Je visite régulièrement ma famille à Dakhla et je t'assure que la partie du sud dont tu fais allusion ne calcule même pas l'Algérie, d'ailleurs elle ne s'intéresse même pas aux aboiement de ton...Suite gouvernement puisqu'elle sait qu'elle est naturellement, historiquement marocaine et elle l' a prouvé au monde entier puisqu'elle a très bien accueilli récemment le Forum Crans Montana 2015 au Maroc.
En revanche, la seule partie qui se dit "heureusement qu'il y a l'Algérie" se trouve plutôt à l'Est, en Algérie, elle s'appelle "Polisario", elle profite du statuquo à cause de l'Algérie qui bloque tout plan de paix, et vole les aides humanitaires destinées aux séquestrés pour s'enrichir personnellement.
Un conseil, il faut que tu voyages de temps en temps et venir au Maroc comme beaucoup d'algériens pour connaître la vraie réalité outre que celle qui travestie ton gouvernement pour vous cacher leur incompétence et votre mal de vie.
@nanodz
Puisque nous sommes polis, nous n'allons pas te traiter de bâtard ou rejeton de colonialisme, ni de harki ou d'ingrat à la solde des mafieux, nous te confirmons juste que le Sahara maro...Suite cain ne deviendra jamais une province ou département algérien et que le Polisario composé majoritairement de miliciens subsahariens ne mettra jamais les pieds sur notre sol .
ne t'en déplaise, nous sommes bien déterminés à chasser tous les vrais harkis marocains de l'intérieur de notre Sahara, comme Aminatou & Co et bien d'autres
La section galicienne de l'AVT a décidé de défendre les intérêts de toutes les personnes qui ont été directement ou indirectement affectées par les attaques, les tirs, les séquestrations ou l...Suite es explosions perpétrés par le "Polisario", à la fin des années 70, contre les travailleurs des mines de PhosBoucraa, au Sahara.
Outre Francisco Jimenez, Raimundo Lopez Penalver et bien d'autres employés espagnols et sahraouis de PhosBoucraa, au moins 17 pêcheurs canariens ont trouvé la mort et sept autres ont été grièvement blessés dans des attaques terroristes commises entre 1976 et le début des années 80 par le "polisario" dans la zone entre le Sahara et les Iles Canaries.
Le 7 avril 1977, une attaque des mercenaires du "polisario" contre le bateau de pêche "Pinzales" a fait plusieurs blessés graves parmi les pêcheurs canariens. Une autre attaque contre un navire de pêche canarien, le 13 novembre de la même année, s'était soldée par la capture de trois pêcheurs, qui seront séquestrés pendant quinze jours avant leur mise en libération.
Le 22 avril 1978, le "polisario" parvint à capturer huit pêcheurs espagnols du bateau "Las Palomas". Ils ne seront libérés que le 14 octobre de la même année.
L'attaque la plus cruelle reste, toutefois, celle perpétrée en novembre 1978 contre le bateau de pêche "Cruz del Mar", puis la mystérieuse disparition en novembre 1980 du "Mencey de Abona", qui s'étaient soldées par la mort de 14 pêcheurs canariens qui opéraient dans les eaux sahariennes.
Le 20 septembre 1985, le "Polisario" revient à la charge et lance une attaque contre le "Junquito" qui se solde par la mort d'un pêcheur canarien et la capture de six autres qui seront ensuite acheminés vers Tindouf.
Lors de cette opération, le patrouilleur "Tagomago" de la marine espagnole, qui est intervenu le 21 septembre pour secourir l'équipage du "Junquito", est pris pour cible des mitraillettes et des mortiers des milices du "polisario". Bilan : un soldat espagnol tué et deux autres blessés.
Au lendemain de cette attaque, le représentant des séparatistes en Espagne, Ahmed Boukhari, est arrêté, puis expulsé. Le "polisario" est déclaré organisation terroriste, ses officines fermées et ses représentants dans toute l'Espagne expulsés, ce qui a amené les mercenaires à relâcher les six pêcheurs canariens.
Un autre pêcheur canarien est tué lors de l'attaque du bateau "Puente Canario", le 10 septembre 1986. Le 22 juillet de la même année, un autre marin canarien laisse la vie dans l'attaque contre le "Andes".
Il faut prendre des mesures radicales et draconiennes contre tous ces chauffards et ceux qui les aident et contribuent à leurs crimes abjectes des innocents sur nos routes.
Certains touristes ont aba...Suite ndonné le Maroc à cause de ça.
