Les circonstances non-encore élucidées, du décès à Marrakech, d’un membre du Mouvement du 20 février alimente la polémique. La famille, soutenue par des avocats, conteste la version de l’accident de circulation défendue par la police. Elle exige une autopsie et l’ouverture d’une enquête. Un juge qui s’est déclaré incompétent a renvoyé la balle dans le camp du procureur
Près de trois semaines après le décès de Nassim M’Birik, le chauffard est encore en liberté. Une vidéo de surveillance a déjà permis d’identifier qu’une Golf noire avec à bord deux hommes et deux femmes était à l’origine du drame. Mais les acteurs de la société civile se disent inquiets du temps que prend l’enquête. Ils s’activent actuellement pour organiser une
Le 2 février 2014, une date dont la famille M’Birik se souviendra certainement pour toujours. Ce jour, semblant être comme tous les autres, se transformera en cauchemar lorsque leur benjamin mourra subitement, fauché par un automobiliste à Temara. Un drame survenu alors que résidant en France, la famille était venue au Maroc pour les obsèques de leur mère et grand-mère. Le coupable s’étant enfui, les M’Birik
A Montréal, une station de métro a été jeudi matin le théâtre d'une véritable tragédie. Une femme de 48 ans y est décédée par étranglement, après que son foulard -présenté au départ comme étant un hijab- se soit coincé dans un escalator.