En commémoration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, l’AMDH et Freedom Now dénoncent «le règne de la pensée unique et l’acharnement judiciaire contre des journalistes», suite à la récente publication par Reporters sans frontières (RSF) d’un rapport accablant sur la situation de la liberté de la presse au Maroc.
L'affaire Maâti Monjib prend une ampleur internationale. Et pour cause deux missives ont été envoyées à des chefs d'Etat pour intecéder en faveur de l'historien en grève de la faim depuis 20 jours. La femme de Maâti Monjib a écrit au président François Hollande tandis que le philosophe américain Noam Chomsky, sous le couvert du comité international de soutien au gréviste de la faim a adresse sa
Maâti Monjib, interdit de voyager à l’étranger, poursuit sa grève de faim. Une action néfaste pour sa santé, explique son médecin à Yabiladi.
Après le cas Ali Lmrabet qui réclamait le droit de bénéficier du renouvellement de ses documents administratifs, plusieurs militants de la société civile ont été interdits de sortir du territoire. Le dernier en date, l'historien Maâti Mounjib.
Politique de l'autruche au niveau des autorités de Rabat. Afin d’éviter tout problème avec une ONG fraichement créée, elles ont refusé de réceptionner le dossier juridique. Une interdiction déguisée. L’association en question compte parmi ses membres, le journaliste Ali Anouzla, le directeur du site censuré Lakome.