Hier soir à la Chambre des conseillers, le chef du gouvernement a dénoncé la privatisation de la SAMIR. «Ils n’auraient pas dû confier un secteur aussi vital comme le pétrole à un étranger», a-t-il regretté. Benkirane a affirmé que le Maroc «ne cédera pas au chantage» du Saoudien El Amoudi.
Le Comité local de suivi de la crise de la Samir a organisé hier à Mohammedia, une conférence de presse sur la situation actuelle de l'entreprise.
Les négociations entre le gouvernement et le Saoudien Mohamed El Amoudi, le propriétaire de la SAMIR, seraient dans l’impasse. C’est du moins ce que laisse entendre des déclarations de Mustapha El Khalfi en début d'après-midi.
Le secrétaire général du syndicat majoritaire à la SAMIR affirme, à Yabiladi, qu’il a reçu des assurances «au niveaux régional et national» quant à la protection des droits des travailleurs au sein de la compagnie pétrolière. En revanche, il a déploré que son syndicat ait été écarté des négociations en cours entre le gouvernement et les responsables de la