La conjoncture délicate que traverse actuellement le secteur de l'immobilier au Maroc a tendance à bénéficier aux logements anciens, réputés moins chers. Si leur localisation génère parfois des réticences auprès des futurs acheteurs, les biens neufs n'en restent pas moins attractifs.
Des MRE manifestent à nouveau leur colère contre des projets immobiliers au Maroc. Ils se sont rassemblés samedi dernier devant le bureau de Chaabi Lil Iskane à Paris, réclamant la livraison de leurs appartements au Maroc qu’ils attendent depuis six ans pour certains. Mais selon le promoteur, tous les problèmes seraient résolus.
C’est un fait. L’actuelle loi sur vente en l’état d’achèvement au Maroc est souvent source de nombreux conflits entre promoteur et acheteurs, ces derniers étant généralement lésés. Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) vient d’émettre son avis sur le projet de loi modifiant les dispositions actuelles, afin de mieux protéger les acquéreurs de biens immobiliers.
La crise du secteur immobilier au Maroc est une réalité, et nous l'avons déjà mise en relief sur Yabiladi ces derniers mois. Pour mettre des mots sur cette situation nous avons choisi d'interroger un promoteur de taille moyenne et qui a un positionnement atypique. Omnidior fait du «logement économique et solidaire» qui dénote du logement social des promoteurs traditionnels, insiste sur des immeubles respectant l'environnement et
SMAP Expo, le Salon de l’immobilier marocain ouvre ses portes dès demain, 10 février, à Bruxelles pour trois jours. Mais prudence car au-delà des sourires charmeurs des commerciaux et de leurs arguments de vente imbattables, le bien immobilier que vous vous apprêtez à acheter pourrait ne pas ressembler, à la belle maquette que l’on vous a présenté lors du salon. L’avocat français Rémi Barousse,
Acquérir un appartement au Maroc est encore le rêve de beaucoup de MRE. Un rêve qui vire parfois au cauchemar. Le désarroi de ceux qui s'expriment sur le forum immobilier de Yabiladi en témoigne. Ces Marocains expatriés avaient «acheté sur plan» des appartements à Tanger en 2008, pour en profiter dès fin 2010, comme le promoteur leur avait promis. Sauf qu’à ce jour, tout est encore en chantier. Devant
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