Citation
slilou a écrit:
Tu peux déjà m'envoyer ton adresse e-mail, je te fais parvenir le rapport au complet.
Citation
MASTER a écrit:
la menace d un boycott est une ARME.
et la personne qui me dit que cest pas patriotique, elle me fait penser à Bush....
si demain chacun dis je retire tout mon argent dans les banques marocaines....cest la cata pour le pays.
Un autre a bien répondu, dans les 70 et je crois aussi 80 le boycott a fait bouger les choses....
vous avez pas connu la douane du bled dans le temps----->les Bébés mouraient!!!! tellement il te laissait crever dans la chaleur avant que tu laches un "kawa"...et meme avec un kwa....
ya meme un "rme"pour qui jai de la peine, à la vue de son bébé mort(que dieu est son ame) a la douane,parce que ce douanier le faisait poiroter alors quil lui a dit plusieurs fois,il me faut un docteur ou que je sort de là, mon bebe est malade....a pris un couteau et la enfoncer sur le douanier......
Alors ton patriotisme, tu sais où tu peux le foutre!!! le patriotisme cest réciproque.Sont ils patriotiques avec toi les douaniers quand ta fait 2500 ou 3500 km de route et que tes crevé et quil te reste encore 600km de "pistes"..... ben bordel!?, tas une cuillere en argent,ta un jet qui atteri en bas de chez toi.......
Jamais je mettrais de l'argent dans les banques du bled et jen ai jamais mis, chaque fois qu on me la proposer,je leur ai toujours dit que c'était des voleurs.
Je n impose pas le boycott mais cest une idée et une idée qui marcherait plus vite et plus fort car plus de poids.
je salue ton initiative et je suis avec vous.
: Citation
slilou a écrit:
Bonjour Tout le monde,
Vu que pour certains l'émail ne fonctionne pas, je met le rapport sur le Forum bonne lécture et faites circuler
La Bétaillère du L’Aid El Kébir
Je m’appelle Khalil et avec ma femme nous vivons en Suisse depuis des années, et depuis des années, chaque fois que nous appelons mes parents pour leur souhaiter la bonne fête à l’occasion de la fête du Mouton ( Aid El Kébir), leur souhait était que nous la passions avec eux.
Malgré notre charge de travail, nous avons finis par trouver des solutions, et finalement décider de faire le pas et d’aller à cette occasion.
Sur l’année 2005, malgré quelques mésaventures de circonstances, nous réussîmes à passer, un excellent séjour, et nous profitâmes aussi bien de la viande fraîche du mouton, de la fraîcheur des légumes de saison (Quel souvenir que ce Tajine de petits pois avec les fonds d’artichauts, cela vaut tout les déplacements) et surtout de la super ambiance régnante à cette occasion, comme je l’expliquais à mon épouse qui est occidentale, c’est notre Noël à nous, la dinde et le Sapin en moins.
Nous décidâmes alors de rejouer l’aventure cette année, et vu le calendrier musulman, l’année prochaine, c’est un voyage qui s’avère impossible, vu que ces réjouissances auront lieu, à un jour prés pendant les fêtes de fin d’année en Europe, et vu la nature de nos engagements professionnels, il nous est impossible de nous octroyer des jours de congé, ni de prévoir un déplacement au Maroc pendant cette période.
La Préparation du Voyage :
Comme l’année précédente nous avons décidé de nous rendre à Oujda en voiture.
Bon à part le long déplacement de 1700 Km jusqu'à Almeria ( Port en Espagne), la traversée n’est pas très longue, et surtout c’est plus pratique pour nous de nous trouver directement à Nador, le trajet pour Oujda est moins long.
Réservation : Ferry Maroc :
La réservation auprès de cette compagnie, me surprend déjà par l’augmentation des prix de 40 a 45 % par rapport à l’année passé jugez en :
Prix de la traversée en 2005 par personne 54 Euro
74 euro en 2006 (Simple passager, fauteuil)
Prix de la traversée pour une petite voiture en 2005 : 110 Simple traversée
En 2006 le prix est passé à 160 Euro.
