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joseph111 a écrit:
Il est quand même incroyable pour les hommes que des femmes veuillent faire des enfants sans eux, qu ' elles réprouvent les hommes à ce point
Ces femmes écartent la moitié de l'humanité en rejetant l 'idée qu 'il faut un homme pour faire un enfant. Avec une loi leur autorisant la PMA on veut les aider à mettre au monde des enfants délibérément privés de leur père, de leur origine. Des êtres humains qui ne sauront pas d'où ils viennent . Les mamans elles-mêmes d'ailleurs ne connaîtront pas qui est l'homme père de leur enfant.
LA PMA pour les femmes seules et les lesbiennes , c 'est la volonté pour des femmes de délibérément ignorer l 'homme, de s 'en débarrasser. Et il se trouve un gouvernement et des députés pour les approuver !
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joseph111 a écrit:
Il est quand même incroyable pour les hommes que des femmes veuillent faire des enfants sans eux, qu ' elles réprouvent les hommes à ce point
Ces femmes écartent la moitié de l'humanité en rejetant l 'idée qu 'il faut un homme pour faire un enfant. Avec une loi leur autorisant la PMA on veut les aider à mettre au monde des enfants délibérément privés de leur père, de leur origine. Des êtres humains qui ne sauront pas d'où ils viennent . Les mamans elles-mêmes d'ailleurs ne connaîtront pas qui est l'homme père de leur enfant.
LA PMA pour les femmes seules et les lesbiennes , c 'est la volonté pour des femmes de délibérément ignorer l 'homme, de s 'en débarrasser. Et il se trouve un gouvernement et des députés pour les approuver !
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SauceKetchup a écrit:
Tu sais, tu es au 21e siècle, tu vois les choses d'une certaine façon.
Plusieurs siècles (voire décennies) auparavant, combien de femmes se retrouvaient à devoir mettre au monde et à élever seules des enfants qui ne voyaient jamais leur père car parti à la guerre pendant des années ... Le mari revenait juste pour mettre en route le suivant et rebelote ...
Ces enfants ont bien grandi sans papa non ? Et ils n'en sont pas morts (enfin je ne crois pas), ni n'ont mal tourné (pas plus que les autres).
Et entre nous, quand on regarde l'histoire des prophètes, combien sont partis des années dans le désert en laissant femme(s) et enfants au bercail pendant qu'eux allaient chercher Dieu ou autre chose ?
Pourquoi imaginer qu'un enfant soit obligé d'avoir un papa et une maman pour exister convenablement.
Imagine un père qui divorce de sa femme, qui récupère la garde et qui héberge son frère dans son nouveau domicile. Ben ça fait un gamin élevé par deux bonhommes à la maison. Et ça fait quoi ? Un dégénéré ? Bien entendu que non.
Alors on peut être contre ces histoires de couples et ces histoires de naissance au sein de familles homo. Je comprends bien. Mais qu'on ne me dise pas qu'il est anormal qu'un enfant évolue au sein d'une famille un peu particulière.
Combien de femmes mères célibataires, ou d'hommes pères célibataires. Combien de veufs, veuves. Combien de familles recomposées. Combien d'enfants grandissant avec maman et grand-mère sous le même toit (après tout, ça fait deux femmes aussi ...) ...
Bref, j'ai travaillé avec pas mal de familles africaines (noires) qui pour elles, les enfants appartenaient à toute la famille. Ce n'était pas maman la référente, mais toute la famille. Les enfants pouvaient yoyoter d'untel à untel sans pour autant devenir taré ...
Après le besoin d'enfanter est là pour les femmes, y 'a rien à faire. Pour les hommes, je peux aussi concevoir ce besoin de devenir père et d'être capable d'assumer derrière.
Qu'on me dise que c'est contre-nature, oui, je suis d'accord. Mais que l'enfant appartienne à l'u ou l'autre, quelle importance ?
Je ne comprends pas cette idée de vouloir à tout prix donner une affiliation à l'enfant. ça change quoi qu'il sache que son père est untel s'il ne l'éduque même pas derrière pour x ou y raisons ?
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Hmôme ici de paris a écrit:
Couples à la sexualité perverse ça présage rien de bon pour l'enfant
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SauceKetchup a écrit:
Tu sais, tu es au 21e siècle, tu vois les choses d'une certaine façon.
Plusieurs siècles (voire décennies) auparavant, combien de femmes se retrouvaient à devoir mettre au monde et à élever seules des enfants qui ne voyaient jamais leur père car parti à la guerre pendant des années ... Le mari revenait juste pour mettre en route le suivant et rebelote ...
