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Citation
fatima rouen a écrit:
Salam.

J'ai fait quelques recherches sur les illuminatis et franchement, j'ai trés trés peur.^...

wa 3alaykoum salaam,

ALLAHOUMMA A3OUDOU BIKA MIN 3ADAABI JAHANNAM WA MIN 3ADAABI L9ABR WA MIN FITNATI LMA7YA WA LMAMAAT W MIN CHARRI FITNATI LMASSII7I DAJJAL... amiin

pour chaque fin de priere + apprendre sourate alkahf... inchallah

Assalam alaikoum

Je me suis décidé à m'inscrire à ce forum, car je trouve en lui ce que j'ai toujours recherché pendant plus de 20 ans: des frères qui comprennent les énigmes et les mystères de ce monde dangereux dans lequel nous vivons aujourd'hui. C,est pour répondre aussi au négativisme de pseudo-wahabites qui s'arrogent le droit de nous interdire l'Ijtihad, soit disant qu'il s'oppose à la Sunna!! En fait ils font tout pour décourager tout penseur à trouver la vérité. Ça les arrange et arrange leurs maitres dévoués au Dajjal de la Maison-Blanche. A chaque fois qu'un pionnier et un Moujtahid sort avec quelque chose qu'ils ne pourront jamais atteindre, ils sortent l'épée d'Al-Hajjaj et nous promettent les mille-feux de l'enfer comme si l'enfer et le paradis leur appartenaient! Ne les suivez pas, continuez à progresser chers frères, les vrais Ahl El -Islam, ce sont vous. Je suis content que 20 ans après mes découvertes sensationnelles sur l'identité d'Addajal et 10 ans après la sortie de mon livre, d'autres penseurs respectables suivent le chemin et arrivent aux mêmes conclusions. Les chiens de l'Amérique, cachés sous les habits de saints-samaritains aboient, mais la caravane passera toujours chers frères.Quoi qu'ils fassent, quoi qu'Ils disent. Ils ressemblent à ces gens perdus en haute-mer, qui se croient sur une ile, mais qui sont sur le dos d'une baleine appelée Dabbat El-Bahr, feignant d'attendre quelque chose qui ne va jamais arriver. Addajjal est parmi nous, ce n'est pas vraiement c'est un pouvoir et une nation qui a foulé tous les recoins du monde et qui est une absurdité et une évidence enfantine. bien que certains arriérés qui ont toujours mis une épée de Damoclès sur nos têtes nous harcèlent, en nous interdisant de faire des recherches profondes, sérieuses et scientifiques sur le phénomène le plus dangereux de tous les temps. En fait ils veulent nous laisser dans l'ignorance au motif que c'est de la pure Bidaa.
Au demeurant, je vous offre aujourd'hui des choses extraordinaires qui vont bouleverser ce monde et qui concernent précisément cet Antéchrist occidental.

Bimillah




(A) Le Coran : miracle divin

Au cours des âges farouches, dans l’antiquité, le monde vivait l’ignorance et son corollaire : l’anarchie, et pour remédier à cela, Dieu aenvoyé ses messagers, porteurs de la lumière. Ils s’efforcèrent, dès lors, à éclairer les esprits pour faire sortir les hommes de l’adoration de leurs ego, d’autres hommes et des idoles d’or et d’argent vers l’adoration de l’Unique. Mais dès qu’il s’agit d’abandonner leurs passions, les foules capricieuses commencent alors à exiger des substituts inimaginables, en l’occurrence des miracles à leur manière. Les apôtres de Dieu étaient souvent contraints de recourir à des manifestations surnaturelles pour convaincre les sceptiques et les attirer, par voie de conséquence, vers le parti de la foi. Jadis seuls les miracles sensitifs comptaient et, aujourd’hui que le monde a évolué, ce cas ne doit pas normalement se poser, mais c’est sans compter avec les matérialistes contemporains, qui croient également aux seules apparences et aux « miracles scientifiques », pour être à l’écoute de la vérité de Dieu et de son message.
Le Saint-Coran, contrairement aux apocryphes, est l’unique texte divin conservé dans son intégralité, susceptible de répondre à cette attente. Celui-ci fut reproduit, dès sa révélation, sur des supports divers, tels les peaux de bêtes ou les branches des palmiers, jusqu’à ce qu’il fut relié dans un livre unique, du temps du 3eme Calife, Othmane, ce qui lui valut alors d’échapper au sort du message biblique, qui fut soit falsifié, soit égaré ou pire encore censuré. Seuls quelques chapitres et versets furent épargnés des altérations du temps et des hommes, et nous comptons parmi ceux-ci l’Apocalypse de Saint-Jean.

En plus des prescriptions divines, spirituelles et temporelles, qui doivent régir le quotidien de chaque Musulman, pris individuellement ou en communauté, le Saint-Coran est une source intarissable et immuable de vérités scientifiques ; mais ce qui est, en revanche triste, c’est qu’elles n’ont été prises en considération par les penseurs musulmans qu’après les nombreuses initiatives des chercheurs occidentaux dans ce domaine de la pensée universelle. Les premiers cités se contentent, en fait, de louer, d’approuver et d’authentifier ce que d’autres qu’eux ont déjà découvert, au lieu de prendre de leur propre gré, les rênes de la recherche, de l’effort et de la prospection. Il ne suffit plus aux théologiens et aux intellectuels musulmans d’adresser des rhétoriques sur les œuvres divines dans l’univers intérieur et extérieur de l’homme en vue de convaincre les incrédules de l’existence de Dieu, car ces derniers, en qui la lumière s’est éteinte et dans lesquels on a dessein de la faire revivre, ces personnes privées de foi et de grâce, veulent sans doute déceler moindre indice, le moindre signe dans la nature, (A suivre)