Je me dis que les prestations ont certainement augmentés en conséquence, et au point où nous étions, nous étions prés à tous les sacrifices, financiers pour faire plaisir à la famille et de nous trouver à leurs côtés pendant cette cérémonie.
Le Départ pour le Maroc :
Nous avons pris la route très tôt le matin, afin de prendre le bateau de nuit, pendant les quelques haltes en cours de route, nous reconnaissions assez facilement nos compatriotes Maghrébins, assez reconnaissables à la hauteur de leurs voitures, pour certains, tant bien que mal, j’essayais d’expliquer ceci à ma Suissesse de femme, qui bien entendue, pour elle certaines voitures serait largement arrêtées en Helvétie, vu les normes de sécurité de la charge des véhicules.
Plus nous avancions, et après la traversée de la frontière espagnole, nous étions rassurés aussi par la vue de ces voitures, camionnettes, chargées de façon assez reconnaissable.
Le Check-in au Port D’Almeria :
Arrivée au port, je laisse ma femme auprès du véhicule, et je m’en vais faire confirmer ma réservation.
Arrivée au guichet de la compagnie Ferry-Maroc, je vois une queue de gens, brouhaha cris, et sans aucun ordre.
En prenant ma place en fin de file, j’écoute une personne qui était dans la file, prier, la personne supposer faire de l’ordre (Habillé d’un simple gilet de secours, sur des habits civiles), pour lui trouver une place pour le soir même.
Et j’apprends, que les gens se trouvant la faisaient des pieds et des mains, pour trouver une place pour le bateau du lendemain, celui du soir même était déjà complet.
Je m’en vais alors directement à l’avant et fait valoir ma réservation, sans aucun problème, sauf celui, que je devais me rendre à un deuxième guichet, pour les tickets d’embarquement.
Deuxième Guichet et deuxième file, plus désordonnée que la première, à force de coup de pieds et de coudes surtout ( Merci mon 1.83 et mes 90 Kg), j’y arrive finalement, et au bout de 55 minutes montre en main et malgré ma réservation deux mois à l’avance, c’est le prix.
La montée sur le Bateau :
A ce stade et après une 1700 Km de route les nerfs vous lâchent forcément, mais il était dit que ce n’était que le début du calvaire, la séance des Guichets à Almeria, n’était qu’un bref aperçu de ce qui nous attendait.
Nous fûmes autoriser à embarquer sur le Ferry et nous avons avancés nos véhicules à l’entrée de L’arche (vous comprendrez cette dénomination par la suite), sans aucune explication, on nous mis de côté, et nous attendîmes 45 minutes avant d’être autoriser à monter et de stationner nos véhicules à l’intérieure.
Pendant ces 45 longues minutes, nous avons assisté à l’embarquement d’épaves, de deux jeunes Marocains, menottées et accompagnés par la police du port, des scènes mes compagnons s’énervaient autant qu’ils pouvaient, peine perdue, les préposés au bateau, restaient impassibles.
Départ à 01h15 au lieu de 23h00.
Les Formalités sur le Bateau :
Sur le bateau, il y a deux formalités à faire avant de débarquer sur la terre de la Mère-Patrie :
Le tampon de police sur le passeport, pour l’entrée sur le territoire.
Et la fameuse feuille verte qui doit accompagnée tout détenteur de véhicule.
Et la mes amis vous avez intérêt à être patients.
En effet, pour toute cette population qui traverse en même temps :
Un seul guichet pour tout le monde.
Je commence par la feuille verte du véhicule, vu que la file est moins longue, en jugeant par rapport à la première file.
Après 1heure et 20 minutes, j’arrive devant le représentant de nos autorités, et qu’est ce que je constate, que celui-ci ne fait que reporter les informations qui trouvent sur mes papiers de véhicules, chose que je m’étais occupé à faire moi-même l’année avant.
Car tenez vous bine, après autant de temps, et d’énergie.
Quand je pose la question, sur l’absurdité de cette démarche, le fonctionnaire, assez sympathique d’ailleurs : me réponds que tout le monde ne sait pas lire et écrire, compréhensif, je me propose de l’aider pour faire avancer la file, vu que tout seul, la tâche est forcément plus fastidieuse, il se braque.
