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histoire chronologique d'israel
m
12 octobre 2005 20:13
wahed mustapha a écrit:
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> WA SI HAMOU? Y A PAS D ALGERIEN PARMIS NOUS? JE
> SUIS NE A BENI MELLAL EN PLEIN MILIEU DU MAROC. T
> ES PAS LOGIQUE TU DIS ETRE PLUS PREOCCUPE PAR LA
> TCHETCHENIE QUE PAR LA PALESTINE. LES DEUX PEUPLES
> SOUFFRENT TERRIBLEMENT. MAIS LE POST EN QUESTION A
> ETE POSTE PAR UN SIONISTE DONC ON LUI REPOND. SI
> TU TE SENS PAS CONCERNE PAR CE SUJET POURQUOI TU
> ES VENU LA? OUVRE UN POST SUR LA TCHETCHENIE.
> EN CONCLUSION TU DOIS ETRE UN SEPARATISTE CHELH.
> PARCEQUE LA PALESTINE POUR TOI C EST SYNONYME D
> ARABE. ET LE FAIT QU IL SE FASSENT MASSACRER PAR
> LES JUIFS TE REJOUIS

Tu te trompes moi je suis Algérien, bien que ma mère soit marocaine et que je sois allé plus souvent au Maroc qu'en Algérie. Même si j'ai la nationalité algérienne, je me sens marocain.
m
12 octobre 2005 20:14
Amar du souss a écrit:
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> wahed mustapha dit :
>
>
> "EN CONCLUSION TU DOIS ETRE UN SEPARATISTE
> CHELH."
>
>
> Quesqu'ils tont faient les Chleuhs ya Moullay ?
>
> Il n'y a pas plus fidéle au trône et au royaume
> tout entier que mes frères Chleuhs !


Les touarga sont les plus fideles au royaume que les chleuhs, mais c'est vrai qu"'ils ont des origine berberes (tafilalet).
H
12 octobre 2005 21:02
c est pas grave mes freres j ai mes opinions et vous les votres .au faites je souhaite une bonne fete de kippour aux juifs marocains.
H
12 octobre 2005 21:05
au faite avec les feujs je n ai jamais eu de probleme .ils ne font chier personne .en plus rebeht lflous meha houm
a
12 octobre 2005 21:07
tout pa rapport a ta petite personne et laflousse tu proposerais koi d'autre pour laflous
H
12 octobre 2005 21:10
tu m as manqué rifton hbibi
M
12 octobre 2005 21:10
Salam

Il faut arrêter de généraliser

Il y a des bons et des mauvais de partout

Comme chez les feujs et les musulmans et les chrétiens ....

Les pb conernent des individus de personnes et non pas tout un peuple

Saha ftourkoume a tous les muslims du monde

Biz Magik.
a
12 octobre 2005 21:12
Marwanmars a écrit:
-------------------------------------------------------
> Salam
>
> Il faut arrêter de généraliser
>
> Il y a des bons et des mauvais de partout
>
> Comme chez les feujs et les musulmans et les
> chrétiens ....
>
> Les pb conernent des individus de personnes et non
> pas tout un peuple
>
> Saha ftourkoume a tous les muslims du monde
>
> Biz Magik.


personne n'as généralisé a ma connaissance
m
12 octobre 2005 21:13
HAMOUDA58 a écrit:
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> au faite avec les feujs je n ai jamais eu de
> probleme .ils ne font chier personne .en plus
> rebeht lflous meha houm


Je n'ai pas non plus de problemes particulier avec les juifs.
Le probeme c'est l'injustice que commet israel envers les Palestiniens.
C'est le racisme et l'apartheid d'israel qui est le probleme, pas les juifs.
w
12 octobre 2005 23:34
idem pour moi j ai pas de probleme avec les juifs, dans mon confort parisien. ça m enpeche pas de ne pas accepter qu un peuple ce fasse massacrer par une armée terroriste.
israel et terroriste point barre n en deplaise a certain sioniste parmis nous.

