Le clivage entre Marocains et Français à Casablanca en version humour, et le clivage riches-pauvres entre deux amis slaouis très proches, sont les derniers thèmes traités par les auteurs Fouad Laroui et Abdellah Taïa. Leurs derniers romans font d’eux des prétendants aux deux prix littéraires les plus prestigieux de France. «Une année chez les Français» de Laroui a été nominé pour le prix
Deux hommes, deux festivals, et deux noms très similaires: à qui le «Festival International du Rire / de l'Humour de Marrakech»? L'initiateur du premier, Fouad Khairi, veut trainer en justice l'organisateur du second, Jamel Debbouze, pour plagiat et usurpation d'intitulé. Il se serait assuré le soutien d'un avocat très expérimenté en affaires médiatiques: Maître Gilbert Collard, connu notamment des procès de
La visite de «travail» de Brice Hortefeux, ministre Français de l’Emploi et de la Formation professionnelle au Maroc, la semaine dernière, a été marquée par une rencontre…informelle avec Fouad Ali El Himma, ancien ministre délégué au ministère de l’Intérieur, fondateur du nouveau courant politique, Parti Authenticité et Modernité (PAM), mais, surtout, l’ami (très) proche du roi Mohammed VI.
En ce début de nouvelle année, marqué par un nouvel affrontement entre le peuple palestinien et israélien sur fond de crime contre l’humanité, la classe politique marocaine fait sa rentrée. C’est le parti nationaliste de l’Istiqlal qui ouvre le bal avec l’élection de son Premier secrétaire, ce week-end.
Il semblerait que les amis de Fouad Ali El Himma soient passés à la vitesse supérieure en cette période estivale, pourtant propice au repos et à la détente. Après avoir mené des rencontres dans les différentes régions du pays durant le premier semestre 2008 – qui a donné lieu à la rédaction d’un rapport remis aux partis politiques- l’association du Mouvement pour Tous les Démocrates (MTD) a remis les bouchées doubles avec l’ambition d’occuper l’enceinte de la
Le mouvement porté par Fouad Ali El Himma, ancien ministre délégué au ministère de l’Intérieur, et son label MTD (Mouvement de Tous les Démocrates), constitue un appel d’air sur la scène politique nationale, très en berne depuis les dernières élections législatives. Structuré en association, ce courant qui regroupe des personnes d’horizons divers aurait pour but de réconcilier le politique avec le citoyen.
Décidément, l’exercice politique n’est pas un long fleuve paisible, loin s’en faut. Impacté par les aléas de l’environnement (obéissant aux spécificités propres à chaque société), la construction d’un exécutif en mesure de satisfaire les intérêts des uns puis de répondre aux exigences des autres, est loin d’être de tout repos. Et ce n’est pas Abbas El Fassi, Premier ministre marocain qui démentira.
Ils sont nombreux, très nombreux, ce mardi matin, à l’heure du petit déjeuner, à avoir bu la «tasse». En effet, les marocains apprenaient très officiellement que le ministre délégué à l’Intérieur décidait de tirer sa révérence (après l’approbation du chef de l’Etat) quant à sa fonction stratégique au sein du ministère de souveraineté.