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derb Korea...Casablanca
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1 avril 2011 23:42
Mauritania

Hier encore...
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15 avril 2011 23:07
Citation
BARA222 a écrit:
Mauritania

Hier encore...


now
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17 avril 2011 22:54
Les marchands ambulants dictent leur loi

Au boulevard Mohammed VI, la circulation est constamment bloquée. Impossible de se frayer un chemin au milieu des marchands ambulants qui bloquent le trafic. Sur place, les klaxons, les cris des conducteurs, les voix bruyantes des marchands ambulants stressent les passants. Ce vacarme est le quotidien des habitants et passants de Derb Sultan.

«Les «ferracha» (étalages de vendeurs ambulants) occupent presque tout le trottoir et chaussée. Ce chaos perturbe la circulation et ne laisse qu'une seule petite voie libre sur le boulevard partagée entre véhicules et piétons», déplore une habituée de ce cœur commercial de la métropole.
En effet, sur place, les charrettes et étalages des commerçants occupent plus de la moitié de l'artère. Les voitures, bus, taxis et piétons,… forment une file d'attente interminable. Au sein de ce chaos, pas la peine d'attendre le feu vert ou de respecter le sens interdit, il n'y en a pas tout simplement.
Les querelles entre conducteurs, passants et commerçants ne cessent presque jamais. «Cette situation est devenue un vrai enfer pour les citoyens et une aubaine pour les voleurs», ajoute une autre femme tout en fouillant dans un étalage d'ustensiles de cuisine.

Il faut dire que la situation chaotique de ce cœur commercial de la capitale économique ne dissuade pas les habitués de la place de faire leurs rondes habituelles. Certaines femmes s'y rendent plusieurs fois par semaine, pour faire leurs courses, s'informer des dernières nouveautés en produits de consommation ou tout simplement pour flâner.
Derb Sultan attire beaucoup de visiteurs et de chalands, ce qui encourage l'installation des marchands ambulants. «Les vendeurs finiront par bloquer définitivement ce boulevard s'ils continuent ainsi», nous confie un chauffeur de taxi. Et d'ajouter que la situation empire en période des fêtes et des vacances.
En effet, «kissariat» (centre commercial) El Haffari et «zenkat» (rue) Chamal ainsi que les autres rues de Derb Sultan attirent des clients de tout le Royaume. Certains viennent s'y approvisionner durant les vacances pour leurs maisons et leurs enfants alors que d'autres ont en fait une source de gain grâce aux prix concurrentiels des grossistes. «Les marchandises de ce centre commercial sont uniques, diversifiées et à la portée de tout le monde; en les revendant dans les marchés régionaux je fais d'importants bénéfices», nous confie un vendeur ambulant dans la région de Béni Mellal.

Cet engouement pour Derb Sultan ne fait qu'encourager les commerçants ambulants à prendre encore plus d'espace mais aussi les commerçants réguliers de se convertir en «ferracha».
Ces derniers exposent via des personnes tierces leurs marchandises sur la voie publique. Une façon pour eux de concurrencer le commerce informel. Pis, certains propriétaires avides louent la façade de leurs maisons, voire les murs à des ambulants moyennant 10 à 20 DH par jour. Ceci dit, il devient quasiment impossible aux pouvoirs publics de venir à bout de ce fléau. Récemment, la police de proximité ne fait que passer dans ce secteur et les forces auxiliaires ont cessé de pourchasser les vendeurs en illégalité.
Il est à rappeler que la préfecture de Mers Sultan-Al Fida a déjà tenté d'organiser les marchands ambulants dans l'espace, notamment à travers la désignation de zones rouges où est interdit d'exercer le commerce ambulant et de zones bleues où il est toléré ce genre de commerce, ainsi que la fixation d'un calendrier et des périodes pendant lesquelles le commerce ambulant pourrait être exercé à raison d'une fois par semaine et par endroit.

La mise en œuvre de cette stratégie était basée sur une opération de sensibilisation ayant pour objectif principal d'informer les marchands ambulants des efforts engagés par les autorités préfectorales, de la commune, des associations et de la Chambre professionnelle pour les organiser d'une manière durable et plus efficace en vue d'évacuer la voie publique, préserver les intérêts des commerçants formels et de garantir aux marchands ambulants un revenu nécessaire pour subvenir à leurs besoins vitaux. Toutefois, ces derniers ont trouvé la nouvelle stratégie injuste.

«On ne refuse pas de s'organiser. Cependant, on ne peut pas laisser nos places et nous déplacer dans des nouvelles zones peu fréquentées entre les ruelles par les clients», explique l'un d'entre eux.
En attendant de trouver une solution radicale, le boulevard Mohammed VI et toute la région de Derb Sultan continuent de subir le désordre et la pollution sonore provoqués par les commerçants ambulants.

