Le 11 juillet 2002, éclatait la crise de l’ile Perejil entre le Maroc et l'Espagne dirigée par José Maria Aznar. Douze ans plus tard, un gouvernement espagnol, de surcroît de droite, autorise 32 éléments des Forces auxiliaires à accéder au rocher pour évacuer des migrants. Une intervention légale et conforme à un accord conclu entre les deux pays, selon Rajoy.
Dix ans après la crise de l’îlot Leila, l’Espagne et le Maroc sont sur le point de connaître un nouveau conflit territorial. Cette fois, c’est le déploiement de la garde civile espagnole sur les Iles Zafarines, au large de Nador, que le Maroc revendique timidement, qui en est la cause.
Le géant américain de l’internet, Google, a reconnu jeudi s’être trompé en attribuant l’ilot controversé Leïla (Perejil en espagnol) au Maroc et à l’Espagne. Google qui se dit neutre est décidé à corriger son erreur et à ne plus attribuer le rocher à aucun des deux pays.