale se dresse toute entière pour exprimer sa soif de tuer et de soumettre le peuple palestinien, à cause de la disparition de trois colons en Cisjordanie occupée.

L’hystérie meurtrière actuelle de l’occupant sioniste n’est pas sans rappeler celle qui l’a frappé en décembre 1992 lorsqu’il a expulsé 427 dirigeants et cadres de la résistance palestinienne (Hamas et Jihad islamique) vers le Liban, ou celle qui s’est emparé de lui après la victoire du mouvement Hamas aux élections législatives en 2006, lorsqu’il s’est déchaîné contre ce mouvement en arrêtant ses députés et cadres. Netanyahu a accusé d’abord le président Abbas qui d’après lui, serait responsable de ces disparitions parce qu’il a formé un gouvernement « d’union nationale » suite à la réconciliation opérée avec le Hamas. Et depuis dimanche, l’accusation vise le mouvement Hamas, après avoir accusé pendant ces deux derniers jours « un mouvement terroriste », espérant que la « communauté internationale » le considère comme une victime du « terrorisme islamiste».

L’hystérie meurtrière qui a frappé l’entité coloniale sioniste n’est pas tant due à la disparition des colons racistes qu’à l’incapacité de retrouver le moindre fil conduisant à l’expliquer, alors qu’elle se considère la super-puissance des renseignements sécuritaires dans le monde et la planète. Le déchaînement hystérique est dû à la faille des services sécuritaires de l’occupant qui, trois jours et quatre nuits après ces disparitions, ne savent même pas s’ils sont morts ou vivants, s’ils sont en Cisjordanie, dans la province d’al-Khalil, ou ailleurs, s’ils ont été enlevés comme ils l’affirment ou non, alors qu’ils ont même profané les cimetières dans leurs recherches, sans parler des centaines de maisons fouillées et des milliers de Palestiniens terrorisés. ca vous rappel quelque chose?

En face, les Palestiniens jubilent. Ils ne savent pas s’ils s’agit d’une opération d’enlèvement des colons pour les échanger contre les prisonniers, mais ils refusent d’aider l’occupant : ils ont effacé les bandes enregistrées des caméras placées dans la ville d’al-Khalil pour que l’occupant ne puisse pas s’en servir, les médias palestiniens ont lancé des appels demandant à tous d’éviter de « trop parler » ou d’échanger des renseignements, mêmes futiles, sur les réseaux sociaux, qui sont d’ailleurs surveillés par les services sécuritaires de l’occupant, comme ils ont demandé la prudence quant à reprendre les versions présentées par les médias sionistes, ceux-ci dépendant des appareils sécuritaires. Plusieurs déclarations émanant de ces services soulignent d’ailleurs que les « exécutants » ont compris et assimilé leurs méthodes de travail et qu’ils ont réussi à éviter les multiples obstacles de l’occupant. Dans les camps palestiniens de Ramallah et d’al-Khalil, les jeunes résistent et affrontent l’armée d’occupation, refusant la soumission à l’ordre colonial et jusqu’ à présent, aucune organisation militaire de la résistance n’a revendiqué quoi que ce soit, bien que plusieurs déclarations aient salué tout acte pouvant conduire à la libération des prisonniers.

Alors que l’occupant recherche ses « brebis galeuses », les Palestiniens poursuivent leur mobilisation en soutien aux prisonniers, et notamment des détenus administratifs qui entament aujourd’hui leur 54ème jour de grève de la faim (Ayman Ibteich mène depuis 105 jours une grève de la faim contre sa détention administrative). L’hystérie meurtrière de l’occupant les a, encore une fois, convaincus que la lutte des prisonniers pour l’abolition de la détention administrative et pour la libération et la dignité, demeure prioritaire pour le mouvement national, et que malgré les lois criminelles (refus d’échanger tout prisonnier et alimentation forcée des grévistes de la faim) que l’occupant a pris et risque de prendre, rien n’empêchera leur libération : les prisonniers sont déterminés à poursuivre leur mouvement et les organisations de la résistance sont prêtes à riposter.

