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Sun7 a écrit:
Les barrières sont mentales.
Mais les barrières protègent. De quoi hein ? De la boîte de pandore. De tous les maux. De la consumation.
Le seul à qui l’on puisse faire entièrement confiance est Le Très-Haut. Je suis tellement contente que Dieu existe.
La vie ne vaudrait pas la peine d’être vécue autrement.
Je me suis fait la réflexion ce matin.
Tout le reste est superflu et décevant.
À commencer par soi-même.
L’humain est d’un pathétique jamais égalé. Mais l’humain peut être surprenant et magnifique. ⚖️
Je me demande ce qu’est le pire ? Savoir, être conscient de ce que l’on est. C’est sûrement ça le pire.
On a une capacité subhanAllah à s’auto berner, pour continuer d’avancer.
On monte dans les nuages, qu’est ce qui nous fait monter ? L’espoir.
L’espoir est une graine très dangereuse...
Les plus grands fous sont-ils ceux qui n’espèreras plus ? ou sont-ils ceux qui espèrent sans limite ?
Paracelse disait : «Tout est poison, rien n’est sans poison. Seule la dose fait qu’une chose est sans poison »
Alors vivre c’est surement ça. Faire sa petite cuisine, et espérer qu’on sera les heureux gagnants.
On espère, et c’est ça qui nous maintient.
Est ce que croire en Dieu c’est espérer ? Certainement oui.
C’est le seul espoir qui mérite mon attention.
Les humains sont si.. décevants, blafards, terriens en somme.
C’est comme une plante, qu’on devrait arroser, mais pour ne pas qu’elle s’entortille, on lui coupe ses branches, on l’entretient.
Se juguler soi-même : Faiblesse ou raison ?
Se faire du mal par sa propre main pour qu’aucune autre sale patte humaine n’ai plus jamais le loisir de le faire. De se languir de nos soupirs et de nos cœurs.
Sartre disait : « L’enfer c’est les autres »
L’enfer sur terre ? Ou le pouvoir qu’on donne aux autres de nous détruire. D’écraser la graine que Dieu a planté dans nos cœurs.
Alors le choix est simple : passer pour un fou aux yeux des hommes, pour un marginal, un malade, un solitaire OU faire semblant de pas savoir de rien comprendre, joueur le rôle qu’on nous demande de jouer, s’y prendre au jeu et prendre le risque d’être écorché vif et enterré dix mille pieds sous terre.
mmh
Alors quitte à vivre dans une cage, pleine de barrières, autant qu’elle soit dorée non ?
Prisonnière de ma bulle, je me construis mes propres murs ,
Personne ne peut les escalader,
Et je ne peux pas m'en échapper,
Je vais bien je vous assure,
C'est ma bulle qui me rassure,
Un mur, deux murs, trois murs,
Elhamdoulileh je suis entre quatre murs.
Mon endroit est sûr et réconfortant ,
C'est ma foi le plus important.
Tant que j'ai Allah,
Mes murs seront là.
Si je n'ai plus Allah,
Mon coeur s'arrêtera.
En attendant je vis dans ma bulle,
Et J'aperçois en plein envole cette magnifique libellule..
(31/03/2015)
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Brad Pitre a écrit:
belle plume tu devrais écrire plus souvent
tu as mis une date sous le poème c'est quand tu l'as écris ?
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Sun7 a écrit:
wa3likom el selem
pourtant je l’ai écrit en vite fait. Incroyable ce que les émotions sont capables de dégager...
Merci en tout cas
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Sun7 a écrit:
L’écriture vient avec .. comment dire. Avec les maux. C’est comme un kdo. Souffre mais en contre partie écris !
oui c’est ça. Ça commence à remonter.. mais c’est plus que jamais d’actualité.
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ابن وحيد a écrit:
Je t'en prie ... mashallah tu es très douée ??
《Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément》Nicolas Boileau
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LeRif. a écrit:
Salam Aleikoum,
Abu Bakr assidiq qu’Allah soit satisfait de lui disait ‘j’aurais aimé être de l’herbe que les bêtes paissent’. Il disait aussi : ‘par Allah ! J’aurais aimé être cet arbre dont on mange et que l’on coupe’.
La vie est très difficile. Quand on sait qu’on joue notre paradis ou notre enfer elle l’est encore plus. Cependant on doit essayer de trouver un juste milieu, entre la crainte et l’espoir, on doit pas cesser d’espérer.
Qu’Allah nous donne la force de surmonter nos épreuves, nous éloigne des gens malveillants, nous lave de nos péchés, et nous accorde la sérénité.
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