Assalam alaikoum

Je me suis décidé à m'inscrire à ce forum, car je trouve en lui ce que j'ai toujours recherché pendant plus de 20 ans: des frères qui comprennent les énigmes et les mystères de ce monde dangereux dans lequel nous vivons aujourd'hui. C,est pour répondre aussi au négativisme de pseudo-wahabites qui s'arrogent le droit de nous interdire l'Ijtihad, soit disant qu'il s'oppose à la Sunna!! En fait ils font tout pour décourager tout penseur à trouver la vérité. Ça les arrange et arrange leurs maitres dévoués au Dajjal de la Maison-Blanche. A chaque fois qu'un pionnier et un Moujtahid sort avec quelque chose qu'ils ne pourront jamais atteindre, ils sortent l'épée d'Al-Hajjaj et nous promettent les mille-feux de l'enfer comme si l'enfer et le paradis leur appartenaient! Ne les suivez pas, continuez à progresser chers frères, les vrais Ahl El -Islam, ce sont vous. Je suis content que 20 ans après mes découvertes sensationnelles sur l'identité d'Addajal et 10 ans après la sortie de mon livre, d'autres penseurs respectables suivent le chemin et arrivent aux mêmes conclusions. Les chiens de l'Amérique, cachés sous les habits de saints-samaritains aboient, mais la caravane passera toujours chers frères.Quoi qu'ils fassent, quoi qu'Ils disent. Ils ressemblent à ces gens perdus en haute-mer, qui se croient sur une ile, mais qui sont sur le dos d'une baleine appelée Dabbat El-Bahr, feignant d'attendre quelque chose qui ne va jamais arriver. Addajjal est parmi nous, ce n'est pas vraiment un homme. c'est un pouvoir et une nation qui a foulé tous les recoins du monde et qui est devenue une absurdité et une évidence enfantine. bien que certains arriérés qui ont toujours mis une épée de Damoclès sur nos têtes nous harcèlent, en nous interdisant de faire des recherches profondes, sérieuses et scientifiques sur le phénomène le plus dangereux de tous les temps. En fait ils veulent nous laisser dans l'ignorance au motif que c'est de la pure Bidaa.
Voici des vérités extraordinaires qui vont bouleverser le monde et qui concernent précisément cet Antéchrist occidental.

Bimillah




(A) Le Coran : miracle divin

Au cours des âges farouches, dans l’antiquité, le monde vivait l’ignorance et son corollaire : l’anarchie, et pour remédier à cela, Dieu aenvoyé ses messagers, porteurs de la lumière. Ils s’efforcèrent, dès lors, à éclairer les esprits pour faire sortir les hommes de l’adoration de leurs ego, d’autres hommes et des idoles d’or et d’argent vers l’adoration de l’Unique. Mais dès qu’il s’agit d’abandonner leurs passions, les foules capricieuses commencent alors à exiger des substituts inimaginables, en l’occurrence des miracles à leur manière. Les apôtres de Dieu étaient souvent contraints de recourir à des manifestations surnaturelles pour convaincre les sceptiques et les attirer, par voie de conséquence, vers le parti de la foi. Jadis seuls les miracles sensitifs comptaient et, aujourd’hui que le monde a évolué, ce cas ne doit pas normalement se poser, mais c’est sans compter avec les matérialistes contemporains, qui croient également aux seules apparences et aux « miracles scientifiques », pour être à l’écoute de la vérité de Dieu et de son message.
Le Saint-Coran, contrairement aux apocryphes, est l’unique texte divin conservé dans son intégralité, susceptible de répondre à cette attente. Celui-ci fut reproduit, dès sa révélation, sur des supports divers, tels les peaux de bêtes ou les branches des palmiers, jusqu’à ce qu’il fut relié dans un livre unique, du temps du 3eme Calife, Othmane, ce qui lui valut alors d’échapper au sort du message biblique, qui fut soit falsifié, soit égaré ou pire encore censuré. Seuls quelques chapitres et versets furent épargnés des altérations du temps et des hommes, et nous comptons parmi ceux-ci l’Apocalypse de Saint-Jean.

En plus des prescriptions divines, spirituelles et temporelles, qui doivent régir le quotidien de chaque Musulman, pris individuellement ou en communauté, le Saint-Coran est une source intarissable et immuable de vérités scientifiques ; mais ce qui est, en revanche triste, c’est qu’elles n’ont été prises en considération par les penseurs musulmans qu’après les nombreuses initiatives des chercheurs occidentaux dans ce domaine de la pensée universelle. Les premiers cités se contentent, en fait, de louer, d’approuver et d’authentifier ce que d’autres qu’eux ont déjà découvert, au lieu de prendre de leur propre gré, les rênes de la recherche, de l’effort et de la prospection. Il ne suffit plus aux théologiens et aux intellectuels musulmans d’adresser des rhétoriques sur les œuvres divines dans l’univers intérieur et extérieur de l’homme en vue de convaincre les incrédules de l’existence de Dieu, car ces derniers, en qui la lumière s’est éteinte et dans lesquels on a dessein de la faire revivre, ces personnes privées de foi et de grâce, veulent sans doute déceler moindre indice, le moindre signe dans la nature, (A suivre)

à même de les secouer, mais étant à chaque fois obnubilés par leur ignorance et leur entêtement, ils ne pourront saisir cette apologie, avant de finir carrément par douter de la religion, et soit la mépriser, soit tomber dans le mythe. C’est dans l’anticipation de la vérité que l’on pourrait remédier à cela et se targuer d’avoir rendu un fier service à nous-mêmes et à la foi qui nous anime, et c’est ce que nous nous efforcerons de concrétiser, mais à travers un autre aspect, tout aussi précieux que l’aspect purement scientifique. Ce dernier, vulgarisé à l’extrême par des centaines d’ouvrages et autant de séminaires panislamiques, est devenu familier pour le savant comme pour le profane. Toutefois le domaine que nous avons investi est encore vierge, il concerne plus précisément les « prophéties » contenues dans le Saint-Coran, à la lumière des développements et des mutations présentes et futures de ce monde. Ces prophéties infaillibles fourniront ainsi à celui qui sache les interpréter dans un sens authentique et pragmatique, une vision précise sur tant d’évènements qui ont marqué et qui marqueront encore à l’avenir l’histoire de cette planète agonisante. Grâce à Dieu et au moyen d’une dissertation rationnelle, ces présages révèleront à toute l’humanité, la vérité du message coranique et l’incontestable unicité de Dieu. A travers les innombrables marques d’authenticité, qui seront exposées au fur et à mesure dans nos analyses, nous allons arriver ensemble à l’affirmation coranique suivante (XLI : 53) : « Nous leur ferons si bien apparaître nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, qu’il leur sera démontré que ceci est la vérité. »

