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AVERTISSEMENT URGENT A TOUTES CELLES QUI DISCUTENT AVEC DES INCONNUS SUR LE NET
P
13 octobre 2014 12:56
Selem’alaykoum.
Bismilleh Ar-Rahman Ar-Rahim. Tout d’abord, je jure par Allah de la véracité de ces propos.

J’ai souhaité que mon témoignage soit publié afin de prévenir la Oumma de ce genre de personnes et d’épreuves qui peuvent très mal se terminer. Pas un jour ne passe sans que je ne pense à eux, à elle, à ce drame qui fait partie aujourd’hui de ma vie, à tout jamais!! Je vous demande de ne pas juger min fadlikoum, oui ce geste que je vais évoquer est blâmable mais la personne en elle-même c’est autre chose, tout en sachant ce qu’il s’est réellement passé. J’espère que vous ferez preuve de compréhension in cha Allah. Je vais vous raconter certains détails afin que vous compreniez mieux la situation. Je me désavoue du mal que certaines personnes malveillantes pourront dire, craignez Allah ‘azzawajel dans vos propos, que ce soit sur la sœur en question ou même sur moi. Et Allah seul connait mon intention.

La vérité doit être rétablie et la Oumma doit savoir ce qu’il s’est passé pour que cela serve de leçon. Notre Oumma doit se préserver, se protéger et s’entraider dans ce genre de situation au lieu de se mettre des bâtons dans les roues comme on peut le voir trop souvent, car tout peut basculer d’un jour ou l’autre. C’est pour cela que cette affaire doit être expliquée, c’est une Amana envers la Oumma, je ne peux garder cela pour moi, l’affaire est trop grave. Je sais d’avance que certaines jugeront mal en pensant que cela est intime, que cela ne doit pas être dévoilé pour son honneur etc. Oui, son honneur! Parlons-en sans aucun souci, justement, je connais bien cette sœur et je sais que si elle avait toute sa tête elle n’aurait pas pu faire cela ! Elle n’est pas cette femme avec cette étiquette que les gens lui ont attribuée. Donc, oui, son honneur doit être sauvé et tel est le devoir du musulman et je le répète Allah seul est témoin de mon intention, qu’Il fasse en sorte que cette vérité éclate au grand jour !

Dans cette histoire, trois petits bouts ont perdu la vie : Lyam AbdelMalik 6 ans et demi, Imran et Zayd des jumeaux de 18 mois. Leur maman, une convertie, est actuellement dans un centre psychiatrique en France (je ne dirai pas le nom de la ville) très surveillée en attendant son procès.

Tout commence en juin 2013, elle fait la connaissance d’un homme qui avait un compte facebook et une page qui existe toujours (idem je ne la citerai pas pour éviter que certaines par curiosité aillent la voir et tombent dans le piège). Cet homme parlait de religion. Un homme avec une certaine culture générale, sportif, qui parle très bien, ayant des notions en psychologie et se fait passer , soit disant, pour un coach de vie Allahou lmousta’an.

Cette sœur était assez faible psychologiquement et religieusement du fait de ses épreuves : pas de grands liens avec sa famille qui avait du mal avec son choix religieux, divorcée avec trois petits bouts, fatiguée généralement etc. El hamdoulilahi elle a toujours été une très bonne maman, très attentive, soucieuse du bien-être de ses enfants et elle s’en sortait très bien. Elle était très appréciée par beaucoup de personnes pour sa douceur et sa gentillesse.

Au printemps dernier, elle reprenait goût à la recherche de la science, la lecture etc. Elle avait un peu plus de temps pour elle, elle avait repris des cours d’arabe via internet etc. Elle était apaisée. En quête de compréhension, elle est tombée sur un commentaire, sur LE commentaire de cet homme et de là s’est entamée une longue, très longue discussion. En même pas dix jours 3000 messages ont été échangés. Je les ai lus par la suite et je vous raconte cela pour vous montrer l’ampleur réelle de la chose.

Tout d’abord, il l’a mise en confiance, ensuite il lui a fait un lavage de cerveau comme on dit, psychologiquement puis religieusement. Certains termes sont choquants !! Nous sommes cinq à avoir lu les messages Allahou akbar!! Je vous en cite certains : « Les barbus sont des pervers sexuels qui épousent des converties en se disant qu’elles sont plus libres », « Les valeurs sont inversées, c’est l’effet miroir, ce qu’on croit bon pour nous est mauvais et inversement » (son sens en psychologie est très fort), « Le nom du Coran et le nom Musulman sont un mensonge il s’appelle le récité et nous sommes la religion des soumis » (même si cela est véridique, nous sommes les soumis à Allah mais le mot mouslim existe bel et bien) et encore pleins d’autres commentaires plus mensongers les uns que les autres.