biensur y a d autre injustice dans le monde mais celle si est tout de meme particulierement horrible.
13 octobre 2005 05:56
il etait un petit navire qui n,avait ja..ja...jamais naviguer....
:o
g
13 octobre 2005 13:49
moi je suis bien avec les musulmans de mon entourage aucun probléme.
mais dans la rue, dans le métro j'ai entendu des insultes, oui ( de la part de chrétiens comme de musulmans). J'avais déja raconté une anecdote ici. Il y en a d'autres, mais celle ci m'avais frappé, en prouvant que nous sommes tous les juifs de quelqu'un d'autre.

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Critique de film.

'' Paradise now '' : du terrorisme palestinien au terrorisme intellectuel

Le film « Paradise now » réalisé par Hany Abu-Assad et actuellement projeté sur les écrans parisiens relate vingt-quatre heures de deux kamikazes palestiniens, amis d’enfance, vivant à Naplouse, militants de longue date dans les partis radicaux palestiniens et finalement recrutés pour commettre un attentat suicide à Tel Aviv.


Tournée sur place, l’histoire présente à première vue le contexte économique et social dans lequel vivent les palestiniens des territoires, la présence militaire israélienne, les méthodes de recrutement et d’embrigadement des futures bombes humaines, les motivations avancées pour commettre l’acte fatal, les doutes éventuels à l’approche du moment décisif, et finalement la décision de franchir le pas.

Mais à y regarder de plus près, et au-delà de la description politico psychologique des deux futurs kamikazes, et du jeu cinématographique des deux acteurs en question, plutôt réussi d’ailleurs, le message distillé et envoyé par le réalisateur Abu-Assad est à la fois déroutant, dangereux et instructif.

Déroutant, parce que jamais au cours des 90 minutes du film, mention n’est faite de la nature même de l’attentat suicide : tuer le plus massivement et le plus aveuglement des victimes innocentes israéliennes. Jamais le moindre remord, le moindre regret, voire même la moindre réflexion sur ce sujet. L’acte terroriste n’est que la suite logique d’un contexte économique et politique jugé injuste. Il est naturel et compréhensible. Si des doutes peuvent éventuellement s’emparer d’un des kamikazes ou d’une de ses proches, c’est uniquement parce que commettre un tel attentat reviendrait à devenir aussi bestial que l’ « ennemi sioniste » et à altérer ainsi la cause palestinienne.

On aurait pu attendre qu’un réalisateur palestinien de 2005 en vienne à faire douter ses personnages de commettre leur acte ignoble en raison de la nature même de cet acte et non de considérations purement cyniques et machiavéliques. Malheureusement, Abu-Assad n’exprime aucune compassion, aucune gène pour la vie des femmes et des enfants qui seront déchiquetés dans le bus emprunté par le terroriste. Martelé tel un mauvais refrain qui ne s’arrête pas, l’attentat suicide est « expliqué » par l’occupation israélienne et la souffrance des palestiniens. Aucune critique ou remise en question, basée sur le minimum de valeurs humaines et morales, d’une telle argumentation terroriste n’est formulée dans le film. Au contraire. Si l’acte terroriste n’est pas, prudence oblige, ouvertement légitimé, il n’est en revanche aucunement dénoncé et combattu pour ce qu’il est réellement : un acte de pure barbarie et de bestialité indigne de tout être humain. Les vies israéliennes ne comptent certes guère aux yeux remplis de froideur et de terreur des fanatiques ceinturés de bombes, mais on aurait pu attendre autre chose d’un réalisateur cinématographique cherchant la considération internationale.

