Les 42,5 milliards de dirhams de dette qui accablent la Samir aujourd’hui ne sont pas apparus soudainement en 2015. Raison d’Etat, connivence, manque de placements financiers, aveuglement, erreur de gestion, chantage, privatisation ratée ont abouti au désastre actuel.
Les négociations entre le gouvernement et le Saoudien Mohamed El Amoudi, le propriétaire de la SAMIR, seraient dans l’impasse. C’est du moins ce que laisse entendre des déclarations de Mustapha El Khalfi en début d'après-midi.