"سنريهم آياتنا في الآفاق و في أنفسهم، حتى يتبين لهم أنه الحق......(53)"

A suivre

(1) L’Antéchrist n’est pas une personne physique, mais un hyperpouvoir, un hypersystème et une hyperpuissance dominatrice

« L’homme qui lui ressemble le plus est Ibn Qatan », a dit le Messager de Dieu (slps). Cette dernière partie du hadît thématique pourrait avoir été ajoutée délibérément par des plumes malintentionnées, mais très au fait des prophéties, pour brouiller les pistes des chercheurs avertis et des profanes. Si c’est le cas, ce serait une imposture vis-à-vis de la tradition prophétique, quelque soit la période, ancienne ou récente dans laquelle aurait été ajouté ce paragraphe. C’est la première hypothèse qui s’impose. La seconde a été déjà abordée, en admettant l’authenticité de l’alinéa cette fois-ci, et pour lever, une fois pour toutes, cette ambiguïté autour de la nature de l’Antichrist et sur ce qu’il pourrait être : un homme ou une entité, en somme pour faire taire les polémiques et les fausses considérations suscitées à ce sujet, nous proposons aux lecteurs ce hadît du Prophète (slps) disant : « Vous allez combattre la péninsule arabique et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre la Perse et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre Rome et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre l’Antichrist et Dieu le conquerra. » Djaber (compagnon du Prophète) a dit : « L’Antichrist ne sortira qu’après la conquête de Rome. »
Après cette extraordinaire et non moins convaincante révélation sur l’essence de l’Antichrist, il ne sert à rien de polémiquer encore avec ceux qui persistent à croire que celui-ci est une « personne physique » et à nier l’évidence même, en s’entêtant dans leur inculture, car Dieu nous a recommandé de leur répondre, tout simplement, par deux mots, pour ne pas perdre inutilement son temps et son énergie : Salamane, Salama (paix, paix) ! Cependant, le plus important dans ce contexte, c’est cet aspect qui saute aux yeux de prime abord : L’Antichrist aurait-il été placé avec trois autres nations si ce n’était une nation ? ! En Arabe, « conquérir » est synonyme d’ « ouvrir » et ce serait insensé de croire que toute la communauté musulmane puisse se rassembler avec toutes ses potentialités, rien que pour ouvrir le ventre d’un homme ! Et dire qu’il y a parmi nous des gens qui sont prêts à admettre n’importe quoi, entre autres des arguties aliénantes et des histoires abracadabrantes, génératrices d’émotions débordantes. Doit-on aussi conquérir successivement trois contrées (l’Arabie, la Perse et Byzance) puis décider, sur un simple coup de tête, d’aller conquérir………un homme ?! Si c’est une femme qui aurait à le faire, on comprendrait aisément ce geste, mais il n’est pas question ici de l’autre moitié de l’homme ; l’aspect est plus sérieux, dans la mesure où il concerne toute la communauté avec ces guerriers endurcis ! Ces allusions répondrait, en quelque sorte, au dilemme que pourrait poser la problématique « Ibn Qatan», allié de l’Antéchrist en fait et son alter ego nomade. En résumé, les indices incontournables prouvant que l’Antéchrist n’a rien à voir physiquement avec le bédouin Ibn Qatan, sauf peut-être le déguisement, sont les suivants :
A suivre

(a) Le hadît d’ « Ibn Qatan » serait faible ou cette partie aurait été ajoutée intentionnellement, dans la mesure ou on ne la retrouve pas dans d’autres versions.
Le hadît décrit ainsi l’Antichrist, avec des nuances ; le Prophète (slps) ayant dit : « Je vous ai (trop) parlé de l’Antéchrist jusqu’à ce que j’eus craint que vous ne le reconnaissiez plus. Le « messie de l’Antéchrist » est un petit homme, marchant les pieds devant et les talons rapprochés, aux cheveux drus, borgne, a l’œil aveugle, ni proéminent, ni profond. S’il se dissimule, sachez que Dieu n’est pas borgne. » Alors qu’il disait dans un autre hadît à propos du même Antichrist : « Je m’en allais me retourner, et voici un homme rouge et gigantesque… » et entre les deux, il y a apparemment contradiction, ne serait-ce en ce qui concerne sa taille. Mais ce n’est guère le cas, si l’on considère ces attributs du point de vue moral, car ces « figures allégoriques » auraient les significations suivantes :
 Cheveux drus : renseignements ramifiés, protégeant le « chef » de l’Etat, durs, stricts et impitoyables.
 Petite taille : notoriété en baisse dûe aux scandales et erreurs prospectives.
 Démarche loufoque : démarche politique maladroite, à l’instar de la série de « Gates » qui ont ébranlé la Maison-Blanche.
 « Dieu n’est pas borgne » voudrait dire qu’il « n’est pas injuste », au contraire de l’Antéchrist qui apprécie les « deux poids, deux mesures », violant ainsi son propre « droit. »

Remarquons aussi que le Prophète (slps), contrairement aux autres hadîts, où il a évoqué le « Faux-messie », parle ici du « messie de l’Antéchrist », et entre les deux, il y a certainement nuance.
Bien qu’il puisse être, en réalité, gigantesque et hyperpuissant, cela n’empêcherait pas les croyants de voir en lui un être de petite envergure, de par son infidélité et ses maladresses humaines, ce qui n’est guère contradictoire du point de vue comportemental.