Je commence à me poser la question, sur les moyens mis en œuvre pour faciliter notre retour au pays, et ceci au milieu, de femmes et d’enfants couchées par terre, jusqu’au portes des toilettes, inondées par l’eau, et d’une puanteur pestillentielle.
Le Steward espagnol, non rasé et munie de sa chemise blanche, d’une propreté douteuse rajoutait à mon désarroi, malgré sa serviabilité, les moyens manquaient irrémédiablement.
3heures du matin, je me mets dans la file pour les passeports :
1heure et demie et quelques prises de becs après, car quelques initiés trouvaient le moyen d’aller directement au Guichet de police, sans passer par la file (La mes nerfs ont vraiment lâchés contre certains).
Monsieur le policier me fait réveiller mon épouse, malgré mes protestations j’abdique, ma femme qui somnolait déjà était furieuse, et je m’emplois à lui faire comprendre la situation, elle se présente mais ce monsieur ne la regarde même pas !
Vous croyez que c’était fini, c’est sans compter avec la lourdeur des procédures.
Arrivée à Nador.
A notre arrivée à Nador, j’avais déjà décidé dans ma tête et promis à mon épouse, que c’était la dernière fois que nous subissions une telle traversée.
Payer autant pour faire une traversée digne d’animaux de Zoo, car à ce stade, même Noé avait pris plus soin de ses passagers.
Aucun confort, ni condition hygiéniques, les toilettes pour hommes hors service, un Barman espagnol qui puait l’alcool, des gens à même le sol dans les couloires et sous les sièges de la salle.
Au bon matin, on assiste au traitement de nos compatriotes par l’équipage Ibérique, la tension est palpable à tous les niveaux, et la colère gronde.
Je me rappelais un article sur le site Baldinet, que j’avais lu quelques semaines auparavant, cela parlait des conditions des Marocains en Espagne, et leurs conditions de travail et de logement , j’étais loin d’imaginer que j’allais assister un échantillonnage en life, et quel bel exemple.
Dans quelles conditions nous rentrons au Bled, nous sommes nous pas digne de ce pays, ou sommes nous indignes pour l’avoir quitté, afin de subir tout ceci.
Des Parias voilà ce que nous sommes, tant que ces conditions subsistent, étudiant, commerçant, fonctionnaire, femmes, hommes enfants et personnes âgés, vous n’êtes plus des êtres humains, nous rentrions pour L’Aid , c’était nous les Houalas.
Rapport qualité prix pour une telle traversée = 0, les formalités douanières et la saleté en Sus, qui dit mieux.
Pour ceux qui croient que la fête est finie attendez la suite.
Arrivée à Nador, l’aventure continue :
Nous sommes obligés de stationner nos véhicules à l’entrée et de nous rendre au Bureau douanier interne.
Là des personnes bien avenantes vous font miroiter leurs services pour éviter la file, je ne voulais payer personne, et je me met dans la file.
Et la je vois quoi, des personnes qui passent directement sans autre, et sans gène je me pointe chez l’agent au guichet pour demander le pourquoi de ce traitement de faveur.
Réponse : ces des Européens touristes, et la je montre mes passeports Suisse, car jusqu'à preuve du contraire, j’en étais un aussi et mon épouse aussi, et je demande le même traitement.
Passeport ou pas, Européen ou pas, nous étions tous en qualité de touristes, et jusqu'à preuve du contraire, nous étions tous rentrés pour dépenser de l’argent.
Un Guichet pour les détenteurs de passeports Européens, aurait évité cette scène, mais sans explication, celui-ci est toujours fermé.
Après discussion avec l’officier de service nous eûmes gain de cause, et nous avons économiser ainsi, quelques heures d’attente, malgré mon passeport rouge à croix blanche, je remerciais la tignasse blonde et les yeux bleus de ma femme, non seulement il m’ont donner l’autorisation de séjourner en Suisse, mais maintenant il facilitent mon entrée au Maroc.
A la grande déception des courtiers portuaires, qui restèrent sur leurs faims, et après un dernier contrôle à la sortie du port, nous avons pris la route pour Oujda.