Ces enfants ont bien grandi sans papa non ? Et ils n'en sont pas morts (enfin je ne crois pas), ni n'ont mal tourné (pas plus que les autres).
Et entre nous, quand on regarde l'histoire des prophètes, combien sont partis des années dans le désert en laissant femme(s) et enfants au bercail pendant qu'eux allaient chercher Dieu ou autre chose ?
Pourquoi imaginer qu'un enfant soit obligé d'avoir un papa et une maman pour exister convenablement.
Imagine un père qui divorce de sa femme, qui récupère la garde et qui héberge son frère dans son nouveau domicile. Ben ça fait un gamin élevé par deux bonhommes à la maison. Et ça fait quoi ? Un dégénéré ? Bien entendu que non.
Alors on peut être contre ces histoires de couples et ces histoires de naissance au sein de familles homo. Je comprends bien. Mais qu'on ne me dise pas qu'il est anormal qu'un enfant évolue au sein d'une famille un peu particulière.
Combien de femmes mères célibataires, ou d'hommes pères célibataires. Combien de veufs, veuves. Combien de familles recomposées. Combien d'enfants grandissant avec maman et grand-mère sous le même toit (après tout, ça fait deux femmes aussi ...) ...
Bref, j'ai travaillé avec pas mal de familles africaines (noires) qui pour elles, les enfants appartenaient à toute la famille. Ce n'était pas maman la référente, mais toute la famille. Les enfants pouvaient yoyoter d'untel à untel sans pour autant devenir taré ...
Après le besoin d'enfanter est là pour les femmes, y 'a rien à faire. Pour les hommes, je peux aussi concevoir ce besoin de devenir père et d'être capable d'assumer derrière.
Qu'on me dise que c'est contre-nature, oui, je suis d'accord. Mais que l'enfant appartienne à l'u ou l'autre, quelle importance ?
Je ne comprends pas cette idée de vouloir à tout prix donner une affiliation à l'enfant. ça change quoi qu'il sache que son père est untel s'il ne l'éduque même pas derrière pour x ou y raisons ?
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Briochedorée a écrit:
Remballe ta critique la question ne se situe pas là!
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joseph111 a écrit:
Il est quand même incroyable pour les hommes que des femmes veuillent faire des enfants sans eux, qu ' elles réprouvent les hommes à ce point
Ces femmes écartent la moitié de l'humanité en rejetant l 'idée qu 'il faut un homme pour faire un enfant. Avec une loi leur autorisant la PMA on veut les aider à mettre au monde des enfants délibérément privés de leur père, de leur origine. Des êtres humains qui ne sauront pas d'où ils viennent . Les mamans elles-mêmes d'ailleurs ne connaîtront pas qui est l'homme père de leur enfant.
LA PMA pour les femmes seules et les lesbiennes , c 'est la volonté pour des femmes de délibérément ignorer l 'homme, de s 'en débarrasser. Et il se trouve un gouvernement et des députés pour les approuver !
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arcacy a écrit:
mais il fait reconnaitre que l enfant souffre de ne pas connaitre son pere ;son geniteur
j ai tout fait pour ma fille bien entourer de ma famille
son beau pere tres bienveillanr
mais au fond de son coeur elle a une souffrance qie je ne pourrait jamais l effacer
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SauceKetchup a écrit:
Mon mari a un frère qui mène une double vie. Il a deux filles au bled qui sont quasiment élevées seules par maman. Lui, il fait les trois quart du temps sa vie en France. Son mariage au bled, c'était juste pour faire plaisir à Môman ...
Les filles ont un père, un géniteur, il est connu et elles portent même leur nom. Et pourtant, l'une des deux souffre de l'absence de son père. Pourtant, il est bien vivant, quelque part ...
Donc qu'on soit issue d'une famille "normale" ou d'une famille "anormale", c'est pareil.
De toutes façons ... qui qu'on soit, on n'est jamais content de ce qu'on a.
Moi j'ai eu un papa alcoolique qui nous en a fait voir des vertes et des pas mures, j'enviais mon copain d'école qui lui ne connaissait pas son père. Au moins, il n'était pas emm... par un c...rd à la maison.
Lui est le produit d'une mère qui s'est amusé avec un homme de passage lors d'une soirée un peu plus arrosée que d'habitude. C'était pourtant pas le genre à sa mère de participer à des soirées et à s'envoyer en l'air avec n'importe qui. ça faisait plusieurs années qu'elle était veuve, deux premiers fils qui étaient partis de la maison, proche de la ménopause, elle a été invitée à une fête, ça faisait tellement longtemps qu'elle ne s'était pas amusée et ... voilà.