(b) L’Antéchrist s’appelle « Al-Massih (Addajjal) et c’est donc un « chrétien » (menteur) ou un « faux-chrétien » et non pas un musulman ou un Arabe. De surcroît, il a à ses côtés une forte population de Juifs et de Romains (chrétiens), et c’est donc un « Judéo-chrétien » occidental.
(c) Il habite dans une terre située au « coucher du soleil », soit en « extrême occident » ou « Far-west », et ce n’est donc pas un Oriental, bien qu’il investira tout l’Orient (Irak, Cham, Arabie, Istanbul, Ispahan, Khorasan, Alep,.) et y vivra comme s’il était chez lui.
(d) Son pouvoir n’émane pas de ses muscles de chair, mais de ses muscles d’acier, ses opérations militaires musclées, exécutées par son armée ou « soldatesque » (Massalih Addajjal dans le hadît), faisant fuir ses ennemis vers les montagnes, ses démons qui parlent aux gens, ses alliés : Juifs et femmes, son parti et ses proches. Toutes ces vérités figurent noir sur blanc dans les prophéties de Mohammad (slps), rapportées dans les huit sources authentiques. D’autre part, dans la rhétorique traditionnelle et éternelle, quand on évoque les actions et les réalisations d’une nation, on les confond en règle générale avec son « homme fort » ; par exemple Pharaon, Nemrod, Hitler, Bush. On dit qu’untel a fait ceci, un autre a fait cela, un tiers a fait comme ci, un autre a fait comme ça. Et c’est tout a fait normal que ce langage soit conservé et usité par les prophètes dans le cas de l’Antéchrist aussi, qui apparaît ainsi comme le digne représentant d’une « nation superpuissante » et non pas un individu isolé. C’est à l’évidence un principe de synecdoque sempiternel et immuable.
(e) Avec l’Antéchrist agit une grande armée (estimée symboliquement à 70.000 hommes dans les hadîts) dont les éléments portent des « couronnes », qui ne sauraient être que des « casques militaires.» Cela prouve encore une fois que celui-ci n’est guère un être marginal, mais le chef d’une « hyperpuissance suprême et dominante. »
(f) « Il sera conquis » d’après le hadît en question, après la péninsule arabique, la Perse et Constantinople, et c’est donc un pouvoir, une capitale, un pays et une nation, parce que on ne se conquiert pas avec trois autres nations si on n’est pas soi-même une nation. Autre raison : il est dit dans une citation prophétique qu’elle sera conquise (au féminin) en parlant du même « Antichrist », et c’est on ne peut plus, une nuance assez claire sur une « nation » (bilad en arabe).
(g) Cela ne servirait à rien que Dieu nous envoie un « handicapé physique » et un charlot pour se prétendre dieu afin de nous séduire. Cela ne rime absolument à rien ! Ainsi ferait-il mieux de se soigner et de parfaire son « image de marque » avant de prétendre guérir l’humanité et ressusciter les morts.

(h) Enfin, pour le nommer, « Washington » et c’est seulement l’hyperpuissant « Washington » dans le monde entier, qui répond en quelque sorte à cette énigme millénaire, du fait que celui-ci est simultanément :
 Un homme : le fondateur des Etats-Unis d’Amérique, le père de la nation américaine et le premier président de ce pays : George ;
Une capitale et un Etat et enfin :
Un système hyperpuissant : Maison-Blanche, Capitole, Pentagone, N.S.A., U.S.I.A., U.S.D.A., C.N.N., F.M.I., B.M., F.B.I.

La même observation s’appliquerait aussi au découvreur officiel de l’Amérique du Nord : Vespucci, dit « Amerigo », qui est, lui aussi, un homme ayant donné son nom au nouveau continent, notamment à sa partie nord. Ceci, si l’on s’entête, coûte que coûte, à considérer « Al-Massih Addajjal » comme un « homme. » Rares sont les « pays puissants » dont le nom correspond au nom d’un homme et inexistants sont ceux dont la capitale et le système correspondent simultanément au nom d’un « homme », hormis le pays découvert par « Amerigo » et fondé par « Washington » ! Quoi qu’il en soit, ce dernier est omniprésent aujourd’hui sur toutes les langues, dans toutes les discussions et toutes les marques ostensibles (publicité, vêtements, etc.). Ainsi on a raison de craindre cette manie universelle et toutes les manchettes de journaux à ressasser ce nom plus que celui de Dieu.

A suivre

« Vous allez combattre la péninsule arabique et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre la Perse et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre Rome et Dieu la conquerra, ensuite vous allez combattre l’Antichrist et Dieu le conquerra. » Djaber (compagnon du Prophète) a dit : « L’Antichrist ne sortira qu’après la conquête de Rome. » Condition sine-quanon: Ce Nouveau-monde d'Adajjal, inconnu à date, (en Extrême-Occident (comme il est dit dans le hadith de Tamim Eddari), ne sera découvert qu'après la conquête de Constantinople!

Voyez ce miracle prophétique qu'Allah m'a aidé à découvrir dans cet extraordinaire Hadith: Le nouveau monde n'a été découvert que 40 ans après la conquête de Rome (Al-qastantinia:Constantinople, l'actuelle Istanbul turque en 1453), soit en 1492!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Aussi tout le monde connait l'importance du chiffre 40 dans la Sunna et le Coran. Alors, on est sceptique encore?!

N'est-ce pas une preuve flagrante pour ceux qui veulent nier l'évidence même et ne pas regarder la vérité en face! En fait leur conformisme les maintient dans l'utopie d'un monstre mythique qui n'existe que dans leurs esprits étriqués. Ce serait ridicule que de croire en Gozilla, alors que la véritable hyperpuissance vaut des millions de Gozilla. L'Amérique, sauf pour celui qui ne veut pas voir, ni entendre, est la plus grande Fitna depuis la création d'Adam. Qu'on le veuille ou non. Ce ne sont pas des remarques stupides de quelques gamins qui vont changer quelque chose. C'est pour cela qu'Adajjal continue à nous manipuler, en sachant qu'il n'y a aucune intelligence dans cette Oumma, qui croit encore aux mythes et qui interdit à quiconque de toucher à ces tabous (esprit figé et rétrograde des Wahabites). Il a de belles années devant lui avant la venue d'Al-Mahdi et le retour du Messie qui va détruire l'armée américano-israélienne à Armageddon en Palestine avec ses soldats du ciel.
Ils tournent en ridicule tout Musulman perspicace qui sait décoder les Hadiths, Sinon pourquoi le Prophète (slps) nous a-t-il légué ce trésor des hadith de Alamat essaa. Pour les réciter comme des perroquets ou les mettre en décor sur des étagères ou .......
Bien sûr pour en profiter et protéger la oumma contre les dangers qui la guettent et savoir séparer le bon grain de l'ivraie. C'est ca l'objectif du discours de la houjat El-wadda. Il insinuait surtout les hadiths de Alamat essaa, car le fikeh et la religion en général ont été clos ce jour-ci (Constances: Salat, Zakat, hadj, etc...ceux-ci n'est plus un secret pour personne. Cependant ce qu'il a dit dans un hadith c'est que le Faux-messie sera parmi les Musulmans et ils ne le reconnaitront point. Cela veut dire tout simplement que ce n'est pas un homme mais un conciliabule de personnes mal-intentionnées. Mettez-vous ca bien dans la tête. Les preuves que je possède n'émanent pas d'un esprit illuminé, mais d'inspiration divine qui donne El-Hikma à qui il veut. Ca provient aussi de 20 ans de recherches fermes, méticuleuses et scientifiques dans la religion comparée, El-Istibat et les arguments profonds, raffermis par des données concrètes et non des suppositions de gamins.