Les marchands ambulants en chiffres
Une étude réalisée par la direction régionale du Haut commissariat au plan (HCP) en 2007 a fait ressortir que les marchands ambulants se concentrent sur 30 points de vente disséminés sur l'ensemble du territoire de la préfecture de Derb Sultan-El Fida. 86 % de ceux qui se trouvent au niveau de Mers Sultan-El-Fida sont des résidents, 95% n'exercent aucune autre activité et 85% exercent ce commerce depuis plus de 4 ans, sachant que la moyenne quotidienne des marchands est estimée à 7.700 personnes. S'agissant des répercussions et des problèmes engendrés par ce phénomène, la direction régionale du Haut commissariat au plan avance que la prolifération de ces marchands se répercute négativement sur l'organisation de la voie publique qui est constamment occupée, ce qui entrave la fluidité de la circulation.
En outre, l'étude fait savoir que ces marchands encouragent la prolifération des produits de contrebande ou impropres à la consommation et créent des problèmes de sécurité.

source: Le matin
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26 avril 2011 22:27
cinéma Malaki


L'un des cinémas mythiques des années 40 et qui a connu le passage Farid Al Atrache,Houda Soultane,Youssef Wahbi,Nass El

Ghiwane...
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18 mai 2011 22:23
Le Mauritania, Café historique de Derb Sultan construit en 1947, réputé pour avoir été le quartier général de l'intelligentsia Marocaine

écrivains,acteurs,poètes ...

Mauritania café
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29 mai 2011 22:47
Mauritania


Habous de Casa, histoire d'un quartier très particulier


Le quartier des Habous, conçu en 1917 par des architectes français, à l’image des médinas traditionnelles, a été achevé dix ans plus tard.
Le terrain de 4 ha sur lequel il fut bâti a été donné par un certain Haïm Bendahan à l’administration des Habous.?
Patrimoine de l’architecture coloniale française et de l’histoire de Casa, le site se détériore peu à peu du fait de la spéculation et du laisser-faire de l’Administration.



Peu prodigue en lieux fascinants, Casablanca a eu, cependant, l’heureuse inspiration d’en élaborer un. Il s’agit du quartier des Habous, aux infinis attraits, auxquels promeneurs et touristes ne résistent pas. Comment le pourraient-ils face à cette superbe incarnation de l’authenticité architecturale marocaine ? Le plus étrange dans cette histoire de pierres, c’est que le quartier n’a pas été conçu par des autochtones versés dans la conception de médinas, mais par des architectes français.

Nous sommes en 1915. Casablanca a renoncé à sa vocation de villégiature pour se convertir en cité industrielle. Le port est en reconstruction, les usines poussent comme des champignons après la pluie, les chantiers pullulent. Toute cette effervescence n’échappe pas à l’attention des miséreux qui, après avoir bradé leurs lopins de terre ou liquidé leurs maigres meubles et effets, partent vers la grande ville, en quête de jours meilleurs. Souvent, ils ne trouvent pas où se loger. Aussi, profitent-ils de la tombée de la nuit pour s’aventurer jusqu’aux portes de l’ancienne médina. Là, ils improvisent, avec les moyens du bord, des lits dans lesquels ils dorment à la belle étoile.

Le quartier des Habous a été bâti pour éloigner les musulmans des quartiers européens
Les colons ressentent cette incursion nocturne des sans domicile fixe à la frontière de leur territoire comme une menace imminente à leur quiétude. Un jour, redoutent-ils, ceux-là pousseront l’audace jusqu’à envahir leurs quartiers. Or, ils ne se voient pas frayer avec des pauvres hères aux mœurs étranges.


La Résidence est mise au parfum. Elle est sommée de prendre des mesures. Lesquelles consistent à circonscrire les «indigènes» dans les limites d’un périmètre éloigné de la ville européenne. Le général Lyautey, soucieux d’éviter des frictions prévisibles entre musulmans et chrétiens, veut bien satisfaire les désirs impérieux des colons, sauf que les fonds lui font défaut. C’est l’impasse.

Lyautey est sauvé par le gong. En effet, un certain Haïm Bendahan, qui possède des terrains en abondance, décide charitablement d’en céder une part substantielle, celle qui se trouve sur la route de Médiouna, aux fondations pieuses, autrement dit aux Habous.

Ceux-ci rejettent ce don parce que émanant d’un juif. Le sultan, appelé à la rescousse du résident général, parvient à persuader les théologiens de l’importance de cette manne tombée du ciel. Un don est toujours pain bénit quelle que soit l’identité confessionnelle du donateur, leur dit-il. Ce dont la docte assemblée a fini par convenir. Voilà comment une parcelle de quatre hectares est tombée dans l’escarcelle de l’administration des Habous.

Une «agglomération indigène» dessinée par l’architecte Albert Laprade
C’est à l’architecte Albert Laprade qu’impartit la tâche de dessiner cette «agglomération indigène» dédiée aux musulmans à revenus modestes. Il envisage de l’insérer entre la route de Médiouna, le palais et la voie de chemin de fer. Une sorte d’enclave, en somme, isolée et qui ferait tampon entre les deux communautés. Quant à son plan, Laprade le conçoit, en 1917, ainsi : «A l’entrée, se trouve une très vaste place entourée de boutiques et flanquée de grandes tours d’hôtellerie pour gens et bêtes venant du bled. De là part la voie principale, rue de commerce bordée d’un élégant portique à arcades avec boutiques. Cette rue conduit à la place centrale autour de laquelle se groupent grande mosquée, bain maure, bazars.

