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Faty** a écrit:
Alaikom Salam,
Le problème c'est de croire que seul l'argent est un bonheur illusoire alors que les enfants, le mari et le reste de cette vie l'est aussi....
Allah dit: "Les biens et les enfants sont l’ornement de la vie de ce monde. Cependant, les bonnes œuvres qui persistent ont auprès de ton Seigneur une meilleure récompense et [suscitent] une belle espérance" (sourate 18 verset 46)
"On a enjolivé aux gens l’amour des choses qu’ils désirent : femmes, enfants, trésors thésaurisés" (sourate 3 verset 14)
"Et sachez que vos biens et vos enfants ne sont qu’une épreuve et qu’auprès d’Allah il y a une énorme récompense" (sourate 8 verset 28)
Qu'Allah renforce la foi dans nos cœurs et nous facilite toujours l'accomplissement des bonnes œuvres, Amin.
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amirene a écrit:
faire de longues études n empêche pas de se marier
tout comme s arrêter au bep n empêche pas de ne pas se marier
j ai une amie qui a fait sciences po et l autre qui a arrêté l école à 18 ans et n a pas travaillé jusqu'à ses 28, son seul objectif était le mariage
les deux sont célibataires à l approche de la quarantaine
sauf que la première a au moins un travail intéressant
l autre a un mi temps dans une boutique
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PurpleAest a écrit:
Combien de personnes ont fait de bonnes et longues études et se retrouve vendeuse ou vendeur, à temps partiel ?
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PurpleAest a écrit:
Combien de personnes ont fait de bonnes et longues études et se retrouve vendeuse ou vendeur, à temps partiel ?
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PurpleAest a écrit:
Salam Alaykum,
"Une doctoresse raconte sa propre histoire :
« Prenez mes diplômes et donnez-moi un époux ! » s'écrie-t-elle.
Sept heures ! Chaque matin, c'est l'heure qui me met en colère et fait couler mes larmes.
Pourquoi ? Je prends la voiture en direction de mon cabinet, mon caveau, ma prison.
Je vois les femmes qui m'attendent avec leurs enfants et regardent ma blouse blanche comme s'il s'agissait d'un manteau de soie persane.
Or, à mes yeux il représente le vêtement du deuil que je porte.
Je pénètre dans mon cabinet et mets mon stéthoscope au cou, comme s'il s'agissait d'une corde de potence autour de mon cou.
La trentaine s'apprête à s'enrouler, complètement, autour de mon cou.
Le pessimisme s'empare de moi par rapport à mon avenir.
Puis, elle crie :
« Prenez mes diplômes, ma blouse, tous mes ouvrages de référence et tout ce qui m'apporte le bonheur illusoire (l'argent), mais de grâce faites-moi entendre le mot "maman" ! »
P40-41 du livre "Le mariage tardif : problèmes et solutions"
Ranâ al Sha'âr, éditions al-Hadîth @HadithEditions
?
Commentaire perso: ne pensez pas ce genre de récits farfelu ou exagéré.
Je prends à Allah à témoin qu'une femme de mon entourage a vécu exactement la même chose.
Ayant tout sacrifié pour devenir médecin généraliste, elle pensait avoir atteint son but après avoir décroché son doctorat.
Elle s'est rapidement rendu compte qu'il ne lui manquait qu'un mari pour concrétiser son bonheur.
S'en sont suivit des années de stress, puis de pression et enfin de dépression.
Elle se réveillait tous les matins en pleurs et était prête à littéralement abandonner argent et carrière, pourvu qu'elle trouve sa moitié.
Elle avait baissé ses critères d'exigence et après des années de dépression et de patience, Allah lui a accordé un mari pieu."
[twitter.com]
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AvecDesMots a écrit:
Salam aleykoum,
Quelques cas ne fait pas une généralités. Beaucoup de soeurs font de longues études et se marient en parallèle et ont des enfants. Je n'ai pas fais de longues études. Je ne pense pas avoir des critères abusifs et pourtant je ne suis pas mariée.
