Le PJD exige du wali de Bank Al Maghrib des réponses claires sur le retard pris pour l’entrée sur le marché marocain des banques islamiques. Le président du groupe des représentants de la Lampe s’interroge sur les raisons de ce retard.
La relation entre les Etats du Golfe et le Maroc est actuellement plus portée vers la politique que l’économie. En vue de changer un peu la donne, des décideurs de ces pays se sont engagés à investir 120 milliards de dollars au royaume dans les dix prochaines années.
Finalement, le projet de loi autorisant l’installation des banques islamiques au Maroc, quitte le parlement par la grande porte. Le dernier verrou a sauté, hier après-midi. Il s’agit sans aucun doute d’une victoire précieuse pour les «frères» de Benkirane qui intervient à quelques mois des élections communales.
Le projet de loi sur les banques islamiques trébuche à la Chambre des conseillers. Pourtant son passage se présentait comme une simple formalité, notamment après son adoption à l’unanimité par les députés. Le président de la Chambre surprend toute la classe politique et décide d’adresser le texte au Conseil économique et social.