En plus des prescriptions divines, spirituelles et temporelles, qui doivent régir le quotidien de chaque Musulman, pris individuellement ou en communauté, le Saint-Coran est une source intarissable et immuable de vérités scientifiques ; mais ce qui est, en revanche triste, c’est qu’elles n’ont été prises en considération par les penseurs musulmans qu’après les nombreuses initiatives des chercheurs occidentaux dans ce domaine de la pensée universelle. Les premiers cités se contentent, en fait, de louer, d’approuver et d’authentifier ce que d’autres qu’eux ont déjà découvert, au lieu de prendre de leur propre gré, les rênes de la recherche, de l’effort et de la prospection. Il ne suffit plus aux théologiens et aux intellectuels musulmans d’adresser des rhétoriques sur les œuvres divines dans l’univers intérieur et extérieur de l’homme en vue de convaincre les incrédules de l’existence de Dieu, car ces derniers, en qui la lumière s’est éteinte et dans lesquels on a dessein de la faire revivre, ces personnes privées de foi et de grâce, veulent sans doute déceler le moindre indice, le moindre signe dans la nature, à même de les secouer, mais étant à chaque fois obnubilés par leur ignorance et leur entêtement, ils ne pourront saisir cette apologie, avant de finir carrément par douter de la religion, et soit la mépriser, soit tomber dans le mythe. C’est dans l’anticipation de la vérité que l’on pourrait remédier à cela et se targuer d’avoir rendu un fier service à nous-mêmes et à la foi qui nous anime, et c’est ce que nous nous efforcerons de concrétiser, mais à travers un autre aspect, tout aussi précieux que l’aspect purement scientifique. Ce dernier, vulgarisé à l’extrême par des centaines d’ouvrages et autant de séminaires panislamiques, est devenu familier pour le savant comme pour le profane. Toutefois le domaine que nous avons investi est encore vierge, il concerne plus précisément les « prophéties » contenues dans le Saint-Coran, à la lumière des développements et des mutations présentes et futures de ce monde. Ces prophéties infaillibles fourniront ainsi à celui qui sache les interpréter dans un sens authentique et pragmatique, une vision précise sur tant d’évènements qui ont marqué et qui marqueront encore à l’avenir l’histoire de cette planète agonisante. Grâce à Dieu et au moyen d’une dissertation rationnelle, ces présages révèleront à toute l’humanité, la vérité du message coranique et l’incontestable unicité de Dieu. A travers les innombrables marques d’authenticité, qui seront exposées au fur et à mesure dans nos analyses, nous allons arriver ensemble à l’affirmation coranique suivante (XLI : 53) : « Nous leur ferons si bien apparaître nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, qu’il leur sera démontré que ceci est la vérité. »

Comme une partie de cette œuvre est consacrée à « l’Antéchrist », nous voudrions attirer l’attention des lecteurs sur la constante suivante : Dieu n’a rien négligé dans son Livre-Saint, comme il le dit dans l’un de ses versets coraniques. Comment se fait-il donc qu’il y cite « Gog et Magog » et puisse omettre un sujet aussi important que leur prédécesseur ? ! Mais ceci est insensé, dans la mesure où l’oubli et la négligence ne sont pas des caractéristiques de l’Omniscient. Cette sous-estimation du pouvoir divin est une hérésie et on ne peut, dès lors, que s’opposer à ceux qui n’admettent pas et rejettent dans le fond et la forme toute idée sur l’existence réelle de l’Antéchrist ou « Faux-messie », sous prétexte que contrairement à « Gog et Magog », « Al-Massih Addajjal » n’a pas été nommément cité dans le Livre-Saint de l’Islam. Est-il normal, dirions-nous de notre côté, que l’être reconnu par le Messager de Dieu comme le plus puissant qui soit jamais né sur terre, depuis la création d’Adam et Eve, n’ait pas été pris en considération par le Tout-Puissant ? ! La défaillance, on ne la trouvera sûrement que du côté des ignorants qui avancent de telles inepties, parce que beaucoup de prophètes et tous les compagnons illustres de Mohammad (slps) (hormis Zeïd Ibn Haritha), n’ont pas été nommément cités dans le Saint-Coran ! Avons-nous le droit pour autant d’affirmer qu’ils n’ont pas existé ? Absolument pas ! Car les hommes célèbres qui n’ont pas été évoqués par leurs noms ont quand même émergé grâce à leurs attributs et leurs œuvres ou dans les circonstances et le contexte dans lesquels ils ont évolué, et c’est comme s’ils vivaient parmi nous ; ce qui nous incite à réaffirmer que le « cas Antéchrist », sur l’autre bord, n’a pas échappé à cette règle divine. Au demeurant, pour convaincre les sceptiques, nous les encourageons à consulter l’exégèse d’Ibn Kathir et ils y trouveront la réponse appropriée. « L’Antéchrist » a-t-il été cité dans le Saint-Coran ou non ? Celle-ci est d’emblée positive, pour deux raisons : pour la raison énumérée ci-dessus et parce qu’un autre aspect ayant une relation intrinsèque avec ce mystérieux être, a été nommément cité cette fois-ci dans le Livre-Saint .
Pour celui qui l’ignore, disons que le Coran est émaillé d’une kyrielle de prophéties transmises dans une structure métaphorique ou semi-allégorique, d’autant plus que Dieu a dit dans la Sourate « Ezzoumour » (verset 27) : « Nous avons proposé aux hommes toute sorte de paraboles dans le Coran, afin qu’ils réfléchissent. »