Dangereux, parce que outre l’absence totale de délégitimation morale du terrorisme, le film utilise la technique traditionnelle de la désinformation à l’encontre d’Israël. Images de soldats froids et effrayants aux check points, responsabilité d’Israël comme cause unique de la misère palestinienne, contraste particulièrement mis en avant entre la pauvreté moyen-âgeuse des villes palestiniennes et la modernité occidentale des villes israéliennes, et surtout, présentation des « cibles » choisies par les terroristes : si l’un d’entre eux hésite et finalement refuse de monter dans un bus remplis uniquement de civils, il n’hésitera pas à le faire dans un bus bondé de militaires. Une façon insidieuse de laisser croire au spectateur que l’acte du kamikaze palestinien s’apparente davantage à la lutte armée qu’au terrorisme aveugle, et en devient de ce fait plus compréhensible et plus respectable. Or non seulement un tel choix n’existe pas dans la réalité, plus de mille morts civils israéliens sont tombés sous les bombes des terroristes, mais se faire sauter au milieu d’hommes en uniformes ou d’hommes en civils relève évidemment de la même lâcheté et de la même ignominie.

Quand on sait les dégâts qu’a déjà fait ce type de désinformation dans nos villes, nos banlieues et ailleurs dans le monde au cours de ces dernières années, on ne peut que condamner avec la plus grande véhémence l’usage d’un tel procédé indigne, étant davantage l’apanage de militants enturbannés que de cinéastes éclairés.

Instructif, parce que ce film montre finalement le visage réel des terroristes palestiniens, insensibles et inhumains, mais aussi le visage de ceux qui, au sein des territoires palestiniens, seraient tentés de s’opposer au terrorisme. Ces fameux « modérés » ne condamnent en rien les attentas pour des raisons morales ou humaines, mais uniquement pour tenter de parvenir plus rapidement à leur fin par d’autres moyens. Est-ce avec ces personnes là que les territoires palestiniens seront un jour une démocratie et qu’Israël pourra demain faire la paix ?

Plus qu’un film militant, « Paradise now » ne constitue rien d’autre qu’un documentaire de propagande ne cherchant en aucune manière à condamner le terrorisme aveugle palestinien, au contraire, et s’évertuant en revanche à diaboliser Israël.

Les critiques de la presse française ont, comme on pouvait s’y attendre, encensé et défendu le film. Pour « Elle », le film « montre, sans la défendre, la spirale infernale qui mène à l'acte terroriste ; un acte réussi ». Pour « Le Nouvel Observateur », le cinéaste « se sort avec droiture et honnêteté, cette condamnation sans appel de toute violence vaut d'être entendue ». Pour « Ouest France », Abu-Assad « aura avec sincérité et honnêteté, et toujours dans la rigueur de l'équilibre, tenté de réunir des éléments de questions et de réponses à un drame qui le laisse entrevoir aucune solution ». Pour « Libération », le film est « un reflet plutôt juste de ce qui se passe dans les territoires palestiniens. ». Pour « Le Monde » enfin, « l'occupation y est ainsi dénoncée comme la raison du désespoir qui les amène à prendre cette décision ». Une analyse présentée comme « aussi juste qu'essentielle sur le fond ».

Quand le terrorisme palestinien là-bas reçoit en échos le terrorisme intellectuel ici.

Bravo mesdames et messieurs les critiques ! Voilà un travail de rigueur, d’honnêteté et de partialité qui inspire le respect. On croirait lire les communiqués du Quai d’Orsay sur la situation politique et militaire sur le terrain. Mais, comme on le dit dans le cinéma, toute coïncidence avec des personnages – oh pardon, ici avec des propos – ayant réellement existé, ne serait que purement fortuite.

Au moment où Israël a récemment fait preuve d’un geste exemplaire pour la paix, et alors qu’on est désormais en droit d’attendre une réponse de taille de la part de l’Autorité palestinienne, un tel film, et un tel accueil, ne sont d’aucune aide pour faciliter l’avancée sur un chemin de la paix qui demeure, preuve en est à nouveau faite, semé d’embûches.

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le Pakistan est prêt à accepter l’aide des services de secours israéliens. le président de l’American Jewish Commitee invite les Juifs à montrer leur solidarité avec les victimes du tremblement au Pakistan.

Le Ministre des Affaires étrangères, Silvan Shalom, a envoyé dimanche 9 octobre une lettre à son homologue pakistanais, Khurshid Kasur, qu’il a rencontré le mois dernier.