Se sentant en confiance, elle lui a raconté sa vie, sa situation, ses ressentis face à la religion, ses épreuves, etc. Ensuite, il s’est fait passé pour une personne particulière qui recevait des révélations. Elle a voulu couper court à la discussion en disant que depuis qu’elle parlait avec lui elle ressentait des choses bizarres en elle : ces muscles se contractaient beaucoup, elle avait peur, elle pensait qu’il était un charlatan, un sorcier et un manipulateur. Pour la rassurer, il lui a dit « Beaucoup de personnes disent cela de moi. Mais croyez-moi, si j’étais quelqu’un comme ça, il faudrait appeler la police, me mettre dans un hôpital psychiatrique et envoyer mes enfants a la DASS » tout en lui envoyant une photo de lui avec sa fille Allahou wa’lem si c’est vraiment lui!! Ce qu’il a décrit, c’est ce qu’il s’est passé exactement pour elle quelques jours après. Elle lui a dit qu’il était alors El mahdi!! Il ne l’a pas nié et il a juste dit : « Je suis quelqu’un de spécial ». Son dernier message pour elle était : « Tenez-moi au courant, vous avez une mission aujourd’hui ». La hawla wala qwata ila billeh!!!!! Ensuite, ils ont parlé par téléphone.

Nous sommes le 22 juin 2013, une fête pour les enfants est organisée là où les enfants récitent du Coran, ce qu’ils ont appris pendant l’année scolaire Allahouma berek. Ce n’était pas prévu qu’elle y aille. Quelques jours auparavant, j’ai eu des messages sur facebook de sa part, elle « psychotait » sur la sourate Al Imran entre autres et me disait qu’elle allait m’annoncer quelque chose d’important et qu’il fallait que je lui fasse confiance. Le jour J, le matin elle me dit ces mots : « Je connais El Mahdi et je connais El Dajjal » puis qu’elle était en contact avec El Mahdi, que ça y est la fin était arrivée. J’avais beau essayé de la raisonner avec des adilas (preuves), elle me disait que les données avaient été inversées par El Dajjal. Abattue, anéantie et ne comprenant rien à la situation, j’ai eu peur et j’en ai parlé à mon mari directement qui lui est du genre très méfiant. Je lui ai dit que j’irai la voir avec ma mère avant d’aller à la petite fête. Cela tombait bien, j’avais des choses à lui remettre en mains propres. Puis, dans la voiture je préviens ma mère de la situation, stupéfaite tout comme moi, nous sommes devenues des légumes ne sachant ni quoi dire ni quoi faire.

Quel est ce délire ?! Elle, qui, a les pieds sur terre. Que se passe-t-il ?! Bien entendu, je n’étais pas encore au courant de l’existence du spécimen et des messages. Arrivées chez elle, elle nous accueille en jilbeb prête à partir en me disant qu’elle va a la fête avec nous. Son ainé était content de me voir et de partir à la fête. Ma mère lui a demandé où étaient les jumeaux, elle nous a dit qu’ils allaient rester ici et qu’ils dormaient puis qu’une voisine allait venir s’en occuper, qu’elle allait lui donner les clefs de chez elle de suite. Sur le coup, on s’est dit « c’est elle la mère »…

Donc, on commence à partir et là elle nous annonce qu’elle ne trouve plus les clefs de sa voiture, nous lui proposons de l’amener tout simplement. On la voit aller dans le bâtiment en face sonner à un interphone et rentrer dans l’immeuble pour donner ses fameuses clefs. On part ensuite tranquillement à cette petite fête. Sur la route, elle me demande avec un sourire bizarre de mettre la musique, elle savait très bien que je n’en écoute pas et je me retourne alors vers elle avec incompréhension. Là, elle me dit que les valeurs sont inversées à la suite du Dajjal donc la musique qui était avant néfaste pour nous est aujourd’hui un bien… Allahou lmousta’an. J’étais choquée. Toute pâle, je ne pouvais dire un mot. Je commençais à comprendre qu’il se passait quelque chose, ma mère me voyait pas bien, elle-même était perturbée par tout cela. C’est bizarre, comme si on ne pouvait finalement plus penser comme il se doit, comme si on était déconnectée, faible et que le vide s’était installé autour de nous. C’est vraiment ‘ajib comme sentiment. Je jure par Allah que ce ressenti était présent, incompréhensible et difficile à canaliser. Perturbées, nous arrivons à la salle des fêtes, les autres sœurs ont remarqué que je n’étais pas à l’aise mais sans venir me questionner non plus. Elles ont aussi remarqué que la sœur n’était pas dans son état normal. Arrivée dans la salle, elle s’est mise à pleurer de joie de voir beaucoup de sœurs réunies. Elle a embrassé chacune d’entre elles alors qu’elles étaient très nombreuses et s’est mise à serrer dans ses bras presque chacune d’elles. Beaucoup de sœurs se demandaient ce qu’il se passait…

Par la suite, je m’installe près de ma mère et du petit. Ma copine était dans la rangée opposée, je la voyais de plus en plus stressée, elle se balançait sur sa chaise en joignant ses mains pour invoquer, après elle se prosternait… Tout le monde voyait cela sans intervenir en faisant comme si de rien n’était. C’est pour cela aussi que je me sentais seule livrer à moi-même face à cette situation qui me dépassait complètement.