( Les citations prophétiques du Messager de Dieu et Sceau des prophètes, Mohammad, que la prière et le salut de Dieu soient sur lui et sur ses proches

Les prophéties du Messager de Dieu (slps) que nous avons rapportées dans cet ouvrage, émanent toutes de livres jugés authentiques et crédibles par les Ulémas, tels ceux de : Al-Boukhari, Muslim, Ahmad, At-Tarmidhi, An-Nassai, Abou Daoud et d’autres). N’ayant pas à notre disposition une documentation sur les versions de nos frères chiites (Duodécimains et Zeïdites), il nous donc impossible d’enrichir nos recherches par de nouveaux apports, qui restent malgré tout, précieux pour l’objectif sain et honnête que nous nous sommes fixé. En revanche, nous n’avons pratiquement rien omis sur les Hadîts des « livres authentiques » de l’Ecole sunnite, car plus on a de données, plus on maîtrise son sujet et moins il est complexe à nos yeux. Les citations prophétiques jugées authentiques par les Ulémas et les docteurs de la jurisprudence islamique sont nombreuses, mais néanmoins éparpillées dans les livres évoqués. Apparemment rien n’indique qu’un Hadît a une quelconque relation événementielle avec un autre, hormis les versions reconnues. Cependant un homme perspicace pourra éventuellement vérifier que beaucoup de ces citations ont un lien subreptice entre elles, un maillon secret, dissimulé et invisible à l’œil nu du profane. Vu ce dur problème, il nous aura fallu beaucoup de temps et de patience pour aboutir à l’arrangement de ces citations prophétiques dans un enchaînement chronologique rigoureux, suite à des comparaisons minutieuses, un raisonnement cartésien, rationnel et une recherche scientifique rigoureuse que nous assimilerions volontiers à une opération chirurgicale.

© Les prophéties bibliques

Comme il a été souligné auparavant, la Bible n’avait pas échappé aux mains apocryphes, qui ont, par leurs intentions malsaines, dénaturé et altéré le message originel de Dieu. Leur objectif inavoué était de pousser les gens à abhorrer cette œuvre et à s’en éloigner, lorsqu’ils auront découvert ses anomalies, ses contradictions et les aspects invraisemblables qui la marquent ; toutefois Dieu qu’il soit loué, nous a gratifié du Coran afin que nous puissions corriger les erreurs de la Vulgate et accréditer d’autres versets qui font heureusement exception à la règle, dont le Chapitre « Apocalypse » de Saint-Jean et plusieurs passages de Daniel, Ezekiel et autres aimables prophètes. De tels textes ont échappé aux altérations de l’homme et du temps, pour la simple raison qu’ils concernaient un futur indéfini et lointain, qui était de surcroît narré dans un style métaphorique, inaccessible pour le néophyte et quasiment impossible à déchiffrer par le savant, excepté l’élu de Dieu. Néanmoins ce qui a échappé à la plume, n’a pas échappé à la subjectivité des exégètes contemporains. Jadis les scribes avaient falsifié les révélations divines, tuant de ce fait, la lettre de la Bible, mais aujourd’hui on fait pire, puisqu’on essaye d’attenter à son esprit.

(A) L’appât empoisonné

En parcourant l’un des livres authentiques de la tradition prophétique, mes yeux tombèrent un jour d’automne, grâce à la volonté divine, sur une citation éclatante de vérité et dont l’existence même était insoupçonnable, voire inimaginable naguère encore. Aussi incroyable qu’elle puisse paraître à première vue, celle-ci semble raconter dans les moindres faits, les péripéties de la guerre du Golfe, ce qui m’a d’ailleurs permis d’anticiper une kyrielle d’évènements chronologiques, avec une précision inouïe. Sans prétention aucune, les faits qui devaient défiler devant nos regards ébahis, étaient devenus à mon sens, des secrets de polichinelle, tant il s’avère que la prophétie était émaillée de vérités limpides, sautant aux yeux de prime abord.
A la veille du déclenchement des hostilités, les débats télévisés entre analystes et experts en prospective, allaient bon train, mais convergeaient cependant vers le même optimisme mesuré. Ainsi beaucoup d’entre eux écartaient l’idée même d’une confrontation, qui n’était pas plus redoutée à leurs yeux qu’une probable mise en scène entre protagonistes, ce qui avait suscité alors quelques opinions farfelues, tels que le « coup de bluff » de Bush ou la « commedia dell’arte » des deux acteurs principaux. Entre-temps, dans l’anonymat, mais en présence de mes proches et amis, j’avais clairement stipulé que la guerre sera imminente et qu’elle aboutira inexorablement à la débâcle militaire et économique irakienne. J’avais ainsi prévu sans ambages la victoire virtuelle de l’Amérique et sa véritable nature avec la révélation. Comment peut-on parvenir à anticiper des détails aussi imprévisibles que ceux de la crise du Golfe ? Diraient les uns et les autres.
Première condition (siné qua non) : A chacun sa créativité et son inspiration dans un domaine précis auquel il est prédestiné et dans lequel il est doué. Cela veut dire plus exactement que ce n’est pas seulement une question de recherches ou de prospection, lesquelles passent toutefois en second plan comme arguments, pour secouer les indolents et les ignorants.

Deuxième condition : Il est indispensable aussi d’avoir lu et compris la citation prophétique suivante, dont l’interprétation cartésienne reste apparemment inédite et ignorée même, dans le fond et la forme, jusqu’à preuve du contraire, à l’instar de toutes les révélations contenues dans cette œuvre, au vu de la première condition.


• L’invasion du Koweït vue par le Messager de Dieu (slps) !