Les contrôles techniques sont très médiocre et non respectés, certaines personnes roulent avec des épaves qui deviennent des armes de destruction massive sur nos routes, la plus part des chauffeu...Suite rs poids-lourd sont illettrés qui apprennent le code bêtement et approximativement comme des perroquets à partir des cassettes audio, sans oublier l'alcool au volant, le non respect du code, les nombreuses infractions non verbalisées à cause d'une corruption endémique et j'en passe...
Qu' Allah yarhame ces gens et ces enfants innocents martyres et victimes des routes marocaines
....l’engagement de Washington et Alger « à aider les parties à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, qui assurera l'autodétermination du peuple du Sahara...Suite occidental...
Décidément ces américains prennent les arabes pour des sots, ils nous disent tout et son contraire....
Autonomie au Maroc, indépendance en Algérie, nous voilà bien avancés avec cette "Indépendautonomie" du Sahara marocain !!!
D'ailleurs pourquoi incruster l'Algérie sachant qu'elle est partie prenante et c'est à elle seule qu'on doit tout ce bourbier ?
En quel droit cette Algérie ennemi et hostile aux intérêts de notre pays, s'autorise de s'ingérer dans les affaires internes du Maroc, pendant qu'elle essaye par tout les moyens, même les plus malsains, de l'écarter de tous les dossiers concernant la région et encore moins ceux qui la concerne ?
Pour finir, je rappelle juste que nous ne sommes ni le Mali, ni la Libye et que nous sommes un pays souverain militaire, notre pays existe bien avant les États Unis, nous étions parmi les premiers à reconnaître ces derniers: donc à quoi joue et où veut en venir cet oncle Sam?
Mohamed Vall Elghadi : Nous poursuivrons les tortionnaires du Polisario jusqu’au dernier souffle
En marge des travaux du Forum social mondial tenus à Tunis, Libé a rencontré Mohamed Vall Elgh...Suite adi, président de l'O.N.G mauritanienne “Mémoires et justice”. Il nous a expliqué que depuis la création de l’association qu’il préside, celle-ci participe à tous les forums et à toutes les rencontres pour dénoncer les violations des droits de l’Homme perpétrées par les tortionnaires du Polisario et qu’il a subies durant 14 ans.
Libé : En quelle année avez-vous rejoint les rangs du Polisario ?
Mohamed Vall El-Ghadi : Nous sommes un groupe de jeunes Mauritaniens qui avaient rejoint les rangs du Polisario, séparément, dans plusieurs vagues à partir de mai 1978 et jusqu’en 1979, Parmi ces vagues qui ont atteint plus de 2.500 jeunes, il y avait de nombreux adolescents dont l’âge variait entre 14 et 17 ans qu’ils avaient appelés, les lionceaux de la libération. Nous avons été recrutés après une série d’interrogatoires dont nous ignorions l’objectif. Nous apprendrons plus tard, lorsque le Polisario avait décidé de se séparer de nous, que ces interrogatoires allaient servir de chefs d’accusation pour nous accuser d’intelligence avec l’armée mauritanienne et nous jeter dans les geôles mouroirs du Polisario.
Quels sont les arguments utilisés par les recruteurs du Polisario pour vous convaincre de rejoindre les rangs du Front?
Vous savez, c’était une époque où le monde était en situation de transition et où les jeunes, notamment de la sous-région, aspiraient au changement à travers une révolution armée. On pensait alors que la seule possibilité de réaliser ce changement était celle qu’offrait le Polisario, en nous entraînant aux armes et en nous encadrant pour mener une lutte armée. Parmi ces jeunes Mauritaniens, certains fréquentaient des milieux plus ou moins politisés avec des idéologies de gauche. Mais le degré d’éveil parmi ces jeunes était très relatif. Après la période d’entraînement, on était répartis dans différents services. Certains étaient envoyés au front, mais la plupart d’entre étaient orientés vers l’enseignement. Il n’y avait qu’une seule école primaire dans tous les camps et qui avait été ouverte en 1979 alors que la plupart des habitants étaient analphabètes. Mais comme les recrues mauritaniennes avaient toutes un niveau de scolarité supérieur au brevet, ce qui, à l’époque, était respectable, il fallait les utiliser pour créer un noyau scolaire. Ce que nous avions fait et pensions avoir joué un rôle prépondérant dans la création d’un système scolaire au Polisario. Mais c’est après que la Mauritanie s’était retirée du conflit, qu’allait commencer notre calvaire. Un complot contre les Mauritaniens des camps était orchestré par des officiers algériens encadrants qui exhumèrent les renseignements collectés à notre arrivée aux camps. Ils nous désignaient comme des membres d’un réseau implanté par les autorités mauritaniennes qui ne se sont pas retirées de la guerre, mais qui avaient subi une défaite cuisante, pour saboter la révolution, ce qui fait qu’on nous enterra vivants. J’appris plus tard, en lisant les mémoires du président mauritanien de l’époque, Haidallah qui était l’allié le plus actif du Polisario qu’étant donné le nombre important de cadres mauritaniens dans les structures du mouvement, le parrain algérien avait craint que les prérogatives ne lui échappent et décida de les éliminer, de la sorte, en inventant le réseau fictif qu’il appela réseau franco-mauritanien d’espionnage. Cette vague avait touché, également les Sahraouis originaires des provinces marocaines du Sud. On dressa de véritables camps de concentration. On nous enterrait vivants. Les techniques de tortures utilisées étaient primitives et sauvages. Des prisonniers étaient édentés, d’autres utilisés pour expérimenter des tortures sans précédent ou pour être brûlés vifs. C’est ainsi que les séquestrés dont certains sont restés sans s’adresser à personne pendant plus de 7 ans, étaient marqués au fer rouge avec l’inscription ‘’Front Polisario’’. Ces tortures indescriptibles se poursuivirent jusqu’au déclenchement du mouvement qui avait secoué les camps en 1988.