Ensuite, j’ai reçu un appel de mon époux et j’ai senti quelqu’un me prendre le bras. C’était elle, elle pleurait, elle avait enlevé son jilbeb et me disait : « Qui est au téléphone ? C’est qui ? ». Puis, je la vois se diriger avec son fils sur l’estrade, je décide donc d’aller la rejoindre. Elle m’annonce que c’est son fils qui va annoncer à tout le monde que Al Dajjal est là, que ‘Issa allait venir avec une amie à nous pour le tuer, qu’elle était en contact, spirituellement, avec El Mahdi mais que le Dajjal s’introduisait dans ses pensées pour la perturber et qu’elle croyait que c’était le Dajjal qui m’appelait pour me perturber. Elle m’a ensuite annoncé que le Dajjal était venu tuer les jumeaux, qu’elle les avait laissés exprès, qu’ils allaient être des grands martyrs de l’histoire et que de là où elle était elle les avait entendus hurler et pleurer. Face à moi-même, je me suis retrouvée chamboulée avec une telle déclaration, j’en ai pleuré!! Je me disais que ce n’était pas possible, que c’était un cauchemar et que j’allais me réveiller ou que c’était une mauvaise blague.

J’ai pris la main du petit l’emmenant avec moi, le pauvre il ne comprenait rien à la situation et me disait : « Mais c’est quoi que je dois faire? Je dois dire quoi aux autres? Moi j’ai pas envie d’aller sur la scène ». J’étais choquée, déconnectée et je le jure par Allah que j’étais bloquée verbalement dans le sens où elle est ensuite redescendue comme si de rien n’était et avait remis son jilbeb. Elle n’a pas remarqué son fils qui l’appelait à mes cotés puis elle s’est mise tout au fond de la salle, seule. Avec ma mère, nous décidions d’aller la rejoindre pour cette fois agir et stopper ce phénomène qui nous échappait et nous dépassait complètement. Pendant ce temps, la fête continuait de se dérouler correctement. A un moment, elle nous disait que nous aussi nous étions des femmes choisies pour suivre El Mahdi, elle disait aussi d’autres propos délirants, par exemple que la Turquie lui disait quelque chose mais elle ne savait pas si c’était en bien ou en mal ou encore que ma mère avait quatre enfants et que trois représentaient les trois religions et que le dernier était un mélange des trois, ou encore que j’allais devenir la soigneuse et la laveuse de l’armée du Mahdi. A cet instant là, je l’ai stoppée mais à chaque fois elle rebondissait sur un autre sujet. Après, elle s’est mise à répéter « la ilaha ila lah » de plus en plus fort… Je lui ai demandé d’arrêter, ce qu’elle a fait en me disant que j’étais la sagesse à présent.

Puis, elle était persuadée qu’une personne sur scène l’appelait, je lui certifiais que non mais elle n’a pas voulu m’écouter et d’un coup elle se leva et se dirigea vers la scène. Personne ne l’a vue concrètement traverser la salle, même moi je certifie qu’il s’est passé un tout petit instant entre le moment où elle s’est levée et celui où elle était sur la scène.

Puis, j’ai reconnu des pieds couchés, qui dépassaient du rideau, la sœur sur la scène qui la voyait était choquée et j’ai couru donc de nouveau vers la scène en disant à ma mère : elle est tombée. Je découvrais ma copine avec un grand sourire, soulagée, le jilbeb en sang, avec un gros trou profond sous le menton. Personne n’a su comment elle a pu se faire cela. Elle me disait : « Ne t’inquiète pas, ça y est, c’est fini pour moi, je suis morte, je suis au paradis, c’est fini, ils vont faire croire que c’est moi le Dajjal mais il ne faudra pas les croire ». Ma mère m’a suivie, ma copine lui a alors dit : « Tu m’as ouvert les portes de l’enfer maintenant ouvre-moi celles du paradis (pour elle, ma mère avait un rôle d’ange) Allahou lmousta’an. Les petits sur scène criaient, hurlaient, ils avaient vu la scène et étaient pétrifiés. Ma mère est aide-soignante et elle n’avait jamais vu cela et ne comprenait pas comment cette plaie aussi profonde pouvait s’arrêter de saigner aussi tôt. A la vue de tout cela j’ai fait une crise d’angoisse el hamdoulilahi wa Allah akbar car c’est cette crise qui m’a réellement secouée et j’ai repris mes esprits. La sœur sur scène qui l’a vue tomber nous a dit que c’était comme si quelqu’un l’avait poussée et elle s’est relevée sans les mains comme si quelqu’un l’avait soulevée.

