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des peomes a paratger alors a vos claviers !!
m
4 juillet 2005 19:00
salam alikom mes freres j'ai voulu partager avec vous ce que j'essaye de tarduire de mes sentiments en des lettres malgré que c'est pas facile !!
ya des poemes en arabe et en français pour tous les gouts alors ne me privez aps de vos commentaires sur mon email [email protected]
les poemes en français :
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Se taire......

Se taire , c'est se laisser faire

se priver de lumière,

et réserver une place au cimetière,

quelle affaire , vue l'horaire

pas de commentaire, c'est être àl'ombre

voir tout ,sombre !

alors, prière de enlever les lunettes et cesser de dire des devinettes

et fonce comme une lance vers ton avenir , avance et prudence

d'enfoncer tes pieds et d'y rester à vie......le 15/04/2001

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Quand tu partira :

Quand tu partira de ta maison

pense qu'il y a une famille qui t'attend

Quand tu contempleras des visages froids !

pense qu'il y a des souvenirs au chaud en soi

Quand tu sentiras seul dans la vie ?

le soir, tu verras mon visage dans les étoiles te sourit

Quand il yen aura pas de larmes à verser

ne croit surtout pas que ton cœur de battre a cessé

j'ai goûté à cette vie, et elle est sans goût

Pleurer mon destin, ce que je ne ferai surtout pas

ton cœur est brisé et tes rêves les plus fous

C’est n'est que le début et tu encaisseras encore et encore des coups

alors prière de lutter, de ne pas s’enterrer vivent

c'est ce que fait les lâches souvent

et tache de mourir sur debout sur tes jambes.......
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Le à la marocaine :

J’ai voulu quitter le maroc, pays du troc

Les diplomes au stock et de l’avenir ils se moquent.

Ou la politique, combat des cocques

J’ai quitter mon foyer ,payer mon loyer ,

vider mon cahier a coup de balayer

mais qu’a tu trouve ailleurs ?

rien que la stupeur

Ailleurs,

Avant de mourir, il faut sourir

Voler pour se nourrir ,

S’evader et courir ,survivre ou perir

Si j’avais su, Si j’avais su…

Vivre sans papiers, sous les éscaliers,

A l’ombre ou tout est sombre

A la rencontre du diable , coupable de ta couleur

Bransè de naissance ,est ce une imprudence ???

A paris, survivre c’est le paris et tu est toujours fouille jusqu’qu pied

A la musique des insultes de tom père de ta mère

De la mer qui t’a balancé ici et rien qu’ici !

Alors vous avez un raccourci a l’enfer sous leurs merci laba et ici

C’est ainsi laba et ici

Changement du cap vers le bled oasis et nomades

Espérant rejoindre le sable accueillant , le tajine et la famille

Loin du poulet signant, jacqueline et marie.

Comptant les jours et les étoiles ,

Souflant de tous mes forces au voile

Avec mes cadeaux et une poile, éspèrant jouer le père noel,

Si j’avais su, Si j’avais su………………….

**********************************
C'est comme ça !

si tu vis en enfere,

ne crois surtout pas que tes larmes vont le refroidir

si tu es étouffé de chagrin, sachez que les rudes tempetes font de braves marins

si tu luttes contre les douleurs, sachez que vous êtes loin d'être un reveur !

si tu trouves que la vie te tournes le dos, sachez qu'après la tempète, jaie le temps le plus beau !

si tu a peur de perdre tes souvenirs, il faut de temps en temps éssayer de sourir.

tu as de la chance :

tu es encore jeune, plein de vie et tu veux à pein temps, qu'elle te sourit

mais non, tu débarques trop tôt dans la misère

tu te trouveras pour tes rêves une place au cimtière !

la peau est douce comme celle d'un enfant,

durant ta lutte tu aura l'air d'avoir cent ans !

appercevant une lumière, tu entrera dans une tanière, à ton accueil une vipère

en t'accueillant avec les bonnes manières...

ton enthosiasme se change en agonie, au lieu de faire des amis, tu te fera des énemis;

défiant l'oragon et les feux du dragon, peut -être tu reussiras ou tu mourira, ou tu t'en sortira..., qui sait ????


les poemes en arabes
****************************

apres !!!!!!!!!!!!! car ce pc ne veut pas afficher l'arabe .
merci
r
5 juillet 2005 11:57
c'est vraiment bien se ke tu fais smiling smiley

je t'encourage a continuer ... smiling smiley

bravo

rifia1
m
5 juillet 2005 15:16
Elle jaillit,
Si fragile,
En tremblant,
Puis s'élance.