A ce stade notre décision était irrévocable, plus jamais,
Les paysages de mon pays défilant entre la route de Nador Oujda, nous avons essayé d’oublier cette nuit cauchemardesque, et nous essayâmes de penser aux journées que nous nous apprêtions à passer avec notre famille.
Sur notre chemin, l’évolution de l’état des routes, et la présence de la sécurité routière nous rassurèrent, la sympathie des Gendarmes en cours de contrôles est les mots gentils qu’ils nous allouèrent, atténuèrent un peu de ma colère et surtout celle de ma femme.
Le Retour de la Bétaillère.
Malgré notre intervention auprès de l’agence local, il s’averra impossible de changer les billets de retour, riche de l’expérience de l’aller, nous nous rendîmes au port de Nador le 14.01.2006, pour un notre voyage de retour.
Le même scénario que l’aller, un guichet pour faire valider la réservation, et un autre pour les billets d’embarquements.
Bateau complet, un grosse foule qui attendaient la validation des billets des personnes ayant des réservation au préalable avant d’obtenir un quelconque billet pour eux.
Des courtiers qui vous proposaient des billets, au marché noir au prix de 620dhs
(au lieu de 410 dhs officiellement), courtiers qui travaillaient bien entendu pour les personnes derrières le guichet, et tout cela sous une pluie battante.
Ces compatriotes qui sont exploités en Espagne, France et autres pays européens, ces gens qui ne cherchent uniquement de nourrir correctement leur famille, qui économisent tout au long de l’année pour se permettre d’aller trouver les leurs à l’occasion de la fête de l’Aïd se retrouvent avec une augmentation énorme de 35-40% pour la traversée et en plus se font encore nargués au port pour une augmentation de 30% ?!?!?! pour éviter de faire la queue et s’assurer la traversée, ces gens là devaient pouvoir partir pour être capables de reprendre leur travail précaire, sinon l’an prochain ils ne pourront pas venir, c’est inadmissible et honteux, en bon français « déguelasse ».
Après l’accueil à l’arrivée, nous allions avoir le traitement de départ.
Billets en main, les formalités de sortie :
Le visa de sortie de la police Marocaine, file ou pas file nous avions droit d’assister aux diverses interventions de l’officier chargé de la brigade local.
Car pendant que nous patientions dans la file (Le Guichet pour Européens toujours aux abonnés absents), des personnes passaient par devant, sur recommandation du chef de Brigade.
Car ce monsieur, avec ces lunettes et son béret sur la tête, avait apparemment beaucoup d’amis à recommander, et ceci sous la vue de tout le monde, et si vous vouliez éviter la foule et la queue, vous aviez intérêt à le connaître.
Et comme je n’avais pas le plaisir de faire partie du cercle d’amis du chef de brigade, il me restait que l’huile de code, vu que je n’avais aucune autre huile pour graisser la machine.
A ce stade, je m’aperçois, que j’ai traversé pas mal de pays, et de frontières, et sans jamais être enquiquiner, ni retardé, les seules fois où je souffre, c’est quand je rentre au pays.
Sans compter que nulle part ailleurs, je n’ai jamais assisté à aucune mise en scène pareil, ni assisté à un Marché noir de billets de bateau, ni interventions policières pour un embarquement portuaire, et j’ai honte de faire voir tout ceci à ma femme.
Le Bateau de la Honte :
Bon gré mal gré nous embarquâmes pour un voyage de retour, surprise, bonne ou mauvaise à vous de jugez, avec le même équipage.
Je vous passe les scènes de gens sur la porte d’embarquement, ni l’état toujours insalubre des installations dessus.
Fort de l’expérience d’avant, nous avons pris notre mal en patience, et avons priés pour au moins arrivé à bon port.
La seule chose qui fonctionnait bien, la caisse du Bar.
Un détail qui ne manque de sel, la music du film le Titanic, qui saluait notre arrivée au port D’Almeria, c’était le seul détail qui collait au décor.
Lors de ma promenade sur le bateau, vu son état, et l’équipement de sauvetage dessus, je n’ose pas penser aux conséquences en cas de naufrage, bon disons que les Icebergs ne sont pas courant sur cette route (au moins cela).