Décidée à reprendre le dessus une bonne fois pour toute, j’ai téléphoné à mon époux lui demandant de ne pas poser de questions et de venir de suite me chercher, qu’il s’était passé quelque chose mais que je ne pouvais pas lui expliquer comme ça. Ce qu’il a fait sans tarder wa el hamdoulilahi. Entre temps, avec la sœur, son fils et ma mère nous sommes sortis par une sortie de secours derrière la scène pour ne pas déranger encore plus le spectacle et affoler les familles. Ma mère a pris avec elle le petit dans sa voiture. J’ai alors mis la sœur dans ma voiture à l’arrière et j’ai demandé à mon mari de nous déposer chez elle. Entre temps, je lui avais expliqué la situation et la sœur me disait : « A présent, c’est à toi de reprendre le relais avec El Mahdi, ne t’inquiète pas tu vas savoir comment agir. A présent, c’est toi qui décide de tout ce qu’on va faire ». Croyez-moi, j’en ai bien profité à ce moment là pour lui dire qu’on allait chez elle pour la changer, récupérer ses bébés qui avaient à peine quinze mois. A ce moment-là, dans ma tête tout s’enchaînait mais je me rassurais en me disant qu’il y avait bien sa fameuse voisine qui les gardait. Arrivées devant chez elle, je lui demande qui est sa voisine pour qu’on aille récupérer ses clefs et là, coup de théâtre, elle me dit : « Mais quelle voisine? Quelles clefs? » SoubhanAllah… On lui réexplique ce qu’elle nous avait dit et qu’on l’avait vu aller vers l’immeuble en face. On commençait tous à paniquer et à se demander où étaient les jumeaux et surtout comment ils allaient?! Elle me dit : « Pas besoin de clef, la clef c’est la Fatiha ». Je lui au dit : « ok alors vas-y récite et on verra.. » C’est ce qu’elle a aussitôt fait et elle a remarqué d’elle-même que cela ne fonctionnait pas. Bien évidemment. Un voisin est sorti à ce moment-là donc on a pu entrer dans l’immeuble.

Énervée qu’on la suive, elle nous demanda de ne plus le faire, qu’elle avait quelque chose à régler encore et qu’elle allait rejoindre ses jumeaux au paradis. Son petit lui disait qu’il ne voulait pas qu’elle parte, qu’elle allait lui manquer et elle le rassurait en lui disant qu’elle s’était bien occupée de ses enfants et que maintenant elle allait avoir sa récompense. Ma mère a pris le petit avec elle dehors et en même temps je lui ai demandé de vérifier vers l’entrée du bâtiment si elle ne voyait pas ces fameuses clefs. Bien entendu, je tiens à préciser qu’elle n’avait plus son sac à main et qu’il était introuvable. J’avais appelé des sœurs encore dans la salle pour le chercher. Mon mari de son coté essayait de convaincre un frère raqy de venir mais à ce moment-là il ne faisait plus de roqiya. Je suis restée seule avec elle, elle avait un regard bizarre, vide et profond en même temps, que je ne saurai décrire concrètement, et un sourire vicieux. Elle a pris de son sang sur son fameux trou et l’étala alors sur mon visage, je reculais en me disant que ça allait être mon tour de mourir martyr. Allahou lmousta’an! Elle a fait la même chose avec ma mère. Ma mère m’appela, j’ai hésité à sortir, ma copine me regardait avec un sourire comme si elle comprenait mon hésitation, je suis sortie et elle en a profité pour refermer la porte de l’immeuble derrière moi en me faisant coucou avec sa main en montant les escaliers. Prise de panique, j’ai alors sonné chez tous les voisins pour que quelqu’un m’ouvre. Je l’ai trouvée en haut des escaliers, énervée de ce que je venais de faire. Ensuite elle s’est assise devant moi en me regardant. Alors, j’en ai profité pour la raisonner, lui dire qu’elle ne pouvait pas être morte sinon elle ne me verrait pas et sa réponse fut : « Si. Je suis morte et toi je te vois car tu es dans ma tombe, tu es ma bonne œuvre ». Entre temps, mon mari était parti chercher ce frère, la sœur priait encore et encore dans le couloir de son immeuble. Son frère est arrivé, ils habitaient juste à coté l’un de l’autre. Dépité de la voir ainsi, toute pâle et en sang il lui demanda qu’est-ce qu’il lui était arrivé et sa réponse fut la même que les autres avec un sourire : « Je suis morte, je suis au paradis ». En détresse, il me regarda en me faisant signe de la main qu’elle avait un souci. Ma mère arriva en me disant qu’elle n’avait rien trouvé. Elle en a profité pour demander si son frère avait un double en précisant que les jumeaux étaient seuls à l’intérieur. Malheureusement, sa réponse était négative et il commença lui aussi à paniquer. On a frappé et sonné à plusieurs reprises à la porte et on n’entendait strictement rien. Mon mari arriva avec le frère raqy. La sœur décida d’aller à l’hôpital avec mon mari, le raqy et ma mère. Elle ne voulait pas que je l’accompagne, de toute façon il fallait quelqu’un pour rester avec le petit.
En rentrant dans la voiture, elle leur dit qu’elle se souvenait à qui elle avait donné ses clefs. Ils se sont donc dirigés vers le bâtiment et ils ont sonné à tous les noms en se disant c’est peut-être celui-là ou celui-ci… Mais en vain. Un voisin est sorti et ils sont rentrés. Ils ont fait la même chose devant les portes des appartements, ma mère en a profité, suivant mon conseil, de regarder dans ses chaussures et habits au cas où il y aurait ses clefs.