Dans cette lettre, il exprime les profondes condoléances au Gouvernement et au peuple pakistanais, et se met à la disposition du Pakistan pour aider ce pays par tous les moyens possibles, notamment l’envoi d’équipes israéliennes qui ont une grande expérience dans le sauvetage et la recherche de victimes ensevelies*.



Israël attend la réponse du gouvernement pakistanais et prépare d’ores et déjà des envois d’équipements de sauvetage pouvant être expédiés sans personnel dans les zones sinistrées.



Le Pakistan est un pays musulman n'ayant pas de relations diplomatiques avec Israël. Il y a toutefois des précédents à l'envoi de délégations humanitaires à des pays musulmans sans liens diplomatiques, comme récemment en Indonésie lors du tsunami de 2004 (Voir les aides israéliennes suite au tsunami).



Israël a également offert son aide à l'Inde qui a pour le moment refusé, estimant pouvoir se débrouiller par elle-même (l’Inde a eu la même approche lors du tsunami). L'Inde entretient des rapports diplomatiques et commerciaux étendus avec Israël

Israël a envoyé ses équipes de sauvetage et de recherche de victimes ensevelies lors des tremblements de terre en Inde (Janvier 2001), au Salvador (Janvier 2001), en Turquie (Août 1999), lors également des inondations en Amérique centrale (Novembre 1998) et lors de l’attentat contre l’ambassade américaine du Kenya (Août 1998), en Ethiopie, Kosovo, rwanda, et à la suite du tsunami, Israel a été le premier pays a venir immédiatement amener des secours et des équipes médicales au Sri Lanka.c’est 4.000 volontaires israéliens qui ont emporté avec eux 100 tonnes de vivres et de médicaments. L’ensemble est estimé à une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars. Le jour même du raz de Marée géant, le 26 décembre 2005 Israël a été le premier pays à offrir son assistance et à envoyer son aide humanitaire aux sinistrés de Taiwan d’abord, puis au Sri lanka le 27 décembre et en Inde le 28 décembre.

Au Sri Lanka une équipe de médecins de l’armée de Tsahal est arrivée avec 82 tonnes de médicaments, de nourriture, d’aliments pour bébés, de tentes et de générateurs.

En Taïlande ce sont près de 600.000 dollars d’aide humanitaire dont 500 masques et 3 000 enveloppes mortuaires. Les forces de coopérations israéliennes présentes sur place représentent le Ministère des affaires étrangéres, le ministère de la santé et le ministère des finances.

Une unité spéciale de police : le ZAKA, fait un travail remarquable dans la recherche et l’identification des corps humains.Sur place, c’est-à-dire : au Sri Lanka en Inde et en Tailande, vu l’ampleur de cette apocalypse, les équipes y ont été renforcées. Elles ont alors réussi à installer des centres de secours et d’aide humanitaire d’urgence. Plus de 20 centres d’appel équipés de téléphones et d’ordinateurs ont été installés. Ces centres sont en liaison permanente 24H / 24 avec les ambassades de Bangkok, de New Deli ainsi qu’avec le consul de Bombay. Ce centre de crise a pour mission de répondre à tous les appels.

À ce jour, ce centre a dénombré plus de 25.000 appels reçus et a recensé plus de 20.500 personnes disparues.








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Malgré le prétendu calme du "Tahdia", consenti par les factions palestiniennes en février de cette année, l’organisation Hamas n’a pas diminué ses efforts pour commettre des attaques terroristes diverses.


Cependant, il n’a pas revendiqué ces attaques pour qu’il puisse continuer à appliquer une pression violente sur Israël pour faire de nouveaux retraits, en réduisant le risque d’opérations contre-terroristes israéliennes et évitant ainsi le besoin de payer le prix politique dans la rue palestinienne pour ses attaques controversées.

