Cachés, des milliers d'enfants au Maroc grandissent sans père et sont élevés par leur mère. Majoritairement issues de milieux défavorisés, ces femmes luttent contre la stigmatisation et la précarité.
Une cinquantaine de manifestants à Paris, une vingtaine à Lyon, hier, le premier mars, la journée sans immigrés n’a pas connu le même succès que l’an dernier, lors de sa première édition. Le collectif organisateur réfléchit à présent à de nouvelles formes de mobilisation.
La deuxième édition, en France, de la Journée sans immigrés aura lieu, mardi 1er mars, dans tout le pays. Objectif : commencer à changer le regard stigmatisant de la société sur l’immigré. «Par notre absence nous démontrerons la nécessité de notre présence», explique Karima Ibnou, adhérente du collectif 24H sans nous, en France.