A droite et à gauche de la voie principale, mais en contact avec elle par des accès peu nombreux, se trouvent toutes les rues des quartiers d’habitation. A proximité du marché se trouvent les maisons modestes. Les plus importantes sont à proximité de la mosquée, dans la partie la plus calme. On a évité de créer des courants de circulation à travers les rues zigzagantes qui desservent les habitations indigènes».

On aura compris que Laprade a pensé son ouvrage sous l’aspect d’une médina. Avec sa structure labyrinthique, ses rues étroites et sineuses, sa mosquée autour de laquelle s’organisent les activités commerciales, son hammam, ses maisons aux façades aveugles, aux intérieurs introvertis et aux portes qui «ne se font jamais face». Henri Descamps la dépeint en ces termes : «La nouvelle ville arabe sauvegarde les traditions et coutumes indigènes : les rues sont étroites, avec de pittoresques décrochements, les maisons entièrement tournées vers l’intérieur ouvrent sur le “patio” familial.

On s’est contenté d’ajouter, discrètement, les acquisitions de la science moderne. Les terrasses sont en terre battue, les poutres où les insectes peuvent se loger sont remplacées par le béton armé, les cabinets d’aisance sont reliés au tout-à-l’égout. Il y a l’électricité et le téléphone, les rues sont propres, le tracé qui semble irrégulier permet la circulation des voitures de nettoiement. Mais ces progrès d’ordre matériel ne portent aucune atteinte à la vieille civilisation orientale, d’esprit bien différent.» (in la revue La construction moderne, 26 octobre 1930).

Investi par les bazaristes, le quartier à perdu son âme
Le quartier des Habous n’a pas seulement l’air d’une médina, il est structuré et fonctionne indéniablement en tant que tel. La médina est composée d’abord par Laprade, avant sa mutation à Rabat, ensuite Auguste Cadet et Edmond Brion prendront le relais. En chœur, ils tissent, selon Jean-Louis Cohen et Monique Eleb (voir Casablanca, mythes et figures d’une aventure urbaine, Hazan, 1998), les arcades de la rue principale, la grande mosquée et le hammam.

Dix ans après le coup d’envoi des travaux, sera prête cette «ville indigène ou, plus exactement, la ville construite par les architectes français pour les indigènes, en tenant compte de leurs mœurs, de leurs scrupules et en ajoutant ce que l’hygiène européenne peut y ajouter», ainsi que l’écrit Léandre Vaillat, dans Le visage français du Maroc (Horizons de France, 1931).

Dès son éclosion, le quartier des Habous, avec ses cent cinquante boutiques, attire les négociants aisés, ceux de Fès particulièrement, qui, non seulement y élisent commerce, mais se fixent dans ces demeures somptueuses, dont les saveurs leur sont familières. Pour autant, le lieu ne saurait être étiqueté «bourgeois», vu que ceux qu’on n’appelait pas encore «petites gens» y avaient droit. Il serait plutôt un creuset de classes sociales, chacune y trouvant son compte entre ses murs.

Aux yeux du poète Abdallah Zrika, le quartier des Habous est la «plus majestueuse des cités antiques du Maroc». La formule, qui est poétique mais non hyperbolique, dénote l’étendue de l’engouement que cet espace suscite. Pour s’en convaincre, il suffit de s’attabler à la terrasse du café Mauritania.

Vous ne manquerez pas d’y croiser des amoureux de ce site qui poussent leur dévotion jusqu’à venir rituellement s’y recueillir. Mohamed Laâroussi, impitoyable dézingueur de la bêtise humaine, en est complètement amoureux, et ne s’en cache pas. «Je n’y suis pas né. J’y ai grandi. C’est un quartier que je connais depuis 1962.

Maintenant, je n’y habite plus. Ce qui ne m’empêche pas de m’y rendre régulièrement. Sous n’importe quel prétexte. D’ailleurs, j’ai inscrit mon fils dans l’un des lycées voisins, afin de pouvoir justifier mes fréquents pèlerinages à cet endroit magique, dont je n’épuiserai jamais le charme», confesse-t-il.

Des maisons transformées en ateliers ou en entrepôts
Laâroussi n’est pas le seul à rendre un véritable culte aux Habous. Nombreux sont ceux qui entretiennent avec ce lieu la même relation. Et non des moindres. Des écrivains réputés tels Abdallah Zrika, Mohamed Bennis, Saïd Yaktine ou Mohamed Berrada; des politiciens influents, comme feu Abderrahim Bouabid, Mahjoub Benseddik, Si Mohamed Bensaïd en sont (ou étaient) épris. Les uns tiennent salon au café Mauritania, les autres se livrent à des joutes «idéologiques» dans le même lieu, avant d’aller flâner parmi les senteurs exhalées par le quartier.

Il y a de cela deux décennies, raconte Laâroussi, les habitants manifestaient une ferveur jalouse envers leur quartier pour lequel ils étaient aux petits soins ; ils chassaient parfois les gamins des autres quartiers qui osaient le traverser, par crainte de le voir «souillé». Plus tard, déserté par ses plus vigilants habitants partis s’installer dans des endroits chics, le quartier des Habous voit son charme s’effriter lentement mais inexorablement. Par la faute de ces marchands du temple qui n’ont aucun égard pour ce lieu-culte.