Depuis le désengagement de la Bande de Gaza, le Hamas a fait un effort spécial pour commettre des attaques en Judée et Samarie, particulièrement dans ces secteurs où la barrière de sécurité est incomplète. Les forces de sécurité de l’Autorité Palestinienne doivent encore prendre toute action possible contre le Hamas malgré des déclarations publiques du contraire.

I. Une cellule du Hamas découverte à Shai’h
a. Contexte

Dans les mois récents, une cellule terroriste du Hamas a été découverte à Shia’h, un village au nord de Hebron. la cellule était responsable de l’organisatio) et la perpétration d’attaques terroristes dans la région pendant les dernières quelques années. La direction du Hamas dans le secteur d’Hebron s’est assuré que des armes et des instructions opérationnelles avaient été reçues par la cellule. Cette cellule était composée d’un grand nombre des gens qui avaient été formés à l’utilisation d’explosifs et des armes à feu. Le commandant de la cellule terroriste est Mussa Hala’akia, 37 ans, marié avec neuf enfants et résidant de Shia’h. Hala’akia était responsable du recrutement et de la formation de la plupart des membres de la cellule.

b. Attaques terroristes commises par la cellule avant le "Tahdia"

En juillet et septembre 2003, les membres de la cellule ont commis deux attaques à l’arme à feu sur la route de contournement Halhul, à l’est d’Hebron. Il n’y a eu aucune victime.
En août 2004, les membres de la cellule ont bombardé un autobus israélien près d’El-Arub, au nord de Hebron. Il n’y a eu aucune victime.
En novembre 2004, les membres de la cellule ont bombardé une voiture israélienne à l’entrée à la communauté de Metzad dans le secteur d’Hebron. Deux femmes israéliennes ont été légèrement blessées.

c. Plusieurs attaques terroristes projetées pendant le calme ont été empêchées

Une tentative de faire sauter un hélicoptère de l’Armée de l’air d’Israël garé sur une base du Désert de Judée en employant une bombe de 20kg ; une attaque à l’arme à feu contre une jeep de Tsahal, qui devait inclure l’enlèvement des soldats et le vol de leurs armes ; et l’enlèvement d’Israéliens marchant à pied dans le Désert de Judée.
Pendant le Tahdia, une explosion s’est produite dans la maison de Mussa Hala’akia tandis qu’il préparait des bombes pour des attaques terroristes.
Ces attaques terroristes ont été empêchées en raison de la découverte de la cellule. Il est remarquable que, pendant cette période, la direction du Hamas a continué à déclarer qu’elle était liée par le "Tahdia".

II.Découverte de l’infrastructure terroriste du Hamas à Dahariya
a. Contexte

Dans les semaines récentes, une cellule terroriste du Hamas a été découverte à Dahariya. Elle avait été active depuis 2002 et avait commis plusieurs attaques terroristes mortelles dans le Negev et dans le secteur d’Hebron, dans lequel quatre Israéliens ont été assassinés et des dizaines de gens ont été blessés. Le chef et fondateur est Husam Kaisiya, 27 ans, marié et le père de deux enfants, un ouvrier métallo de Dahariya, qui a été emprisonné en 1999-2000 pour son activité au Hamas. Après sa libération, il a recruté plusieurs de ses amis pour la cellule terroriste qu’il a établie. Les membres de la cellule se sont joints au QG du Hamas dans le secteur d’Hebron, qui leur a fourni du matériel de guerre, des armes et des instructions opérationnelles.