Entre temps son frère avait appelé les pompiers et ils sont arrivés rapidement avec la police aussi. Tous les voisins étaient sortis pour regarder. La sœur continuait à leur raconter les mêmes propos. Ma mère leur disait qu’elle était tombée et qu’elle délirait (pour sauver son honneur). Les pompiers ont cassé une vitre et se sont introduits dans l’appartement el hamdoulilahi. J’ai couru vers la porte et là j’ai vu mes petits trésors à moitié endormis regardant autour d’eux se demandant ce qu’il se passait. Les pompiers me demandaient des infos sur leur date de naissance, leur prénom, etc. Ils m’ont annoncé ensuite qu’ils devaient emmener tout le monde à l’hôpital pour une visite et qu’ils passeraient la nuit là-bas. Le plus grand n’a pas voulu partir et il voulait rester à mes cotés. J’ai donc décidé de rendre la situation amusante et lui dire qu’il allait monter dans un camion de pompiers et que moi je n’avais pas le droit car j’étais trop grande pour y aller, tout content alors el hamdoulilahi je le vois encore me faire coucou en m’appelant, assis dans le camion, un vrai petit cœur.

Le soir en rentrant chez moi, j’étais lessivée par cette folle journée, je me sentais affaiblie et fatiguée psychologiquement, tourmentée. J’avais peur du moindre bruit. La nuit tombée, j’étais angoissée, cela a duré plusieurs jours. Ma mère a eu le même ressenti… Même pendant mes prières, j’avais un tel sentiment d’insécurité. Le soir même, j’ai appelé l’hôpital pour avoir des nouvelles. J’ai pu avoir la sœur qui était perturbée, croyant qu’elle était en enfer. Je l’ai rassurée en lui disant qu’elle était à l’hôpital dans la vraie dounya. Elle m’a alors demandé des nouvelles des enfants en panique.

Elle m’a demandé aussi de ne pas l’abandonner, je lui ai dit de se reposer et que je viendrai la voir le lendemain. Ainsi, le lendemain avec une autre de ses amies, nous sommes allées la voir et là, la surprise les visites ne sont plus autorisées alors que c’était le cas jusque maintenant. Son état s’est dégradé. En rentrant dans la chambre, la sœur a vu son amie en premier elle avait l’air contente, elle m’a ensuite vue et sa tête a complètement changé. Elle ne m’a pas regardé une seule fois alors que je la fixais du regard et elle avait l’air satisfaite quand l’infirmière nous a dit de sortir. Elle a juste eu le temps de nous dire que le personnel médical faisait tout pour lui faire renier l’islam (Allahu wa’lem) et pour être tranquille, elle leur disait alors que c’était terminé et qu’elle ne mettrait plus le voile et qu’elle se faisait roqiya dans son verre d’eau.

Ensuite, nous en avons profité pour aller voir ses enfants qui étaient en pédiatrie. Le plus grand s’occupait à jouer, il avait des cours scolaires etc. il me posait des questions sur sa maman si elle allait bien, où est-ce qu’elle était, qu’il voulait la voir. Les jumeaux se sont accrochés à moi fortement, ils ne voulaient plus me lâcher. On a dû partir au bout d’un moment bien évidemment et là, le drame qui nous a fendu le cœur, je n’ai jamais entendu des petits pleurs comme ça. C’était terrible… On en a pleuré.

La sœur, dès notre visite, a été emmenée d’urgence dans un centre psychiatrique. On a jamais su ce qui c’était passé réellement. Le lendemain j’y suis retournée avec mon époux voir les enfants. J’appelais également le centre pour avoir des nouvelles de la sœur qui était en soins intensifs, donc aucune visite. Les jours qui ont suivi, nous n’avons appris que des mauvaises nouvelles : visite interdite pour les enfants à présent, refus que le père récupère les enfants, refus pour la grand-mère aussi. Ensuite, les jumeaux ont été placés dans une famille et le plus grand à la DASS. Vous vous rappelez ce que lui a dit cet homme en dernier ? En se décrivant, il a décrit ce qui est en train de lui arriver. Allahou lmousta’an. Puis, nous avons appris par sa mère qu’elle avait bien renié l’islam, qu’elle ne voulait aucun contact avec les musulmans. D’ailleurs, elle est sortie à peine deux semaines après son entrée, elle avait le droit à des appels entre temps. Elle ne nous donnait aucune nouvelle mais elle appelait une de ses amies non musulmane qui habitait dans une autre ville. Et comment avait-elle pu sortir aussi vite et récupérer ses enfants aussi vite? En France, c’est galère!! Tout le monde se posait cette question… Cela nous a touché mais kheir in cha Allah. On voulait qu’elle aille bien avant tout. Après avoir eu la confirmation de sa sortie, je l’ai contactée par sms. Elle m’a bien confirmé ce qu’on avait appris…