Arrivée en Espagne, fin du calvaire, ouf nous sommes en bonnes mains, RAS, jusqu'à la maison en en Suisse.
Commentaires:
A ce stade, je ressens du dégoût et de la honte, dégoût pour avoir subis, malgré moi tous ces événements.
Et la honte d’avoir donner une telle image de mon pays, à mon épouse.
Ceci n’est rien par rapport à ce que subissent nos compatriotes, au-delà des océans, jusqu'à une traversée qui est sensée les ramener chez eux, mais dans quelles conditions.
Sommes nous obliger de subir tout ceci, autrement jusqu'à quel point, nous sommes nous pas de rajouter de l’huile sur le feu.
Au nom de leur ignorance, et de leurs conditions modestes de paysans en terre espagnol, doivent-ils être maltraiter plus que leurs conditions précaires en témoignent déjà.
Au nom de quel compagnie, il est encore autorisé qu’un tel bateau a encore le droit de transporter des être humains, ou est ce que notre conditions d’êtres humains cessent elle d’être une fois que nous sommes immigrées en Europe, et que nous voulons prendre le bateau pour rentre chez nous.
Comment tolérer une telle désorganisation, et une telle lourdeur administrative, des courtiers jusqu’au bureau de police et de douane.
Un tel marchandage avec les billets des gens.
Que ceux qui me traitent d’affabulateur ou de menteur, allez voir vous-même, et vous rendrez compte par vos yeux que je n’ai tout dis, mais un conseil, ayez l’estomac solide.
bonne initiative
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slilou a écrit:
Bon,
Au stade actuel, je vous informe, que ce soit les courriers au différents hebdo, et responsables, y compris Miss Nouzha, sont restés sans réponses, en tout cas pas à ma connaissance.
Je compte attendre la fin de semaine, pour prendre certains contacts aussi, et autrement, je suis d'accord avec certains, un appel au Boycot sera lancé.
Des avis??
Fermer les yeux sur une telle situation, serait une Honte pour notre Pays.
Appel aux compatriotes.
IL NE FAUT PAS REVE PERSONNE NE TE REPOMDRA MOIS J AI ENVOYES PLUSIEUR MAIL POUR POSER DES QUESTION TRES CONCRETES DANS LE CADRE LE L INVESTISSEMENT JAMAIS DE REPONSE. LES REUNION DU MOIS CES POUR NOUS ENDORMIR 
Citation
slilou a écrit:
La première étape pour toute réalisation, c'est le rêve.
Alors soyons optimistes, comme je l'a dit depuis le départ du sujet, j'aimerais savoir, si les Marocains, sont capables de solutionner leurs problèmes ou juste en parler ( le BLA BLA c'est facile),
ceci dit. on'est à la première marche, en tout cas, ne serait ce que pour une poignée d'entre nous, nous allons savoir à la fin, c'est des responsables tel Nouzha et le consul marocain à Berne, prennent ces problèmes au sérieux, comme les Hebdo Tel-quel et autres, ou bien il s'en tapent, une fois que le problème est concret.
Ca sera déjà ca de gagné.
gardons espoire mais je reste pisimiste
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slilou a écrit:
Absolument d'accord avec toi, pour un appel au Boycott.
Pour certain d'entre vous, vous avez certainement vu les actualités ce week-end, le naufrage du Ferry Egyptien, ca ne vous FAIS pas penser à QQ CHOSE..............
Pour celui-ci, les conditions de voyage et de transit ne sont pas mieux que certaines conditions auquels nous sommes soumis pour la traversée au Maroc.
Les compagnies de Navigations Marocaines, à part engranger les bénéfices et augmenter les prix, ne savent pas donner un quelconque confort au gens.
Ce qui m'étonne, c'est la passivité des gens, personne ne bouge, il faut croire que certains se laissent vraiment traité comme des animaux.
Pour ceux qui ont lu mon rapport, je parle à la fin de conditions de sécurité qui ne semble PAS dans les normes.
A voir l'exemple Egyptien, faut-il attendre un accident pareil, pour réagir??????
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