En s’adressant à ses compagnons, le Prophète Mohammad (slps) les interpelle à propos d’une cité mystérieuse :

« (1) « Avez-vous entendu parler d’une cité dont une partie est reliée au continent et l’autre à la mer ? » Ils répondirent (par l’affirmative) : « Oui, ô Messager de Dieu ! » Il poursuit : (2) L’Heure (de la fin du monde) ne sera pas établie, jusqu’à ce qu’elle soit envahie par soixante-dix mille hommes, descendants d’Isaac. (3) Lorsqu’ils l’investiront, ils débarqueront sans combattre et sans tirer de flèches ; (4) et ils diront : « Il n’y a de dieu que Dieu et Dieu est grand », (5) alors la partie littorale tombera. Ils répéteront pour la seconde fois : « Il n’y a de dieu que Dieu et Dieu est grand, alors l’autre partie tombera (aussi) (la partie continentale). Ensuite ils répéteront pour la troisième fois : « Il n’y a de dieu que Dieu et Dieu est grand », alors ils triompheront et l’investiront. (6) Ils prendront le butin. (7) Et tandis qu’ils se partagent les produits du butin, un cri leur parvient, (disant) qu’Addajjal est sorti. (8) Alors ils laisseront toute chose et reviendront (d’où ils sont venus. »

Ce qui saute et éveille le sens dans ce mystérieux Hadît, c’est l’expression évocatrice de l’épilogue : « Ils laisseront toute chose et reviendront d’où ils sont venus. »
Réminiscence ? Nous le ressentons profondément, d’autant plus qu’en partant du principe de récurrence, nous constatons que ce récit prophétique troublant est évocateur d’un grand événement, voire d’un fait majeur dans les annales de l’histoire, dirais-je. Pourquoi ? Parce que, en fermant les yeux dans un élan de méditation, je découvre instinctivement des milliers de soldats acculés dans leurs derniers retranchements, voués à leur sort, tentant d’échapper, coûte que coûte, à l’emprise d’un ennemi hyperpuissant, après s’être retirés en catastrophe de la « cité » qu’ils occupaient depuis un temps. Surtout qu’ils laissaient derrière eux de nombreuses victimes et des richesses inestimables, assimilées à un « gros butin », bien qu’ils en eurent la charge pendant une durée de sept mois ! Remontant le temps, je perçois un « cri » angoissant, mettant en garde ces contingents contre la créature sortie d’on ne sait où, appelée « Menteur. » Je m’enfonce davantage dans mon introspection et j’assiste médusé aux mouvements de « nombreuses troupes » investissant et occupant un petit pays côtier, qu’on pourrait confondre aisément avec sa principale ville, soit sa capitale. Enfin, ne pouvant supporter plus longtemps cet état de transe, je me décide à ouvrir les yeux et je tombe alors sur une réalité prodigieuse, tellement elle semble comme une copie conforme à la prophétie. Cela dit, je tenterai, tout d’abord, de donner l’image la plus fidèle possible à l’esprit et à la lettre de la citation prophétique, tout en émaillant mes postulats d’arguments fiables, émanant du bon sens avant toute chose, mais puisés aussi dans divers documents, décrivant la réalité avec les mots adéquats, en précisant bien que ceux-ci n’avaient nullement pour but l’étude des prophéties et de la religion dont elles émanent ; mais en les choisissant à posteriori, j’avais l’intention de préciser leur aptitude à rapporter les faits tangibles de par un style évocateur, confirmant l’étymologie comme la forme narrative des Hadîts et approuvant par là leur contenu. Tout ceci dans le but de rapprocher les exégètes traditionalistes de la réalité vécue, en vue de les faire sortir du marasme intellectuel et de l’abstrait dans lesquels ils se trouvent confinés. Disons que ces tares sont, en vérité, engendrées par la superstition et le mythe, qui sont des croyances ancestrales en des monstres légendaires tels les ogres, les cyclopes, les farfadets, les centaures et en des dinosaures vivant actuellement sous terre. Les théologiens contemporains, et que dire de leurs disciples obéissants, vivent en permanence dans l’illusion dogmatique qui est une sorte de dimension kafkaïenne dont ils se sont entourés et un sanctuaire rigide qui leur sert de lieu de refuge, de zone de repli et d’asile dès qu’ils se sentent menacés par les aléas de la vie moderne. Cependant, certains d’entre ces « hommes de faux-culte » ont une toute autre intention : pousser les gens à fuir la réalité palpable pour laisser la gestion de l’espace temporel à leurs commanditaires apparents et leurs manipulateurs occultes, qui sont en général les plus avancés en matière de technologie et de découvertes scientifiques et les plus opulents, c’est à dire les plus généreux si besoin est. Pour revenir à l’argumentation, je soulignerai une fois de plus, qu’il est inutile de croire que les articles insérés dans cet ouvrage, ont une quelconque relation délibérée avec les prophéties et leur exégèse, du moment que je les ai choisis subséquemment après les avoir triés sciemment, afin de mettre tout le monde devant le fait accompli, en l’interpellant sur les miracles qui lui ont échappé et cette omniprésente analogie entre la prophétie et notre réalité. J’aurai exposé ainsi des signes apparents, antinomiques aux idées préconçues des théologiens conformistes et leurs adversaires agnostiques, mais qui seront néanmoins bénéfiques pour les sceptiques. Au demeurant, pour échapper à une perspective de subjectivité, il est nécessaire de lire avec tact les écrits des analystes et autres observateurs sur une réalité qui serait justement l’accomplissement de ce qui a été révélé depuis belle lurette par les prophètes, autant par l’enchaînement chronologique que par la rhétorique employée !