J’ai laissé passer quelques jours. Elle m’a appelée un vendredi en panique me disant qu’elle avait un djinn en elle et elle l’a menacé de faire roqiya pour le brûler et qu’il lui avait dit qu’il allait alors sortir. Je lui ai dit que ce sont des menteurs qu’il faut faire roqiya au plus vite et qu’on pouvait l’aider pour cela. Elle a refusé en disant que ça empirait dès qu’elle était en contact avec des musulmans, que si sa mère apprenait cela, ça allait être difficile car elle l’avait ramassée à la petite cuillère etc. À cette période, sa mère lui avait laissé sa grande maison, dans un petit village à coté afin de se reposer et de recommencer une nouvelle vie.

Par la suite, j’ai continué à la contacter, une fois elle me parlait correctement, une autre elle m’envoyait balader, c’était très instable. Elle refusait de me voir et elle repartait des fois dans un délire de Dajjal alors qu’elle disait juste avant ne plus croire en Allah… C’était déstabilisant autant pour elle que pour moi mais je ne voulais pas la lâcher. En août, ça a empiré… Elle m’a menacée de porter plainte si je demandais encore une fois de ses nouvelles par le biais de sa copine non-musulmane (ce qui est impossible on ne peut pas le faire). Elle m’a dit qu’elle ne faisait plus partie de la communauté musulmane que je n’avais pas à me soucier d’elle, qu’elle allait bien, qu’elle n’est pas possédée mais qu’elle avait déliré parce qu’elle avait diminué son traitement (depuis sa sortie elle avait un gros traitement).

En octobre, j’ai retenté de la contacter mais rebelote, elle m’a dit qu’elle ne voulait plus de contact tout simplement. Pendant toute cette période de juillet à octobre, je répétais sans cesse que les enfants étaient en danger, j’étais inquiète et je me disais que cette histoire n’était pas finie.

Puis, le 1er novembre au matin, j’ai appris une terrible nouvelle par une amie de Paris qui est tombée par hasard sur un article et me l’a envoyé. Je ne saurais décrire mon ressenti, j’ai senti ma respiration s’arrêter pendant quelques minutes, le monde s’est arrêté. Elle les avait tués. Le premier avec des médicaments et les petits étouffés Allahu a’lem. J’en tremblais, j’ai dû appeler ses connaissances pour les prévenir. La première personne que j’ai appelée, j’ai eu du mal à le dire, ça ne voulait pas sortir. C’était très dur d’entendre des cris, des pleurs, de répondre aux questions des autres sœurs. Beaucoup d’autres m’appelaient, c’était devenu très pesant. J’avais aussi ma peine à gérer.

C’est passé aux informations, dans les journaux, il y a eu beaucoup de mensonges, des choses déformées. Il y a enquête en cours, j’ai été convoquée par la brigade des recherches. Il va y avoir un jugement aux assises. Entre temps, j’ai appris qu’elle avait avoué à sa copine non-musulmane qu’elle avait des envies suicidaires, qu’elle n’aimait plus les jumeaux et qu’elle voulait les tuer mais qu’elle ne ferait jamais de mal au plus grand . J’ai appris également qu’elle était en contact avec la femme de cet homme et qu’elle lui avait avoué la même chose. J’en ai profité pour faire ma petite enquête et ce n’est pas la première fois qu’il s’en prenait aux sœurs. En effet, il avait déjà tenté auparavant, il s’en prend à des converties seules, divorcées avec enfants. Il les isole, les pousse à délaisser leurs enfants auprès de leur père (d’ailleurs elle comptait les laisser également). Il dit qu’il parle aux anges, reçoit des révélations alors qu’il parle aux djinns tout simplement. C’est également un pervers aimant beaucoup les femmes et faisant des mariages temporaires soit disant pour les aider à sortir de l’emprise des salafistes. Il a d’ailleurs fait huit mariages en quelque temps.

Pour conclure, je souhaitais vous raconter cela pour plusieurs raisons:

mettre en garde les sœurs contre le fait de parler aux hommes sur les réseaux sociaux, vous devez écouter les savants, revenez au haqq et craignez Allah.
méfiez-vous des charlatans, sorciers éloignez-vous de tout cela et protégez-vous, cela n’arrive pas qu’aux autres et c’est une réalité
un éclaircissement, qui méritait d’être fait, pour leur honneur, c’est un haqq de dire cette vérité elle doit être connue de tout le monde dans notre Oumma
une leçon de vie, une moralité, un rappel dont on doit se servir ici-bas pour ne pas oublier que du jour au lendemain tout peut basculer Allahu akbar

Faites des dou3as pour la sœur, pour que la vérité éclate et que cet homme paye ici-bas et dans l’au-delà pour ce qu’il a fait à la sœur svp. Je précise ne la jugez-pas, son état n’est pas normal, ni habituel, j’étais très proche d’elle au point d’avoir vécu sa dernière grossesse à ses cotés, d’avoir assisté à l’accouchement entre autres et j’en passe.