Qadar Allah, tout simplement.
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SDreams Away a écrit:
Je connais beaucoup de femmes musulmanes medecin que se soit généraliste, urgentiste, chirurgienne qui se sont mariées durant leurs études et elles ont des enfants.
Si cette femme ou d'autres ne sont pas mariées c'est pas a cause de leur longues études. Mais parce que c'est comme ça.
Je suis proches de la quarantaine, j'ai pas fait de longue études, je suis pas carriériste et pourtant je suis pas mariée. Jamais eu de demande en mariage, jamais fais de rencontre. Alors la faute à qui ? Vais-je me battre avec Dieu pour ses décisions me concernant ?
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Mr.Kai a écrit:
Alors la faute à qui ?
C'est la faute a tes croyances limitantes
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SDreams Away a écrit:
J'aurais pu dire oui à ta phrase. Mais c'est pas le cas. Car je n'ai jamais eu l'opportunité de laisser les croyances limitantes repousser une demande.
Et c'est parce que je n'ai jamais eu de demande, que je n'ai jamais été abordé, que je n'ai jamais intéressé quelqu'un que ses croyances ont pris formes.
Je suis en aucun cas responsable de ma situation de célibataire. Si j'avais eu des demandes en mariages même une seule et que je l'avais repousser sans raison valable. Alors oui, la je serais responsable. Mais c'est pas le cas.
Je suis invisible à la gente masculine. Et c'est Dieu qui décide cela ? Pourquoi ? J'en ai aucune idée. J'en ai beaucoup souffert auparavant. Désormais, j'accepte mon sort. Il sait mieux que moi c'est qui est bon pour moi.
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SDreams Away a écrit:
Par moment je me demande si on est pas jumelles
On va tjs critiquer la femme pour sa position. Alors que chaque cas est particulier.
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PurpleAest a écrit:
Salam Alaykum,
"Une doctoresse raconte sa propre histoire :
« Prenez mes diplômes et donnez-moi un époux ! » s'écrie-t-elle.
Sept heures ! Chaque matin, c'est l'heure qui me met en colère et fait couler mes larmes.
Pourquoi ? Je prends la voiture en direction de mon cabinet, mon caveau, ma prison.
Je vois les femmes qui m'attendent avec leurs enfants et regardent ma blouse blanche comme s'il s'agissait d'un manteau de soie persane.
Or, à mes yeux il représente le vêtement du deuil que je porte.
Je pénètre dans mon cabinet et mets mon stéthoscope au cou, comme s'il s'agissait d'une corde de potence autour de mon cou.
La trentaine s'apprête à s'enrouler, complètement, autour de mon cou.
Le pessimisme s'empare de moi par rapport à mon avenir.
Puis, elle crie :
« Prenez mes diplômes, ma blouse, tous mes ouvrages de référence et tout ce qui m'apporte le bonheur illusoire (l'argent), mais de grâce faites-moi entendre le mot "maman" ! »
P40-41 du livre "Le mariage tardif : problèmes et solutions"
Ranâ al Sha'âr, éditions al-Hadîth @HadithEditions
?
Commentaire perso: ne pensez pas ce genre de récits farfelu ou exagéré.
Je prends à Allah à témoin qu'une femme de mon entourage a vécu exactement la même chose.
Ayant tout sacrifié pour devenir médecin généraliste, elle pensait avoir atteint son but après avoir décroché son doctorat.
Elle s'est rapidement rendu compte qu'il ne lui manquait qu'un mari pour concrétiser son bonheur.
S'en sont suivit des années de stress, puis de pression et enfin de dépression.
Elle se réveillait tous les matins en pleurs et était prête à littéralement abandonner argent et carrière, pourvu qu'elle trouve sa moitié.
Elle avait baissé ses critères d'exigence et après des années de dépression et de patience, Allah lui a accordé un mari pieu."
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