Ce qui compte, c’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer. Ce que t’arrive à endurer tout en marchant la tête haute.
Je vais te dire un truc que tu sais déjà. Le soleil, les arcs en ciel, c’est pas le monde ! Y’a de vraies tempêtes, de lourdes épreuves aussi grand et fort que tu sois la vie te mettra a genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie, c’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand même de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais, jamais flancher. C’est comme ça qu’on gagne !
Tout le monde peut changer ! (Rocky 4 après qu'il ait fait sa fête à l'autre russe) => Il nous apprend que tu peux être l'ennemi de quelqu'un un jour puis son ami le lendemain, apprendre à le respecter et à le comprendre.
Adrianne j'ai gagné ! (Rocky 1,2,3,4 peut être 5) => Il nous enseigne par cette parole l'importance de partager nos moments de joie avec ceux qu'on aime. Mais également que quand tu te fais cogner, les neurones qu'il te reste encore ne te permette plus de construire des phrases plus compliquées.
"Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril. Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite. Qui ne connaît ni l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles." Sun Tzu.
Une sagesse affirme : « Donnez à vos cœurs l’occasion de se détendre de temps à autre. En vérité, lorsque les cœurs tombent dans la lassitude, ils ne voient plus rien. »
Hé mon frère solitaire, j'aime bien les Rocky. Merci pour le partage.
Tiens, moi j'ai une citation un peu marrante
"L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui !" (Pierre Desproges)
Ce qui te rapproche de Dieu et des bonnes oeuvres est une bénédiction, et ce qui t'en éloigne est un malheur, alors réjouis-toi des bénédictions divines, et pleures sur tes propres malheurs