Qu’Allah nous préserve de tout mal apparent et caché et qu’Il anéantisse les sorciers. Amîn.
L
13 octobre 2014 13:16
euh ... désolée j'ai abandonné c'est trop long....
13 octobre 2014 13:24
c'est une histoire qui croule sur le net depuis un moment déjà.

je l'ai lue une fois. Mais la ça donne pas envie . Vraiment.
B
13 octobre 2014 13:37
bon en gros c'est une femme réconverti abandonnée par tous qui est tombé sous les griffes d'un
mec qui s'est fait passé pour al mahdi...
honnetement, on peut se voir avoir par tout un tas de choses, genre le mec qui s'invente une vie
de reve etc, mais là c'est fort de café quand même...
L
13 octobre 2014 13:39
Citation
Barissa Tagada a écrit:
bon en gros c'est une femme réconverti abandonnée par tous qui est tombé sous les griffes d'un
mec qui s'est fait passé pour al mahdi...
honnetement, on peut se voir avoir par tout un tas de choses, genre le mec qui s'invente une vie
de reve etc, mais là c'est fort de café quand même...

merci pour le résumé ! heureusement j ai pas été au bout !
13 octobre 2014 13:48
salam alykoum

c'est l'histoire la plus horrible que j'ai lu de ma vie!!!!!

Qu:Allah nous protege! amine

bouu ça fait froid dans le dos.
Tout le monde veut un ami, mais personne ne s'occupe d'en être un.
A
13 octobre 2014 13:56
encore une rumeur si vous croyez celle -là ils vont vous en raconter une autre ...
13 octobre 2014 14:58
C'est ce qu'on appelle une histoire de fou à dormir debout.

Par contre tu a raison mefiez vous des inconnus qui ce font passer pour des prophètes car le dernier et déjà venu PWSL
B
13 octobre 2014 15:17
en même temps la majorité des maghrébins de France se font passer pour des saints, il leur
suffit de faire leur 5 prières et d'aller 2 trois 3 fois par mois à la mosquée à l'heure du fajr pour
se donner le titre pompeux de "pieux" ou de "je suis dans le din"
bientot certains nous diront même qu'ils ont compris la signification de "ya sin" et qu'ils sont
aptes à donner des exegetes du Coran
a
13 octobre 2014 15:35
La majorité, c'est tout de même un peu sur évalué de ta part.
Après je te rejoins sur le constat que tu fais des maghrébins, et on peut tout à fait dire du même des maghrébines.
Un voile sur la tête, un vendredi sur trois à la mosquée et elles se permettent de donner des leçons.
P
13 octobre 2014 16:24
Le fait divers est malheureusement vrai...
Que ces petits anges reposent au paradis inchallah


[www.parismatch.com]
B
13 octobre 2014 16:36
@abracadabriii
quand je dis la majorité ça veut dire que la majorité des maghrébins, si demain ils commencent
la prière et qu'ils apprennent un peu de science, ils se sentiront plus peter...
ça s'explique par le fait que la communauté maghrébine de france est la moins valorisée
socialement, et la reconnaissance sociale tu l'obtiens par le travail, et comme on le sait, c'est pas
les hommes maghrébins qui se distinguent le plus à l'école, c'est un fait, du coup ils n'ont pas la
reconnaissance sociale,
depuis une dizaine d'années, a emergé la fameuse tendance de religion = reconnaissance sociale,
du coup les maghrébins y ont vu la possibilité de briller auprès de leur congénère à défaut de
briller devant la société, ce qui fait qu'ils ont l'impression de se distinguer lorsqu'ils sont pratiquants,
et veulent qu'on reconnaisse cette distinction
13 octobre 2014 16:45
Pauvre Oumma et ses histoires de gamins .... Les peuples évolués cherchent à coloniser la lune pendant que les musulmans s'hypnotisent avec des histoires de gamins de 5 ans et se demandent si le gel est haram pendant ramadan ...
a
13 octobre 2014 17:17
Citation
Barissa Tagada a écrit:
@abracadabriii
quand je dis la majorité ça veut dire que la majorité des maghrébins, si demain ils commencent
la prière et qu'ils apprennent un peu de science, ils se sentiront plus peter...
ça s'explique par le fait que la communauté maghrébine de france est la moins valorisée
socialement, et la reconnaissance sociale tu l'obtiens par le travail, et comme on le sait, c'est pas
les hommes maghrébins qui se distinguent le plus à l'école, c'est un fait, du coup ils n'ont pas la
reconnaissance sociale,
depuis une dizaine d'années, a emergé la fameuse tendance de religion = reconnaissance sociale,
du coup les maghrébins y ont vu la possibilité de briller auprès de leur congénère à défaut de
briller devant la société, ce qui fait qu'ils ont l'impression de se distinguer lorsqu'ils sont pratiquants,
et veulent qu'on reconnaisse cette distinction

Il ne faut pas distinguer maghrébin de maghrébine.
Pour ce qui concerne la place de notre communauté dans la société, nous sommes à la fin du peloton. Nous ne sommes pas solidaire entre nous et quand une personne réussi on est surtout envahi par la jalousie. Ce qui nous réjouis, c'est de voir un des nôtres échouer... Le jour, ou nous changerons nos mentalités, notre communauté se portera bien mieux.