Le mouvement de la grève s’étend, malgré les mesures punitives de l’occupant et le silence complice et mortel des organisations internationales. Alors qu’il s’est fait remarquer par son silence entrecoupé de quelques vagues déclarations concernant les prisonniers palestiniens, le CICR a promptement réagi à la disparition des colons, reprenant les accusations de l’entité occupante contre le Hamas. C’est ce qu’espère et souhaite l’occupant qui attend la boue de secours de la « communauté internationale » qui ne semble pas l’avoir pris trop au sérieux jusqu’à présent. Il veut faire oublier et taire la voix des prisonniers grévistes, il veut faire oublier ses incursions quotidiennes et ses violations des lieux saints, la destruction du village d’al-Araqib pour la 70ème fois, les lois racistes qu’il promulgue, ses crimes récents à Gaza et à Ramallah, et faire croire qu’il est victime, à cause de la disparition de trois soldats de l’occupation.

Dans son hystérie, l’occupant menace de déporter des dizaines de responsables du Hamas et réclame le soutien de la « communauté internationale » pour toutes les mesures d’épuration ethnico-religieuse qu’il entend entreprendre, en Cisjordanie et dans la ville d’al-Quds, sous prétexte de lutte « commune » contre le « terrorisme ». Mais c’est sans compter sur la résistance palestinienne qui a déclaré être prête à défendre la population terrorisée d’al-Khalil, considérant que la dernière vague d’arrestations ne fait que renforcer sa détermination à poursuivre la lutte.

l'Allemagne nazi n'a rien a envier aux sionistes, ils pourraient même apprendre d'eux.
Les MERDias ne disent pas mot sur les milliers d'enfant Palestiniens kidnappés au quotidien ni des crimes contre l'humanité commis par l'armée d'occupations xénophobe des juifs d'extreme droite et racistes

L'occident en acceptant ses faits et en défendant ses cet état gouverné par l'extreme droite sioniste rends l'extreme droite européenne honorable car elle ne commet aucun de ses crimes.... pour le moment
le citoyen considère que voter extreme droite en europe et aussi morale que traiter avec les extrémistes sionistes

alors il faut que les politiciens dénoncent les actes sionistes, boycottent les politiciens, les produits et les investissements dans cet eta voyou s'ils veulent lutter efficacement contre la monté de l'extreme droite en europe.
il faut aussi que les merdias facent un travail honnête de journalistes et contrôlent les trolls pro sionistes pour leurs extrémismes
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
17 juin 2014 17:30
le sionistan a une nouvelle idée créer un parti sioniste Pan Européen pour faire face a la monté de l'extreme droite chrétienne

le criminel de guerre Nethanyahou va t il se présenter au parlement européen?
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
19 juin 2014 09:48
Un criminel de guerre est mort sans etre jugé
Le 21 mai, le Daily Telegraph, en effet, a publié la nécro d’un homme – non, pas d’un homme : d’un paquet répugnant de charogne contaminée – du nom de Yehoshua Zettler. L’avis était écrit magnifiquement, of course : c’était son objet qui soulevait le cœur…

« Yehoshua Zettler, disparu le 20 mai à l’âge de quatre-vingt-onze ans, avait été le commandant, à Jérusalem des Combattants pour la Liberté d’Israël, ou Lehi (connus des Britanniques sous le nom de Gang Stern) ; c’était lui qui avait planifié et supervisé l’assassinat du médiateur des Nations Unies, le Comte Folke Bernadotte [et du colonel français André Sérot*, ], le 17 septembre 1948. Bernadotte, qui appartenait à la famille royale de Suède, avait été envoyé au Moyen-Orient par les Nations Unies afin d’y superviser une médiation entre Israéliens et Arabes au sujet du devenir de la Palestine ».

Ce représentant des Nations Unies était quelqu’un de bien qui voulait faire tout son possible afin de servir tous les humains, quels qu’ils soient. Donc, les sionistes l’ont liquidé.

Quant à Zettler, c’était un fanatique d'extreme droite , un criminel de bas étage, un assassin sans remords, qui, après son crime répugnant, continua à mener une existence paisible et prospère en Israël, respecté et admiré par les Israéliens, ainsi que par ses nombreux admirateurs aux USA. C’était un des terroristes de tout premier plan de l’ère moderne, un de ceux qui ont le mieux « réussi ». [Il avoua son crime lors d’un talk show de la télévision israélienne en 1991, sous un tonnerre d’applaudissements et de rires du public,

Il a véritablement promu le terrorisme contemporain et il a été honoré en raison même de ses crimes. Quel accomplissement ! Et quelle illustration de ce que sont les sionistes, qui ont engendré, assumé et louangé sa bestialité odieuse !