Pour d'autres, ce sera encore une autre histoire. Le père sera là, mais il trompera maman ou ...
Bref, je ne connais pas beaucoup de monde qui se satisfont de ce qu'ils ont eu ...
Il faut apprendre à nos enfants à accepter leur condition. On veut toujours ce qu'on a pas et c'est ça qui fait souffrir. Faut apprendre à se détacher de ce genre de choses qui finalement ne sont pas si importantes. Il faut apprendre à se construire sans prendre d'autres humains en référence. Il faut se construire en oeuvrant pour soi.
Ma mère me l'a bassiné je ne sais combien de fois quand je souffrais autrefois de mon père. Et elle a raison. J'ai réussi à me détacher de toutes ces bêtises. J'ai construit ma vie, à ma façon, comme je l'entendais et je suis heureuse sans dépendre d'événements fâcheux dont je n'étais aucunement responsable. Mon passé est ainsi, ben c'est du passé. Pensons à l'avenir à présent.
Mes parents m'ont donné l'éducation qu'ils ont bien voulu me donner, j'ai pris ce qui me semblait juste, j'ai laissé le restant et j'ai avancé.
Et les enfants issus de l'orphelinat doivent faire de même.
D'ailleurs, en islam, le tuteur a pour rôle de subvenir aux besoins matériels de l'enfant et à lui transmettre les valeurs qui sont les siennes. L'enfant en fera ce qu'il veut par la suite.
Faut tracer sa route sans regarder en arrière.
A ta fille, faut lui dire que ok, elle n'a pas de père biologique présent et ... on s'en fiche, c'est pas important. Qu'elle avance avec ce qui lui sert de père à présent, c'est déjà énorme qu'il y ait un père de substitution et qui se comporte en plus bien avec elle. Elle en a de la chance au final. Qu'elle se concentre sur ce que la vie lui apporte de positif. Le reste, faut le laisser de côté ...
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SauceKetchup a écrit:
Mon mari a un frère qui mène une double vie. Il a deux filles au bled qui sont quasiment élevées seules par maman. Lui, il fait les trois quart du temps sa vie en France. Son mariage au bled, c'était juste pour faire plaisir à Môman ...
Les filles ont un père, un géniteur, il est connu et elles portent même leur nom. Et pourtant, l'une des deux souffre de l'absence de son père. Pourtant, il est bien vivant, quelque part ...
Donc qu'on soit issue d'une famille "normale" ou d'une famille "anormale", c'est pareil.
De toutes façons ... qui qu'on soit, on n'est jamais content de ce qu'on a.
Moi j'ai eu un papa alcoolique qui nous en a fait voir des vertes et des pas mures, j'enviais mon copain d'école qui lui ne connaissait pas son père. Au moins, il n'était pas emm... par un c...rd à la maison.
Lui est le produit d'une mère qui s'est amusé avec un homme de passage lors d'une soirée un peu plus arrosée que d'habitude. C'était pourtant pas le genre à sa mère de participer à des soirées et à s'envoyer en l'air avec n'importe qui. ça faisait plusieurs années qu'elle était veuve, deux premiers fils qui étaient partis de la maison, proche de la ménopause, elle a été invitée à une fête, ça faisait tellement longtemps qu'elle ne s'était pas amusée et ... voilà.
Pour d'autres, ce sera encore une autre histoire. Le père sera là, mais il trompera maman ou ...
Bref, je ne connais pas beaucoup de monde qui se satisfont de ce qu'ils ont eu ...
Il faut apprendre à nos enfants à accepter leur condition. On veut toujours ce qu'on a pas et c'est ça qui fait souffrir. Faut apprendre à se détacher de ce genre de choses qui finalement ne sont pas si importantes. Il faut apprendre à se construire sans prendre d'autres humains en référence. Il faut se construire en oeuvrant pour soi.
Ma mère me l'a bassiné je ne sais combien de fois quand je souffrais autrefois de mon père. Et elle a raison. J'ai réussi à me détacher de toutes ces bêtises. J'ai construit ma vie, à ma façon, comme je l'entendais et je suis heureuse sans dépendre d'événements fâcheux dont je n'étais aucunement responsable. Mon passé est ainsi, ben c'est du passé. Pensons à l'avenir à présent.
Mes parents m'ont donné l'éducation qu'ils ont bien voulu me donner, j'ai pris ce qui me semblait juste, j'ai laissé le restant et j'ai avancé.
Et les enfants issus de l'orphelinat doivent faire de même.
