Ce vendredi, plusieurs associations ont dénoncé la décision, émise hier par la Cour européenne des droits de l’Homme qui considère que l’Espagne ne viole pas la Convention européenne des droits de l’Homme en procédant à des expulsions à chaud de migrants vers le Maroc.
Fin 2017, l’Espagne avait fait appel de sa condamnation par la Cour européenne des droits de l’homme pour deux expulsions à chaud de Melilla. Aujourd’hui, le gouvernement de Pedro Sanchez demande un délai supplémentaire pour revoir la position de l’Etat espagnol dans cette affaire.
Alors que l’Espagne a décidé depuis le 1er avril dernier d’autoriser les expulsions à chaud vers le Maroc, trois activistes ont manifesté, à leur manière, leur opposition à cette décision devant la barrière frontalière entre Melilla et le Maroc. Nus, ils ont dénoncé entre autres le manque de protection contre l'oppression et la barbarie exercée par l'Etat espagnol le long de la