L’assassin Zettler était considéré comme un combattant de la liberté. Comme aurait pu le dire Time Magazine, dans ce style négatif étrange, mais néanmoins modérément stylé, dont il use à propos des gens : « Lui ? Pas terroriste, lui » [No terrorist he].

La notice nécrologique de Zettler indiquait qu’ « il n’avait jamais regretté sa responsabilité dans l’assassinat » et qu’il disait : « Lorsque nous avons manifesté face à Bernadotte et que nous lui avons dit : « Partez d’ici ! Quittez Jérusalem, et retournez d’où vous venez : à Stockholm ! », Bernadotte n’a rien dit. Donc, nous n’avions pas le choix. »

Zettler n’avait donc « pas d’autre choix que d’assassiner un homme bon et charmant…

Quel sauvage à vomir ! Et quel exemple magnifique, pour les Talibans, les gens du Hamas et tous les autres extrémistes cinglés, de l’autre côté du mur !

Ensuite, Zettler participa à un massacre perpétré dans le village de Deir Yassine, un faubourg de Jérusalem. Cette atrocité, dans laquelle plus de cent Arabes non armés furent assassinés par des membres du Gang Stern (auquel appartenait Zettler) et de l’Irgoun, dirigé par Menachem Begin (qui allait devenir Premier ministre d’Israël), n’a jamais suscité la condamnation unanime que des Arabes auraient soulevée, dans le cas où ils se seraient livrés à une telle orgie de crimes.

Un témoin israélien déclara que « les attaquants ont délibérément tué tous ceux qu’ils trouvaient encore vivants, comme si tout être vivant, dans ce village, était un ennemi. La seule idée que les assassins avaient en tête, c’était : « il faut les tuer, tous, jusqu’au dernier… » C’était une belle journée printanière, les amandiers étaient en fleurs, les prairies étaient pleines de fleurs aussi, mais, partout, il y avait la puanteur des cadavres, l’épaisse odeur du sang, et l’odeur – terrible – des corps, que l’on brûlait, dans la carrière ». Et un des tueurs, Ben Zion-Cohen, de l’Irgoun, avait déclaré, quant à lui, sobrement : « Nous avons éliminé tous les Arabes qui nous tombaient entre les pattes. »

Quand c’est Israël qui fait ça, on appelle cela « combat pour la liberté ».

L’horreur du massacre perpétré (entre autres) par Zettler à Deir Yassine ne ressemble que trop aux actes de terreur commis durant l’invasion et la destruction de la Bande de Gaza par Israël, il y a cinq mois.

Durant leur assaut dévastateur, les vaillants soldats et aviateurs des « Forces Israéliennes de Défense » ont tué trois-cents-treize enfants palestiniens. Quels types merveilleusement courageux – chapeau ! Je me demande combien de décorations ils ont reçues, pour leur chasse aux gamins. Ils ont peut-être touché un bonus, quand les gamins massacrés l’avaient été à l’intérieur d’écoles de l’ONU ?

Pour ne prendre qu’un seul exemple, l’artillerie israélienne a bombardé « l’école primaire de l’ONU à Beit Lahiya, où près de deux mille Palestiniens étaient venus se réfugier, fuyant les combats. Deux enfants, âgés de cinq et sept ans, ont ainsi été tués à l’intérieur d’une salle de classe… »

Et puis il y a eu la petite Farah Al Hélou, dix-huit mois. « La famille Al Hélou avait reçu l’ordre d’évacuer son domicile, à Zaïtoun, à l’est de Gaza. Mais, tandis qu’ils tentaient de partir, des soldats israéliens ont tiré sur eux. Farah a été atteinte par une balle dans le ventre, et elle est morte, s’étant vidée de son sang, deux heures après. » Wâouw ! Vite, que l’on donne une médaille à ce courageux tireur d’élite !

Le rapport exhaustif de l’ONU sur les atrocités perpétrées à Gaza ne sera jamais rendu public. Afin de parer à toute éventualité, l’enquête à été confinée aux investigations sur les morts et les destructions dans les seules installations de l’ONU, évitant le caractère spécifique des assassinats délibérés d’enfants (les Israéliens ont attaqué des ambulances et détruit des dépôts de denrées alimentaire et de médicaments, perpétrant là des actes qui, n’importe où dans le monde, sauf en Palestine, seraient considérés comme crimes de guerre.)

