La chaîne de télévision publique marocaine « Al Oula » a diffusé le mardi 3 février, dans son émission « Achahid » la première partie d'un documentaire consacré à la vie de Mehdi Ben Barka, figure historique du mouvement national marocain. Mais avant sa diffusion, le film aurait suscité une controverse car il aurait été réalisé à l'insu des proches de Ben Barka apprend t-on auprès du quotidien « Le Soir ».
La société marocaine accepte difficilement les enfants hors mariages. De ce fait les mères célibataires sont vues comme des parias non seulement par leur famille mais aussi dans le reste du quartier. Un centre d'accueil basé à Casablanca créé par Aicha Ech-Chana s'occupe de ces femmes dans le but de les donner un nouveau départ dans leur existence. Khadija Noha, est une pensionnaire de ce centre, voici son histoire.
Ce matin, des pluies torrentielles se sont abattues sur la région de Nador. La ville est sous l’eau, les routes sont coupées et ses habitants sont…abattus. «Cela fait plusieurs jours que les orages de pluie frappent la ville. On nous a promis une aide logistique de l’Etat, mais, on attend toujours… », déclare un habitant de la cité.
Lors de l’adoption du nouveau Code de la famille le 03 février 2004, il a été décidé d’accorder un délai de 5 ans pour que les marocains qui n’ont pas encore enregistré leurs actes de mariage régularisent leur situation, en s’adressant à la section du Tribunal de leur circonscription, pour obtenir un jugement de confirmation de leur mariage, avant le délai imparti légalement, soit avant le 6 Février 2009.
Le droit de mener une vie familiale « normale » a été reconnu comme un droit fondamental. Depuis 1978, le Conseil d’Etat a reconnu « la faculté à chaque étranger de faire venir auprès de lui son conjoint et ses enfants mineurs » et, par la même occasion a élevé le droit de vivre en famille au rang de « principe général de droit ». De son côté le Conseil Constitutionnel a rappelé en 1993 et en 1997 que « les étrangers dont la résidence en France est stable et
Ahmed Errachidi a passé cinq années à Guantanamo. Libéré la semaine dernière, il a été livré aux autorités marocaines. Depuis, ni sa famille ni ses avocats n'ont de nouvelles de lui.