Les uns se disent en «pleurs» alors que les autres jubilent. Deux situations très contrastées pour les musulmans de Fives (Lille) et ceux du Calvados (Basse-Normandie) à la veille du ramadan. Dans le quartier lillois, les 300 fidèles qui fréquentaient la «mosquée de Fives» regrettent la fermeture, mardi dernier, de ce lieu de culte. Quant aux 15 000 musulmans du Calvados, ils s’apprêtent eux, à inaugurer