Investi par des bazaristes, plus préoccupés par les dividendes que par la préservation de ce patrimoine, le site se dégrade. Les maisons se transforment peu à peu en ateliers d’artisanat ou en entrepôts, déplore Laâroussi. Elles sont convoitées par des individus sans scrupules, prêts à payer le prix fort pour les acquérir. Deux à trois millions de dirhams pour une simple maisonnette, ceci au nez et à la barbe des pouvoirs publics et de l’administration des Habous qui en est le légitime propriétaire.

«Conscients du risque de délabrement que court le quartier des Habous, nous avons, des amis et moi, tenté de créer une association pour sa sauvegarde. On nous a mis tellement de bâtons dans les roues que nous avons dû renoncer à notre projet», se plaint, amer, Mohamed Laâroussi. Pendant ce temps, c’est son âme que le quartier des Habous perd peu à peu.

et-Tayeb Houdaïfa
www.lavieeco.com
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3 juin 2011 23:45
Les prières et les suppliques ont été entendues …Pour mesurer le chemin parcouru pour la réhabilitation du parc de l'Hermitage, il faudrait revenir à ce beau texte d'une membre du collectif et coordinatrice de l'Association Source du Lion Florence Renault-Darsi qui rappelait en 2001 cette immense désespérance des arbres survivants dans, « ce parc de 14 hectares, abandonné à son triste sort de poubelle géante, de dépotoir à gravats et autres immondices. Un parc souffrant gravement d'une maladie incurable qui s'appelle indifférence devenu lieu de perdition, drogues, viol, agressions multiples, un lieu de non retour gagné par toutes les misères qui s'y concentrent. Feu le parc de l'Ermitage n'est plus, il n'est plus que prières pour renaître de ses cendres, il n'est plus que suppliques pour que s'achève enfin cette lente agonie, par étouffement progressif et sans fin». La lente agonie s'est achevée au bout de prés de quatre années d'une laborieuse réhabilitation et « ce parc d'horticulture si grand, si beau avec des arbres et des plantes florissantes qu'il ressemble à un conte de fées »est enfin une réalité qui ravit les visiteurs d'aujourd'hui et les riverains du parc des quartiers populaires de Mers Sultan El Fida et Derb Soltan.

L'esprit des premiers plans d'urbanisme de Casablanca établis en 1920 a été respecté et le parc est toujours connecté aux boulevards avoisinants. On se souviendra que les urbanistes de l'époque dont Jean-Claude Nicolas Forestier, le bâtisseur des grands parcs de Casablanca, voulaient faire du parc de l'Ermitage situé en périphérie de la ville, pour des questions de santé, une pépinière ouverte aux riverains et à tous les habitants de la métropole. Une préoccupation qui sera au cœur de la Charte d'Athènes et de l'architecte Le Corbusier pour qui «Les matériaux de l'urbanisme sont le soleil, l'espace, les arbres, l'acier et le ciment armé, dans cet ordre et dans cette hiérarchie». D'où l'importance donnée aux «espaces verts» nés de la volonté de donner une plus grande place à la nature au sein même de la ville. Pour le parc de l'Hermitage créé en 1917, le souci de préserver la valeur patrimoniale du parc était constamment présent dans l'esprit des restaurateurs qui ont réussi à créer une atmosphère propre au parc que ressentent les visiteurs. Les youyous entendus à la porte en témoignent comme les yeux remplis de joie des jeunes qui s'activent. Ce parc, c'est une identité et une dignité retrouvée, et c'est aussi une grosse bouffée d'oxygène, une grande respiration pour ces populations de la périphérie. C'est à fois des jardins avec une flore des différents continents où les vieux palmiers et eucalyptus sauvegardés cohabitent avec une nouvelle flore «de végétaux emblématiques de Casablanca constituée de palmiers (Phoenix canariensis,…), d'arbres indigènes (Ficus benjamina) et d'espèces acclimatées (Araucaria excelsa,…) venues d'Asie, d'Afrique, d'Australie arrosée par un système d'irrigation automatique. C'est aussi cet étang d'eau qui va accueillir des plantes aquatiques, des poissons, des oies des canards, alimenté par un système de refoulement de l'eau du bassin. Par souci de préservation de l'eau, ce bassin hydraulique, est en effet alimenté à partir de la source naturelle «Atlantide», réservoir d'eaux de pluie utilisées pour l'arrosage des jardins et espaces verts de la ville.