Quand votre ONG a-t-elle été créée et quels sont ses objectifs ?
Nous avons fondé l’ONG “Mémoire et justice” en 2005. Mais c’est seulement en 2008 que le récépissé nous a été délivré. Nous visons, essentiellement, à travers la création de cette ONG comme le précisent nos statuts, à revendiquer la création d’un tribunal international pour enquêter sur les crimes perpétrés par les tortionnaires du Polisario sur des volontaires civils mauritaniens et autres et je dis bien civils, pour enquêter sur les nombreux disparus, pour la restitution des sépultures des morts à leurs familles, leurs dédommagements, ainsi que la reconnaissance des rescapés. Mais, surtout pour juger les responsables de ces crimes contre l’humanité.
Y a-t-il une réaction positive de la communauté internationale ?
Nous avons des dossiers que nous venons, d’ailleurs, de présenter devant la Commission des droits de l’Homme dont les travaux viennent de se dérouler à Genève. Convaincus de la justesse de notre cause, nous nous déployons partout où nous pouvons être entendus. C’est ainsi que notre dossier est entre les mains de la justice sénégalaise, signataire des Conventions internationales sur les poursuites judiciaires. Les tribunaux belges examineront prochaînement nos dossiers. Nous jouissons également du soutien d’une grande partie des habitants des camps. Nous avons aussi été reçus par Mohamed Abdelaziz qui nous a donné des promesses, en nous demandant de reporter notre action. Mais nous avons continué de plaider notre cause et les promesses sont restées sans suite.
Selon vous, quelle est la solution susceptible de mettre fin à ce conflit artificiel ?
Les participants algériens à ce Forum ont bien sûr exprimé la position de l’Algérie qui considère que le problème du Sahara est le sien. D’ailleurs, vous avez dû remarquer par vous-même que les soi-disant membres de la délégation du Polisario ne sont que des figurants et que ce sont les Algériens qui organissent des actions contre les participants marocains et que ce sont eux qui brandissent les drapeaux de la république fantôme. Cela nous permet de considérer que l’Algérie fait partie intégrante du conflit et sans sa volonté et ses bonnes intentions, la situation risque de perdurer.
Ce Burro opportuniste doit aller défendre ld´abord es séquestrés sahraouis marocains emprisonnés à Tindouf , spoliés de leurs aides humanitaires et dont personne ne connaît le nombre à part l...Suite a mafia algérienne au pouvoir.
Toutefois, en cette période de crise qui ravage l'Espagne il a raison de lécher les grosses babines de la grosse vache à lait de l'est, il faut être imbécile pour ne pas dire C... à ne pas en profiter ...
Il faut que les 34 000 000 de marocains du Tanger à Laguira signent une pétition pour traduire en justice ce juge corrompu qui sent le pétrole à plein nez.
il ne faut plus jamais tolérer à ce g...Suite enre d'énergumènes appâter par l'argent facile, insulter le Maroc et les marocains.
Encore un corrompu qui veut sa part du lait de la vache voisine, en effet à l'approche de la réunion sur le Sahara en ce mois d'avril tous les charognards sont de sortie. C'est au Polisario de rend...Suite re des comptes, lui qui a massacré des civiles espagnoles et a fait même couler leurs bateaux, sans parler des crimes qui a commis contre les sahraouis marocains et mauritaniens...
Tu t'es trompé de porte Me, il faut frapper à la porte d'à coté,