b. Attaques terroristes commises par la cellule avant le Tahdia

Le 10 février 2002, les membres de la cellule Khaled Tal et Muhammad Batat ont ouvert le feu à l’entrée de la base du Commandement de Tsahal à Be’er Sheva, assassinant le lieutenant Keren Rothstein, 20 ans, d’Ashkelon et le Caporal.Aya Malachi, 18 ans, du Moshav d’Ein Habesor. Quatre autres ont été blessés, un d’une façon critique. Un des terroristes a été tué sur place ; le deuxième, portant une ceinture d’explosifs, s’est enfui dans la direction d’une école voisine, où il a été visé et tué par un soldat et un policier.
Le 22 mai 2003, les membres de cellule ont tiré sur un véhicule israélien près de Nevatim. Un soldat a été légèrement blessé.
Le 17 juin 2003, les membres de cellule ont tiré sur un véhicule israélien près de Tene. Personne n’a été blessé.
Le 27 février 2004, des membres de cellule ont pris en embuscade un véhicule israélien près de la jonction Sansana, à l’intérieur de la Ligne Verte, au nord de Be’er Sheva, un secteur qui reste non-enclos, assassinant Eitan Kukoi, 30 ans et sa femme, Rima Novikov Kukoi, 25 ans, de la région proche.
Le 22 août 2004, les membres de la cellule ont projeté d’enlever un conducteur israélien, tirant sur un véhicule israélien près de Tene. La conductrice a subi un choc, mais est sortie indemne. Elle a continué à rouler, empêchant ainsi l’enlèvement prévu.
Le 3 février 2005, à la veille du "Tahdia", les membres de la cellule ont tiré sur une jeep de Tsahal près d’Eshkolot, blessant quatre soldats.

c. Attaques terroristes commises par la cellule pendant le "Tahdia"

Le 28 août 2005, pendant le Tahdia, Rahman Kaisiya a essayé de commettre un attentat-suicide à la Gare d’autobus Centrale de Be’er Sheva . Deux gardes chargés de la sécurité a été sérieusement blessés empêchant Kaisiya de se faire sauter dans un secteur bondé.

III. Découverte d’une cellule du Hamas dans le secteur de Ramallah
a. Contexte

En 2003, Yasser Muhammad Muhammad Salah a été recruté par l’aile militaire revendiqué du Hamas pendant ses études en Egypte par un terroriste de la Bande de Gaza Muhammad Tira. Salah est le fils du commandant de police de Ramallah, qui sert aussi de un conseiller au Ministre de l’Intérieur de l’Autorité Palestinienne Nasser Yusuf. Pendant ses études, Salah a été envoyé dans le Sinaï pour vérifier les sites de vacances fréquentés par les Israéliens comme des sites possibles pour des attaques terroristes futures. De retour à Ramallah au début de 2004, Salah a été recruté par une cellule terroriste du Hamas pour commettre les attaques qui devaient être dirigées et financées par le Hamas dans la Bande de Gaza. La cellule a été formée par le QG du Hamas de la Bande de Gaza pour enlever un soldat et a projeté d’enlever un officier de Tsahal qui avait des liaisons pour des affaires de drogue.
Le QG de la Bande de Gaza a expédié une experte en explosifs, Samar Tzviah, depuis la Bande de Gaza en Judée et Samarie pour mettre à niveau les préparatifs de fabrication de bombes dans les cellules du Hamas de Judée et Samarie.
Dans les mois récents, pendant le "Tahdia", les membres de cellule ont projeté une variété d’attaques terroristes (l’enlèvement de Juifs de sites divers dans le secteur, un attentat-suicide sur une base de Tsahal locale et des coups de feu sur des Israéliens dans le secteur de Ramallah) que les forces de sécurité ont déjoué.

b. L’enlèvement et le meurtre de Sasson Nuriel

Le 21 septembre 2005, les membres de cellule Abdallah Arar et Ali Kadi, qui travaillaient dans une usine Mishor Adumim, ont convaincu leur manager, Sasson Nuriel, de voyager avec eux à A-Ram pour acheter un percolateur. Sur la voie d’A-Ram, ils ont kidnappé Nuriel le menaçant avec un fusil. Il a été conduit dans un appartement de Ramallah, où il a été enregistré sur magnétoscope faisant de force une déclaration. Le plan initial était de l’échanger pour des Palestiniens emprisonnés en Israël, mais peu de temps après l’enlèvement de Nuriel, ses ravisseurs se sont affolés et l’ont emmené dans le dépôt d’ordures du village de Beitunia, à l’ouest de Ramallah, où ils l’ont poignardé à la mort