Le parc, c'est aussi un espace de détente, un terrain de récréation et de jeux, c'est surtout la santé pour tous petits et grands qui s'adonnent qui à la marche, qui à l'activité physique en plein air ou à la reconnaissance des différentes espèces de la flore. L'ambition de la Fondation est en effet de transformer le parc de l'Hermitage en un espace de sensibilisation et d'éducation à l'environnement. L'information sur la flore à travers les différentes sortes de plantes, leurs natures et leurs origines sera décliné sous forme de panneaux informatifs affichés dans plusieurs endroits du parc. Comme dans les parcs historiques restaurés à Marrakech et à Fès un «jardin du monde» fera voyager le visiteur en Asie, Amérique latine et Afrique grâce à la magnificence de certains de ses végétaux. Les « classes vertes » constituent une préoccupation pour la Fondation qui à travers la restauration des parcs fait mieux :elle montre aux enfants « la nature chez eux, en ville, comme élément de leur «cadre de vie», au fil des saisons et des rythmes de la nature dont ils n'ont parfois qu'une idée très approximative ».Mais au-delà de la flore, le parc de l'Hermitage c'est aussi tout simplement le lieu des retrouvailles et d'amitié pour les adolescents qui y tracent leurs repères et leurs espaces …c'est le lieu de repos, de méditation, d'évacuation du stress, pour ceux qui habitent des logements peu spacieux dans des quartiers de plus en plus bétonnés. Qui dira tout le bien fondé des parcs, des jardins, du végétal dans le cadre de vie des habitants et dans les politiques urbaines ?

« Je reçois, je préserve, je transmets »

La fondation Mohamed VI pour la protection de l'environnement présidée par la Princesse Lalla Hasna et portée par le mot d'ordre « je reçois, je préserve, je transmets » qui est tout un programme au cœur du développement durable, l'a compris et a fait de la restauration des jardins historiques un des piliers de l'institution. La tache est complexe et les défis nombreux : en se référant à la Charte de Florence, ceux qui sont en charge de cette question conviennent que « La conservation et la restauration des jardins et paysages historiques, dans les pays occidentaux, sont l'objet de préoccupation récente de la part du public et des responsables politiques.

Il s'agit d'un patrimoine encore mal identifié dans le triple registre culturel, technique et juridique, dont les créations font partie autant du domaine architectural que du domaine paysager. Les jardins et les paysages sont des objets de culture incontestables, mais contrairement à la conception habituelle d'un patrimoine immuable, ils mettent en œuvre des matériaux vivants, des processus naturels, et possèdent une dimension éphémère irréductible ». Au Maroc, si le patrimoine historique a été revivifié, on a néanmoins évité de faire du parc un musée naturel en l'ouvrant à des activités inscrites dans le temps du moment et en sensibilisant les jeunes générations à l'environnement. C'est ainsi que plusieurs jardins et parcs ont été aménagés à travers tout le Maroc, comme tout récemment au centre de Marrakech le jardin historique Arsat Moulay Abdessalam qui s'étend sur huit hectares devenu le Cyber Parc Arsat Moulay Abdesslam grâce à un partenariat réussi entre un opérateur national et plusieurs sociétés d'informatique. C'est le cas aussi du parc Jnan Sbil de Fès situé au cœur de la ville, s'étendant sur une superficie de 7,5 ha, avec son bassin d'eau, l'allée des Washingtonias, ses polygones, les bambous, la noria, l'Etoile historique, le Borj et ses 9»Jardins éphémères» le jardin Majorelle, le jardin Arabo-Andalou, le Jardin Français, le jardin Labyrinthe, le jardin d'Orient, le jardin Mexicain, le jardin des Simples, le jardin du Sahara et le jardin Indien…Autre exemple, celui des Jardins exotiques de Bouknadel à la sortie de la capitale sur la route de Kénitra qui sont aujourd'hui après leur restauration une invite à un voyage de par le monde à travers les jardins de Chine, d'Asie méridionale, des Antilles, de la Savane, du Congo, du Japon du Brésil, de la Polynésie, du Mexique, de l'Andalousie et du Pérou.. avec chacun ses plantes et ses fleurs renouant ainsi avec l'inspiration du botaniste Marcel François.

« Tous ensemble »

Ces réussites en matière de restauration des jardins historiques ouverts sur le monde sont le fruit d'une capitalisation de différentes stratégies de sauvegarde et d'un travail de sensibilisation de nombreuses associations comme ce fut le cas à Fés, à Marrakech et à Casablanca avec l'association «El Miter Bouchentouf pour le Développement Social» (AMBDS), constituée des riverains ou plus tard en 1995 des artistes du collectif «La Source du Lion» et d'autres associations et réseaux de quartiers. C'est aussi le fruit de partenariat.

L'Hermitage a ainsi fait l'objet de conventions signées avec la Direction générale des collectivités locales (DGCL) pour la mise en valeur des parcs, jardins et espaces verts de la ville, puis avec le Conseil de la ville,, la wilaya, la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement assurant la coordination et la maîtrise d'ouvrage du projet. Une fois le projet de restauration terminé et le parc de l'Hermitage réouvert, il reste pour ceux qui sont en charge de la politique de gestion des parcs, savoir faire, imagination et moyens financiers pour créer à l'intérieur du parc des activités socio culturelles et artistiques. C'est le meilleur moyen pour que les habitants mitoyens du parc historique se l'approprient en en faisant un bon usage, en y veillant et en le préservant comme un diamant dans son écrin.

Source : Lematin
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16 juillet 2011 02:33
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17 juillet 2011 23:31
Derb soltane
Le marché de l'anarchie
Les vendeurs-squatteurs installés sur le boulevard Mohammed VI et les ruelles avoisinantes depuis plusieurs mois font du quartier un marché à ciel ouvert.