Elle bouleverse
Par son ampleur,
Son angoisse,
Et sa peur.


Elle dévale,
Ma joue, pâle,
Laissant, sa trace
Dans son sillage.


Elle est faite
De silence,
De tristesse
De malheur.


En tremblant,
Soudainement,
Cette larme tombe,
Pour mon enfant.

m
5 juillet 2005 21:00
merci c'est tres gentil de ta part
ce que t'as ecrit c'est vraiment super continue a nous emerveiller !
r
5 juillet 2005 21:19
Cet amour

Ce amour
Si violent
Si fragile
Si tendre
Si désespéré
Cet amour
Beau comme le jour
Et mauvais comme le temps
Quand le temps est mauvais
Cet amour si vrai
Cet amour si beau
Si heureux
Si joyeux
Et si dérisoire
Tremblant de peur comme un enfant dans le noir
Et si sûr de lui
Comme un homme tranquille au milieu de la nuit
Cet amour qui faisait peur aux autres
Qui les faisait parler
Qui les faisait blêmir
Cet amour guetté
Parce que nous le guettions
Traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Parce que nous l'avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Cet amour tout entier
Si vivant encore
Et tout ensoleillé
C'est le tien
C'est le mien
Celui qui a été
Cette chose toujours nouvelle
Et qui n'a pas changé
Aussi vraie qu'une plante
Aussi tremblante qu'un oiseau
Aussi chaude aussi vivante que l'été
Nous pouvons tous les deux
Aller et revenir
Nous pouvons oublier
Et puis nous rendormir
Nous réveiller souffrir vieillir
Nous endormir encore
Rêver à la mort
Nous éveiller sourire et rire
Et rajeunir
Notre amour reste là
Têtu comme une bourrique
Vivant comme le désir
Cruel comme la mémoire
Bête comme les regrets
Tendre comme le souvenir
Froid comme le marbre
Beau comme le jour
Fragile comme un enfant
Il nous regarde en souriant
Il nous parle sans rien dire
Et moi je l'écoute en tramblant
Et je crie
Je crie pour toi
Je crie pour moi
Je te supplie
Pour toi pour moi et pour tous ceux qui s'aiment
Et qui se sont aimés
Oui je lui crie
Pour toi pour moi et pour tous les autres
Que je ne connais pas
Reste là
Là où tu es
Là où tu étais autrefois
Reste là
Ne bouge pas
Ne t'en va pas
Nous qui sommes aimés
Nous t'avons oublié
Toi ne nous oublie pas
Nous n'avions que toi sur la terre
Ne nous laisse pas devenir froids
Beaucoup plus loin toujours
Et n'importe où
Donne-nous signe de vie
Beaucoup plus tard au coin d'un bois
Dans la forêt de la mémoire
Surgis soudain
Tends-nous la main
Et sauve-nous.

Jacques Prévert, in Paroles.
m
5 juillet 2005 21:20
ben t'as un super joli style et je t'envie enormement winking smiley
continue les mots jailissent de nul part de nos coeur de nos larmes de nos soupires !
r
5 juillet 2005 21:21
Sables mouvants

Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Et toi
Comme une algue doucement caressée par le vent
Dans les sables du lit tu remues en rêvant
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Mais dans tes yeux entrouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
Deux petites vagues pour me noyer.

Prévert, Paroles.
m
5 juillet 2005 21:50
pour ce poeme superbe d'amour j'ai cru que tu parlai de moi et de mes sentiments
et ces paroles vient d'etre qui a aimé !
j'en suis sure
r
5 juillet 2005 21:52
r
5 juillet 2005 22:56
4. Que penser ?



Amour passionnel ou Amour tout court ! ?

Qu’est-ce que l’amour passionnel ?

