Le Maroc et le Polisario se sont montrés rapides pour féliciter le président Mohamed Ould Abdel Aziz de sa «victoire» aux élections du samedi 21 juin. En revanche, Abdelaziz Bouteflika prend encore son temps.
Après le Mali, la Tunisie est devenue le nouveau terrain où le Maroc et l’Algérie se livrent concurrence. Même si le royaume n’a pas les moyens financiers de son grand rival régional, il a certaines cartes à jouer. Explications.
Le président algérien a adressé une courte lettre à Mohamed Abdelaziz pour rendre la politesse au chef du Polisario. Même si elle arrive avec retard, ce message de soutien a une portée politique en faveur de la direction du Front et du Maroc.
Décidément, les temps sont durs pour les ouvriers du bâtiment marocains en Algérie. En l’espace de quelques jours plusieurs maçons et peintres ont été arrêtés à Annaba pour espionnage, djihadisme, photomontage, et téléchargement de vidéo sur Youtube. Le président Bouteflika a promis la sécurité, les Experts Annaba sont entrés en action.
A la veille de la cérémonie de prestation de serment du président Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat de cinq ans, des médias locaux font état de l’arrestation de ressortissants marocains en Algérie, accusés de «semer la Fitna» et «vouloir changer le régime». Des interpellations qui interviennent alors que la Kabylie est en effervescence.
A combien s'éleverait le nombre des Sahraouis dans les camps de Tindouf ? C'est le problème que n'a toujours pas résolu la Minurso. Cependant, la forte participation aux élections présidentielles en Algérie, ainsi qu'aux législatives en Mauritanie de populations au sein des camps de Tindouf, indique une certaine hétérogénéité au niveau des nationalités présentées comme des
C’est une coutume qui se perpétue depuis voilà 25 ans. A chaque 17 février, le roi Mohammed VI adresse des lettres de félicitation aux chefs d’Etats maghrébins à l’occasion de la création de l’UMA (Union du Maghreb arabe). Si cette année encore, le souverain n'a pas dérogé à cette tradition, il a cependant, laissé de côté le langage de la courtoisie et des voeux pour
Hier, Ali Benflis, un des candidats les plus sérieux aux présidentielles algériennes a tenu à exprimer son soutien au Polisario en se prononçant en faveur du referendum au Sahara occidental et en accusant le Maroc d’entraver la construction maghrébine. Concernant ces deux sujets, l’ancien Premier ministre a nettement révisé ses positions datant de 2004.
Après des mois de tension, des représentants de partis algériens peu connus sur la scène politique locale ont visité le Maroc. Un déplacement complètement éclipsé par les propos très menaçant du président de la Chambre basse du parlement algérien à l'égard du royaume.