Il ne reste plus que 3 mètres à peine de chaussée «utilisable» alors que d'ordinaire, celle-ci en fait le double. L'état des lieux de ce qu'est devenue l'ancienne rue Tamaris, actuellement baptisée, par la force des choses, rue Achamal, à Derb Soltane, a de quoi laisser perplexe.

Ex-rue Tamaris car, dans le temps, les autocars en provenance de cette localité (Tamaris) avaient pour terminus cette artère située juste en face du district Al-Fida Mers Sultan. Aujourd'hui, rue Achamal, ou «l'brarek» (les cabanes), hérite de ce nom faisant allusion au Nord, du fait que ce quartier commerçant est depuis des lustres réputé pour ses marchandises en provenance de Nador, de Tétouan et de Sebta. Sauf que "les cabanes", depuis la fin de l'année 2010, ont pris une tout autre allure. Un véritable état de non-droit s'y est installé. Les 3 mètres restants résultent du fait que les lieux sont devenus un paradis pour les «ferracha», ces squatteurs du domaine public qui revendent tout et n'importe quoi et étalent leur marchandise à même le sol.

Désormais ouverte à la circulation dans les deux sens depuis des mois, la rue Achamal, ou plutôt ses usagers, n'en profitent pas pour autant. En effet, depuis la recrudescence du phénomène des squatteurs, qui a pris des dimensions incommensurables, on ne se contente plus d'exploiter le seul trottoir, mais plutôt deux ou trois rangées, en largeur tout au long de l'artère.
Arrivé au bout de la rue qui débouche sur le boulevard Mohammed VI, c'est un autre spectacle, plus désolant, qu'offre le paysage. À partir de là et jusqu'à l'ancienne gare routière, «Garage Allal», ce sont des centaines de vendeurs, étalant toutes sortes de marchandises à même le sol, qui occupent la rive droite du boulevard en venant du côté de La Résistance. Le décor est tout simplement inimaginable. Tous les après-midi, sur les 4 voies de la rive, une seule reste ouverte à la circulation, les trois autres étant exploitées par les ferracha. Outre les trottoirs, ce sont par endroit 4 ou 5 rangées squattées par des vendeurs, hommes et femmes, appartenant à différentes générations.

Entre les rangées, un minuscule espace est ménagé pour servir de couloir pour que la clientèle puisse circuler entre les étalages. Que ce soit au niveau du boulevard
Mohammed VI ou de la rue Achamal, l'on retrouve également des marchands ambulants, des triporteurs livrant les marchandises et des véhicules utilitaires qui viennent alimenter ce capharnaüm, obstruant davantage une chaussée déjà congestionnée. Parallèlement, au niveau des ruelles avoisinantes, ce sont quasiment des allées commerciales qui se sont installées. Mais derrière l'aspect visuel, il y a bien entendu du business qui alimente toute cette anarchie. En effet, il y a deux sortes de commerces. D'abord au niveau des devantures des magasins, dont les propriétaires, dépassés par le désordre régnant, se sont résolus à louer l'espace jouxtant leur commerce.

Des devantures où sont installées des sortes de tables sur lesquelles sont étalées différentes marchandises. L'opération se fait moyennant 4.000 à 6.000 DH par mois, voire plus en fonction de la dimension de l'espace mis en location. En deuxième lieu, l'on retrouve un autre phénomène qui a fini par voir le jour : les riverains mettent en location les devantures de leurs maisons, par parcelles de moins d'un mètre carré parfois, en échange de 300 DH en moyenne par semaine.
Aussi, dans les deux cas de location, le bailleur s'engage à fournir eau et électricité, notamment durant le Ramadan où les activités reprennent de plus belle le soir, après la rupture du jeûne.

Business et magouilles
L'histoire des espaces squattés ne s'arrête pas à de la simple location. En effet, certains riverains, habitant le quartier depuis leur enfance, avaient même réussi à avoir la mainmise sur quelques mètres carrés qu'ils se sont appropriés au fil du temps. Des espaces qu'ils ont fini par céder de façon définitive (et illégale) contre des sommes comprises entre 20 000 et
30 000 DH. Parallèlement, disposer d'un petit espace dans ce quartier commercial peut rapporter de quoi vivre dignement. En ce sens, certains reconnaissent faire des bénéfices de 300 DH et plus par jour. Aussi, les jours de fêtes religieuses sont porteurs de véritable jackpots. Certes, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne et certains en profitent plus que d'autres. Une chose est sûre cependant : parmi ces vendeurs, l'on retrouve également des diplômés, des jeunes qui ont un métier, mais qui préfèrent manger de ce pain-là plutôt que d'avoir un emploi conventionnel. C'est dire si le métier de «ferrache» est une activité qui rapporte.

source: Le Matin
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28 juillet 2011 00:53
Pour ne pas se perdre dans les ruelles de Derb Sultan grinning smiley


Plan de Derb Sultan
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3 août 2011 22:23
Grande affluence au marché des dattes à Derb Milan ----------- Derb Sultan


Dimanche 31 juillet, il est près de15h. Le célèbre quartier des dattes à Derb Milan est pris d'assaut, comme à chaque Ramadan, par de nombreux visiteurs. Sur place, les clients, qui sont encore moins nombreux à investir la place, viennent découvrir les multiples formes et goûts des dattes importés des régions d'Errachidia, de Ouarzazate, de Zagora, de Tata ou de Figuig.