La grande majorité des maghrébins sont issus de milieux ouvriers et le seul moyen pour leurs enfants de changer de milieu est l'éducation. En France, on a la chance d'avoir une école qui donne les moyens de réussir mais la plupart s'en aperçoivent quand il est déjà trop tard.
Je veux bien qu'il y ait une reconnaissance par la religion, encore faut-il qu'il soit de bon pratiquant. Quand je dis "bon pratiquant" ce n'est pas seulement les prières mais surtout le respect, l'humilité, l'honnêteté, la sagesse qui va avec...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/10/14 17:19 par abracadabriii.
B
13 octobre 2014 17:21
@abracadabriii
en fait t'as pas compris mon message je pense,
je t'ai dis que la reconnaissance sociale tu l'obtiens à partir du travail actuellement et comme
la grande majorité des maghrébins n'ont pas obtenu pour la plupart de diplome valorisant (hormis
le BEP, et encore...) et bien ils cherchent une autre reconnaissance sociale qu'ils trouvent dans la
religion, d'ou le fait que lorsqu'ils sont plus ou moins pratiquants, ils vont te sortir la fameuse carte
de : "je suis dans le dine" "je suis un pieux"
c'est une pratique egoiste puisqu'elle tend à être valorisé auprès des autres, mais bon en meme
temps ils n'avaient qu'à étudier à l'école...
D
13 octobre 2014 17:28
Citation
Barissa Tagada a écrit:
@abracadabriii
quand je dis la majorité ça veut dire que la majorité des maghrébins, si demain ils commencent
la prière et qu'ils apprennent un peu de science, ils se sentiront plus peter...
ça s'explique par le fait que la communauté maghrébine de france est la moins valorisée
socialement, et la reconnaissance sociale tu l'obtiens par le travail, et comme on le sait, c'est pas
les hommes maghrébins qui se distinguent le plus à l'école, c'est un fait, du coup ils n'ont pas la
reconnaissance sociale,
depuis une dizaine d'années, a emergé la fameuse tendance de religion = reconnaissance sociale,
du coup les maghrébins y ont vu la possibilité de briller auprès de leur congénère à défaut de
briller devant la société, ce qui fait qu'ils ont l'impression de se distinguer lorsqu'ils sont pratiquants,
et veulent qu'on reconnaisse cette distinction

Purée c'est pas faux ça. Bien vu bien vu
13 octobre 2014 17:59
comme d ahbitude barissa tagada vise en plein dans le mil
c est vrai que les magrébins et les études c était pa strop leurs cames
faut dire ce qui est des magrébins avec un bon niveau d étude y en a vraiment pas beaucoup
ils disent soi disant que les Français sont racistes etc mais bon quand t as pas de diplome
faut pas t attendre a la sinécure
perso quand j entends des gens surtout des hommes se plaindrent
j eles trouvent franchement culottés en sachant qu ils s en foutaient totale des études
eux tout ce qui compter c était l argent vite et n importe comment
ça me fait rire quand j entends dire que le sfemmes aiment l argent alors
qu el aplupart du temps c est le goût immodéré des homme spour l argent qui les a conduis
a pas faire d étude
a
13 octobre 2014 18:07
Citation
Barissa Tagada a écrit:
@abracadabriii
en fait t'as pas compris mon message je pense,
je t'ai dis que la reconnaissance sociale tu l'obtiens à partir du travail actuellement et comme
la grande majorité des maghrébins n'ont pas obtenu pour la plupart de diplome valorisant (hormis
le BEP, et encore...) et bien ils cherchent une autre reconnaissance sociale qu'ils trouvent dans la
religion, d'ou le fait que lorsqu'ils sont plus ou moins pratiquants, ils vont te sortir la fameuse carte
de : "je suis dans le dine" "je suis un pieux"
c'est une pratique egoiste puisqu'elle tend à être valorisé auprès des autres, mais bon en meme
temps ils n'avaient qu'à étudier à l'école...

J'ai bien compris.
Vu le niveau scolaire, ils n'ont pas de reconnaissance sociale par conséquent ils s'orientent vers la religion.
Après, est-ce que ce genre de personne représente la majorité des maghrébins ?
m
13 octobre 2014 18:08
WAWWW je suis choquée c'est quoi cette histoire de fou !! ca fait froid dans le dos !!! eye popping smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/10/14 19:08 par marocaiine-31.
13 octobre 2014 18:09
la majorité peut être pas mais un sacré paquet
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