D'ailleurs, en islam, le tuteur a pour rôle de subvenir aux besoins matériels de l'enfant et à lui transmettre les valeurs qui sont les siennes. L'enfant en fera ce qu'il veut par la suite.
Faut tracer sa route sans regarder en arrière.
A ta fille, faut lui dire que ok, elle n'a pas de père biologique présent et ... on s'en fiche, c'est pas important. Qu'elle avance avec ce qui lui sert de père à présent, c'est déjà énorme qu'il y ait un père de substitution et qui se comporte en plus bien avec elle. Elle en a de la chance au final. Qu'elle se concentre sur ce que la vie lui apporte de positif. Le reste, faut le laisser de côté ...
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joseph111 a écrit:
Il est quand même incroyable pour les hommes que des femmes veuillent faire des enfants sans eux, qu ' elles réprouvent les hommes à ce point
Ces femmes écartent la moitié de l'humanité en rejetant l 'idée qu 'il faut un homme pour faire un enfant. Avec une loi leur autorisant la PMA on veut les aider à mettre au monde des enfants délibérément privés de leur père, de leur origine. Des êtres humains qui ne sauront pas d'où ils viennent . Les mamans elles-mêmes d'ailleurs ne connaîtront pas qui est l'homme père de leur enfant.
LA PMA pour les femmes seules et les lesbiennes , c 'est la volonté pour des femmes de délibérément ignorer l 'homme, de s 'en débarrasser. Et il se trouve un gouvernement et des députés pour les approuver !
Citation
kaloupile a écrit:
Puisque tu t'appelles Joseph tu dois avoir entendu parler de la Sainte famille. voici ce qu'en dit Michel Serres, philosophe, historien des sciences et homme de lettres français, élu à l'Académie française le 29 mars 1990 :
"Mais, examinons la Sainte Famille. Dans la Sainte Famille, le père n’est pas le père : Joseph n’est pas le père de Jésus, le fils n’est pas le fils : Jésus est le fils de Dieu, pas de Joseph. Joseph, lui, n’a jamais fait l’amour avec sa femme.
"Quant à la mère, elle est bien la mère mais elle est vierge. La Sainte Famille, c’est ce que Lévis-Strauss appellerait la structure élémentaire de la parenté.
"Une structure qui rompt complètement avec la généalogie antique, basée jusque-là sur la filiation : la filiation naturelle, la reconnaissance de paternité et l’adoption. Dans la Sainte Famille, on fait l’impasse tout à la fois sur la filiation naturelle et sur la reconnaissance pour ne garder que l’adoption.
"L’Église, donc, depuis l’Évangile selon Saint Luc, pose comme modèle de la famille une structure élémentaire fondée sur l’adoption : il ne s’agit plus d’enfanter mais de se choisir.
"A tel point que nous ne sommes parents, vous ne serez jamais parents, père et mère, que si vous dites à votre enfant “je t’ai choisi”, “je t’adopte car je t’aime”, “c’est toi que j’ai voulu”. Et réciproquement : l’enfant choisit aussi ses parents parce qu’il les aime."
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kaloupile a écrit:
Puisque tu t'appelles Joseph tu dois avoir entendu parler de la Sainte famille. voici ce qu'en dit Michel Serres, philosophe, historien des sciences et homme de lettres français, élu à l'Académie française le 29 mars 1990 :
"Mais, examinons la Sainte Famille. Dans la Sainte Famille, le père n’est pas le père : Joseph n’est pas le père de Jésus, le fils n’est pas le fils : Jésus est le fils de Dieu, pas de Joseph. Joseph, lui, n’a jamais fait l’amour avec sa femme.
"Quant à la mère, elle est bien la mère mais elle est vierge. La Sainte Famille, c’est ce que Lévis-Strauss appellerait la structure élémentaire de la parenté.
"Une structure qui rompt complètement avec la généalogie antique, basée jusque-là sur la filiation : la filiation naturelle, la reconnaissance de paternité et l’adoption. Dans la Sainte Famille, on fait l’impasse tout à la fois sur la filiation naturelle et sur la reconnaissance pour ne garder que l’adoption.
"L’Église, donc, depuis l’Évangile selon Saint Luc, pose comme modèle de la famille une structure élémentaire fondée sur l’adoption : il ne s’agit plus d’enfanter mais de se choisir.
"A tel point que nous ne sommes parents, vous ne serez jamais parents, père et mère, que si vous dites à votre enfant “je t’ai choisi”, “je t’adopte car je t’aime”, “c’est toi que j’ai voulu”. Et réciproquement : l’enfant choisit aussi ses parents parce qu’il les aime."