«Nous avons les dattes du pays mais les produits de la Tunisie sont plus appréciés par les Casablancais», nous confie un vendeur de dattes. Et d'ajouter que plusieurs familles préfèrent acheter des boîtes de 5 kg de dattes tunisiennes que de se procurer ce fruit en provenance du Maroc en détail. En réalité, les vendeurs et grossistes de Derb Milan préfèrent vendre les dattes en paquet, notamment celles acheminées de la Tunisie. Ces dernières sont vendues à 30 DH le kilogramme, à condition d'en acheter 5 kg. Autre variété de ces fruits de palmiers qui a la cote à «Zenkat Tmar» (rue des dattes) est celle en provenance d'Algérie. Cette dernière est parmi les produits les plus chers de la place. A 40 DH le kilogramme, les commerçants se vantent de vendre «une marchandise de qualité». «Ce sont des dattes de la saison. Elles sont très sucrées et encore avec leurs branches», affirme un vendeur de plusieurs variétés de fruits secs. Par ailleurs, les dattes des Emirats Arabes Unis sont également très convoitées. Vendues à 18 DH le kilogramme, elles attirent les amateurs de dattes de bonne qualité.

S'agissant des produits marocains, des étalages de Madjhoul, Jihel, Sayyer, Boufgous, Bouslikhène… colorent l'entrée des magasins. Le ton sûr, les commerçants affirment que les dattes de Zagora sont réputées pour être les meilleures du Maroc. Néanmoins, ils ajoutent qu'ils vendent du congelé. «Les dattes marocaines de cette année ne sont pas encore prêtes», nous affirme l'un des vendeurs. Le quartier des dattes de Derb Milan propose des délicieuses drupes brunes à 13, 25, 30 ou 45 dirhams, selon leurs régions d'origine. «J'ai acheté des bonnes dattes de Zagora à 25 dirhams. Cependant, il faut dire que cette année les tarifs de «Zenkat Tmar», ne diffèrent pas des autres marchés et des grandes surfaces. La seule particularité est qu'ici, tout le monde trouve ce qu'il cherche», affirme une habitante de Derb Milan.

Les magasins de cette ruelle décorée aux couleurs d'oasis marocains attirent aussi bien les petites bourses des quartiers avoisinants que les clients plus aisés ou les détaillants, qui cherchent à économiser 1 à 2 DH par kilo. «Je préfère acheter deux corbeilles de dattes de 5 kg chacune au lieu d'être obligé de refaire mes courses à la mi-ramadan. Ainsi, je peux économiser jusqu'à 20 dirhams et éviter la flambée des prix que connaît ce marché durant le mois sacré», confie un autre client. «Certes, on trouve une grande variété sur le marché des dattes mais les prix ne sont pas à la portée de tous», indique un père de famille. «On essaie d'expliquer aux gens la particularité de chaque type et surtout de leur donner une idée sur toutes les charges qu'on supporte pour acheminer les dattes jusqu'à Casablanca», nous confie un vendeur de dattes originaire de Zagora. Cet homme quadragénaire connaît tous les souks de la région de Zagora, d'Agdz et de Ouarzazate pour acheter les dattes avant de prendre la route vers Casablanca.

Cette opération peut durer des semaines, voire même des mois. Pour se préparer au mois du Ramadan, certains commerçants procèdent autrement. Ils commandent les meilleures variétés de dattes chez les producteurs. Une fois la marchandise achetée, ils la stockent en attendant l'approche du mois sacré. Les vendeurs originaires des régions lointaines se réunissent pour louer les camions qui transporteront leurs marchandises. Une fois sur place, chacun récupère ses caisses numérotées et commence la vente.
Ainsi, les prix des dattes marocaines varient selon les tarifs des premiers fournisseurs et les charges de transport. Toutefois, leur qualité est toujours la même. Chose qui les rend quand même très convoitées par la clientèle locale et les connaisseurs de dattes de bonne qualité.

Les bienfaits des dattes
La datte fraîche renferme une forte concentration d'antioxydants, principalement des caroténoïdes et des composés phénoliques. Sa valeur énergétique est de 287 kcal par 100 grammes. Elle est très riche en sucres (glucose, fructose et saccharose). Elle contient également des vitamines (B2, B3, B5 et B6), une faible quantité de vitamine C ainsi que des sels minéraux (potassium et calcium).
Elle est également riche en chrome (faisant passer l'envie de sucre), ainsi qu'en fibres. Les dattes fraîches renferment une forte concentration d'antioxydants, principalement des caroténoïdes et des composés phénoliques. Ainsi, un apport substantiel d'antioxydants fourni par les fruits et les légumes peut réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancers. Les dattes séchées renferment également une quantité appréciable d'antioxydants, bien que plus faible que dans les dattes fraîches. En effet, une certaine quantité se perd durant la déshydratation, puisque plusieurs antioxydants sont solubles dans l'eau. Une portion de 25 g de dattes (trois fruits) fournit 2 g de fibres, ce qui représente 5 % à 8 % de la quantité de fibres recommandée par jour, soit 38 g pour les hommes et 25 g pour les femmes.
Riches en glucides, les dattes sont un aliment de choix pour le travail musculaire, puisque les glucides sont un bon carburant pour les muscles. Les dattes séchées peuvent être très utiles durant une pratique sportive, notamment de longue durée et chaque fois qu'on doit faire des efforts physiques importants ou prolongés.
r
3 août 2011 22:28
Salam Bara222