Quoi qu’il en soit, il convient de souligner, en toute sincérité, que Bagdad et les autres villes irakiennes étaient indubitablement destinées à pareil sort, et ceux qui jettent encore le discrédit sur Saddam Husseïn, en lui imputant- à tort faut-il le dire- la responsabilité des malheurs de son peuple, sont en fait des gens superficiels, inconstants et dénués de jugements sensés. Savent-ils au moins que le destin est capable de nous atteindre où que nous soyons et quoi que nous fassions ? Savent-ils qu’il nous aura un jour ou un autre, quand bien même nous nous déciderions de nous cacher alors dans des tunnels souterrains ou nous abriter dans des tours fortifiées ou derrière des remparts ?! Pour ceux qui l’ignorent, ce phénomène qui accompagne, chaque instant du commun des mortels, s’appelle « destin », « providence » ou « fatalité », et celle de l’Irak a été indubitablement une partie de lui-même : un Emirat aux dimensions d’une cité : « Koweït (city). »

• Argumentation

Le Hadît en question est entamé par une description sommaire de la géographie d’une ville ; or c’est une ville sans nom à priori, mais ça ne peut être « Constantinople » comme se la présentant à tort certains auteurs légers et subjectifs, se basant sur des similitudes suspectes. Mais cela n’empêche que des indices précieux soient à même de la localiser, tout au moins partiellement au début, pour tenter par la suite d’opter pour une cité définie, grâce des paramètres forts intéressants.

• 1er indice : Cette cité est une « cité côtière » (située donc sur un littoral).
• 2eme indice : Elle sera envahie par une armée pléthorique dont certains contingents descendraient de la branche du prophète Isaac.
• 3eme indice : Elle sera prise sans combat ; ses habitants n’opposeront ainsi aucune résistance notable à l’envahisseur.
• 4eme indice : L’armée citée est une armée croyante, reconnaissant l’unicité de Dieu et sa grandeur.
• 5eme indice : Ces troupes musulmanes investiront la ville par voie maritime (débarquement naval), ensuite par voie terrestre, avant de finir par l’occuper en totalité.
• 6eme indice : Les envahisseurs prendront un « gros butin. »
• 7eme indice : Ils seront surpris alors par un « cri menaçant » et imprévisible, les avertissant qu’ « Addajjal » (le Menteur ou l’Antéchrist) est sorti de sa réserve.
• 8eme indice : Ils laisseront alors toute chose : butin et autre, et reviendront d’où ils sont venus (c’est à dire chez eux).



A SUIVRE

salaamou 3alaykoum,

je vous lis avec interet. vous nous direz ensuite le titre de votre livre.

Salam Alaikoum

Merci mon cher frère Casatoulouse

Mon livre s'appelait: Le Lion de Babylone. Il a eu un grand succès parmi les lecteurs, mais 3 mois plus tard, on l'a censuré, puis retiré des vitrines, puis des étagères pour finir par le retirer complètement du marché parce qu'il dérangeait beaucoup les autorités et leurs maitres.C'était en 1999.

Je vis actuellement en Occident, après avoir quitté mon pays d'origine.
Cependant, j'ai d'autres manuscrits (des milliers de page rien que pour Alamat Essaa, je m'y suis spécialisé profondément) prêts à être publiés, mais qui doivent être enrichis par les développement des évènements récents, donc plus d'une centaine d'arguments supplémentaires, qui viennent s'ajouter aux centaines qui existaient déjà depuis une vingtaine d'années.

wa 3alaykoum salaam,

comment faire alors pour faire partager vos ecrits ? aviez-vous publie des livres auparavant ?

merci,

Salam alaikoum

Oui, j'avaisi précisé que j'avais publié ce livre LE LION DE BABYLONE en 1999 et il a même eu un franc succès auprès des gens. Même beaucoup de Salafistes qui n'acceptaient pas les débats constructifs, se sont résignés alors à la recherche sur ce phénomène et des centaines de gens ont été convaincus par El-Houjja wal Bayane.

Je vous raconte une anecdote:
Je suis allé voir un éditeur, qui par un concours de circonstances était Salafiste, (entre guillemets, qui n'acceptait pas le débat ouvert). Il a voulu en savoir plus sur ce manuscrit pour éventuellement le publier et à chaque fois que je lui fournissait de forts arguments sur l'identité d'Addajjal, il les repoussait d'un revers de la main (CT en 1997 Allahou Aalam.) Sauf que je l'avais complètement assommé et bouleversé avec un hadith puissant (de grand calibre comme on dit), et qui ne laisse pas de doute, à tel point que ce Monsieur, d'allure calme et avec son kamis et sa longue barbe, wakour si l'on peut dire est devenu subitement fou. Lorsque je lui dissertais sur ce hadith prouvant que le Massih Addajjal n'était pas un homme, il a commencé à se cogner la tête contre le mur jusqu'à ce que je l'eusses arrêté. Qu'est-ce qu'Il m'avait dit, figurez-vous: Tu m'as eu mon cher ami, tu m'as eu!!!! Mais J'ai dans cet ordinateur de bureau le hadith dont tu parles, mais il y a une petite différence avec le hadith que tu as cité. Laquelle? Dis-je. Il a allumé son ordi et a enfin trouvé le hadith et son narrateur. Au fait c'était deux narrateurs différents: annassai et abi daoud ou ahmed.
La fin, au fait était légèrement différente: elle disait: sataghzouna eddajjal wa yafthouha Allah, alors que dans le mien c'était inscrit: wa yaftahouhou Allah. Je ne connaissais pas sa version du hadith. Je commençais alors à rire et exalter à pleines gorges, lui disant qu'il m'avait apporté de l'eau dans mon moulin et qu'il s'était enfoncé lui-même en voulant m'enfoncer. Comprenez-vous? Le hadith qui était en sa possession parlait du Dajjal au féminin, selon lequel il sera conquis après la conquête de 3 autres pays!!! Alors serait-ce Un homme ou un pays (Bilad en arabe, au féminin). Et c'est là qu'il a fini par se cogner la tête contre le mur et reconnaitre sa défaite intellectuelle. Il se comportait désormais avec respect envers moi et m'avait confié qu'il n'avait jamais entendu de chose pareille de toute sa vie. Il reconnaissait à la fin que ce que j'avais dit était vrai, mais qu'il était désolé de ne pouvoir publier ce manuscrit, parce que cela risquait de bouleverser toutes les conceptions héritées jusqu'à la`et que ca pouvait irriter ses associés koweïtiens. Mais nous nous somme séparés alors en bon termes et avec le respect mutuelle, malgré qu'il ait fui ses responsabilités devant Dieu. Le dernier mot qu'il m'avait dit alors était le suivant: Attends dix ans ou plus jusqu'à ce que la Oumma soit plus mure et c'était presque la même rengaine des éditeurs que j'ai vus alors.