Mais Washington s’est assuré que le Secrétaire général de l’ONU ne permettrait aucune critique visant les assassins israéliens. M. Ban Ki-moon est un homme fort agréable, mais ses deux prédécesseurs n’auraient en aucun cas permis cette sorte de dissimulation patente et moralement abjecte. C’est bien là, d’ailleurs, évidemment, la raison pour laquelle M. Ban a été choisi…

Mais tout cela montre qu’Israël n’a absolument pas changé en soixante ans. Le psychotique Netanyahu, son nouveau Premier ministre, a déclaré qu’il allait continuer à l’a rendu célèbre.

Et les USA vont continuer à lui apporter leur soutien, avec bombes nucléaires et tout le toutim…

Il y a de cela soixante ans, les Israéliens entamaient leur carrière de terroristes en Palestine, dont ils arrachèrent brutalement les terres à ses habitants immémoriaux, tuant autant d’Arabes que possible, lors de leurs crises de folie meurtrière. L’assassin Yehoshua Zettler est mort, et peut-être son « âme » est-elle en train de pourrir en enfer ; mais, Dieu m’en est témoin, son exemple maléfique est toujours là, et bien là, parmi nous.

* NdE : le Colonel Sérot avait tenu à s'asseoir à côté de Bernadotte pour le remercier d'avoir sauvé sa femme du camp nazi de Dachau, au cours de la fameuse opération des "autobus blancs", où Bernadotte sauva 15 000 détenus des camps nazis. Il trouva la mort, criblé de 17 balles, à la place du général suédois Lundström, qui devait être la deuxième victime des terroristes.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
21 juin 2014 09:40
Plusieurs règles du droit humanitaire protègent la population civile, et le non-respect de ces règles représente souvent une raison profonde de déplacement. Par exemple, les attaques menées par les parties à un conflit armé contre des civils et des biens de caractère civil sont interdites, de même que les méthodes de guerre appliquées sans discrimination qui peuvent avoir des effets dommageables sur les civils. D’autres règles, si elles sont respectées, empêchent un déplacement, à savoir l'interdiction d'actes qui menacent la capacité de la population civile de survivre comme la destruction – sans motif militaire valable – des cultures, des structures de soins médicaux, d'approvisionnement en eau et d'alimentation électrique, et des logements.

Le droit international humanitaire interdit aussi les punitions collectives infligées à la population civile.

que fait Israhell pour le moment?

violer les lois internationales et que disent les merdias occidentaux? rien du tout
que dit Fabius, bhl et les autres pleurnicheurs et défenseurs de droits de l'homme et de la liberté d'expression? rien du tout

un pays dirigé ouvertement par l'extreme droite depuis 1977 massacre des populations civile, détruit leurs héritage culturel, leurs lieux de culte et kidnappe sans vergogne enfants, vieillards femmes et les pays dis démocratique ne disent rien!?

et ils veulent être crédible ou jouer un rôle morale dans le monde?
l'extreme droite va continuer a progresser en europe et les conditions pour une 3eme guerre mondiale vont se preciser

Israhell le pays le plus dommageable pour la paix mondiale
a boycotter d'urgence
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
23 juin 2014 17:14
Israël élu à la commission de décolonisation de l’ONU : une obscenité

Demain, le Ku Klux Klan pour combattre le racisme ?


Seule la mobilisation de la société civile est apte, en ce moment, à sanctionner Israël, comme vient de le prouver la décision de l’Eglise presbytérienne, une des plus importantes aux Etats-Unis (1,8 million de membres), de retirer ses investissements de Caterpillar, Hewlett-Packard and Motorola Solutions (« Presbyterian Church votes to divest holdings to sanction Israel », The Guardian, 21 juin) pour leurs activités dans les territoires palestiniens occupés. Comme le rappelle un article du Monde diplomatique du mois de juin, c’est cette campagne BDS (boycott, désinvestissement, sanctions) qui provoque des « alarmes israéliennes », et qui permettra de venir à bout du colonialisme de Tel-Aviv.
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