Ramadan Moubarak karim, j espère que tu va bien?

merci pour se beau post, toujours pleines de belle choses à lire

choukrane bezaf smiling smiley
[color=#6600FF][center] rah fark 3adim bine tefah o romana wach mine fark bine nta, nta o ananass el ghiwane[/center][/color]
b
3 août 2011 23:17
Salam Rajouia,

Ramadanoune mabrouk et une bonne santé.

C'est un plaisir de te lire et à Derb Sultan grinning smiley ,merci pour tes encouragements et avec ça après les dattes de Derb Milan, quelques

douceurs de Derb Houbous ,

Chfenj devant Cinéma Malakiya à la rue d'Ait Yafelman la prochaine fois.
r
3 août 2011 23:23
Citation
BARA222 a écrit:
Salam Rajouia,

Ramadanoune mabrouk et une bonne santé.

C'est un plaisir de te lire et à Derb Sultan grinning smiley ,merci pour tes encouragements et avec ça après les dattes de Derb Milan, quelques

douceurs de Derb Houbous ,

Chfenj devant Cinéma Malakiya à la rue d'Ait Yafelman la prochaine fois.

Amine je te remarciesmiling smiley

Houbouss avec les cornes de gazelles et les briouates de chez Bennis, chahitini grinning smiley
[color=#6600FF][center] rah fark 3adim bine tefah o romana wach mine fark bine nta, nta o ananass el ghiwane[/center][/color]
b
3 août 2011 23:48
Citation
rajaouia a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
Salam Rajouia,

Ramadanoune mabrouk et une bonne santé.

C'est un plaisir de te lire et à Derb Sultan grinning smiley ,merci pour tes encouragements et avec ça après les dattes de Derb Milan, quelques

douceurs de Derb Houbous ,

Chfenj devant Cinéma Malakiya à la rue d'Ait Yafelman la prochaine fois.

Amine je te remarciesmiling smiley

Houbouss avec les cornes de gazelles et les briouates de chez Bennis, chahitini grinning smiley


En noir et blanc mes ruelles [www.youtube.com]


la couleur prochainement Incha Allah.
r
3 août 2011 23:52
Citation
BARA222 a écrit:
Citation
rajaouia a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
Salam Rajouia,

Ramadanoune mabrouk et une bonne santé.

C'est un plaisir de te lire et à Derb Sultan grinning smiley ,merci pour tes encouragements et avec ça après les dattes de Derb Milan, quelques

douceurs de Derb Houbous ,

Chfenj devant Cinéma Malakiya à la rue d'Ait Yafelman la prochaine fois.

Amine je te remarciesmiling smiley

Houbouss avec les cornes de gazelles et les briouates de chez Bennis, chahitini grinning smiley


En noir et blanc mes ruelles [www.youtube.com]


la couleur prochainement Incha Allah.


wawwww c est trop beau non laisse en noir et blanc c est beaucoup plus beau que les couleur avec la chanson qui va avec, zine derb sultan smiling smiley
[color=#6600FF][center] rah fark 3adim bine tefah o romana wach mine fark bine nta, nta o ananass el ghiwane[/center][/color]
b
6 août 2011 00:26
Chebakiya pour ceux ou celles qui ne connaissent pas le Ma3alem de Derb Sultan...
f
6 août 2011 01:09
SALUT BARA222

RAMADANE MOUBARIK SAID.

Depuis le temps, comme tu vois quoi qu'il arrive et quoi qu'on fasse on revient toujours vers yabiladi pour rendre visite aux amis
et prendre de leurs nouvelles.
Moi comme tu le sais, toujours débordée de plus en plus, mais alhamdoulillah pour la bonne cause.
J'espère que tu vas bien. Zen

Bye

VIET53
b
7 août 2011 01:04
Citation
Viet53 a écrit:
SALUT BARA222

RAMADANE MOUBARIK SAID.

Depuis le temps, comme tu vois quoi qu'il arrive et quoi qu'on fasse on revient toujours vers yabiladi pour rendre visite aux amis
et prendre de leurs nouvelles.
Moi comme tu le sais, toujours débordée de plus en plus, mais alhamdoulillah pour la bonne cause.
J'espère que tu vas bien. Zen

Bye

VIET53


Ya salam, Ya habaib,

Mabrouk 3alik,Ramadane karim

Tu es chez toi à Derb Sultan,le temps passe tellement vite hélas !
f
7 août 2011 01:21
Bonsoir BARA,

Héééééé oui derb sultan, mon dieu, le temps se vit autrement là- bas, c'est une autre histoire: derb sultan, houbous, lakria, sahat sraghna, chari al fida, mers sultan, etc.......Oups

VIET53
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