C’est comme un poison dissimulé sous du miel,

On ne le voit pas,

Et pourtant il est là ;

Quelque part.

Il attend que l’on ait le dos tourné

Pour pouvoir opérer.

Amour passionnel, tu es comme la trahison

On prend confiance, et un jour ça fait mal.

L’amour passionnel meurt toujours un jour

Si ce n’est pas aujourd’hui, ce sera demain

Alors disons que l’amour passionnel ce n’est qu’une histoire

A laquelle on veut bien croire,

Et l’amour

C’est tout simplement l’amour

Car c’est un sentiment

Qui ne peut pas durer éternellement.

anonyme
m
6 juillet 2005 02:45
RIFIA voila mon msn et atout ceux qui veulent me contacter
d'apres ce que j'ai lu vous cachez des sentiments nobles et vos mots sont choisis meme elus pour les representer les annoncer a ce monde de brutes
nous sommes peotes, on defient ceux qui veulent polluer la pureté de nos âmes
gardez ce precieux tresor en vous car vos sentiments c'est la preuve de votre existance non que terriens mais comme etant des humains des etres vivants
gloire aux âmes pures
je vous remercie et je vous prie de continuer a faire l'exception dans ce monde!
vous etes uniques !!
[email protected]
[email protected]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/07/05 02:47 par markdoom2003.
r
6 juillet 2005 11:04
Au lit des amours mortes (acrostiche)

Au ruisseau qui s’endort sous les fracas d’hiver

Un roseau doucement dit tout en l’effleurant



L’horloge des saisons refera le doux chant

Il ne faut pas mourir, demain n’est pas hier

Tu redonneras vie à la fleur qui s’étiole



Dans la terre gelée elle attend patiemment

Espérant qu’en tes eaux revivra le printemps

Sois la source et le sang qui ouvrent sa corolle



Ami ne t’en va pas sous la terre glacée

Merveilles renaîtront sur tes bords attendris

Offrant à ton regard la toile refleurie

Un vol de papillon à l’aile déployée

Rossignol te dira la fleur et son parfum

Sauterelle et grillon iront ouvrir le bal



Mais si tu meurs avant cet éveil idéal

Où donc pourra aller ta fleur dans le matin

Résiste encore un peu elle se fera belle

Triomphe de la neige en abreuvant le jour

Et tu verras tous ses beaux pétales d’amour

Se pencher sur ton cours en caresse éternelle



sans nom
r
6 juillet 2005 11:08
Je me pamoise
Tu me pavoises
De tes lèvres coloriées tes fantasmes
M'invitant à tes orgasmes
Sur tes envies tu me plaques
Or
Je te calque, tu me décalques
Roucoulades en jérémiades
Sérénade et toquade
Baisers en marmelade
Tu me loukoum sous la douche
Les fruits sucrés de ta bouche
Dégoulinent
M'épépinent
M'égrappent
Dérapent
Tu me bandes les yeux
Pour me perdre dans tes jeux
Pour frémir à tes feux
Défaillir
Rejaillir
A chaque caresse
J'y suis tu restes
S'emmieller de nos salives
En VO et en live
Tu me touches tu me coules
Emporté par la houle
De tes reins, de tes hanches
Tu me dimanche
Tu me lances ton avis de tempête
Guettant sadique ma défaite
Tu me chasses me pourchasses
Tu m'enchâsses
Tu me dorlotes
En papillote
Face à face, face à tes sens
Face à fesse, frôlant l'indécence
Tu me lèches et j'en bave
M'avalant comme une coulée de lave
Comme un objet, ton esclave
Tes mains hantent mes frémissements
Mon corps n'est plus que ton balbutiement
Tu érailles ma respiration
Je déraille à ton unisson
Tu martyrises mes frissons
M'exploses le mur du son
Je me décharne
Tant tu t'acharnes
Tu m'exécutes ton bonheur
Et d'un doigt doux mais ô combien vengeur
Tu te perds dans mes abîmes
Juste avant qu'on se décime....

sans nom
r
6 juillet 2005 11:33
A ceux qui croient encore que l'on choisi d'aimer...

Ils ont ri de mes illusions,
Et ils croyaient avoir raison,
Que le bonheur n'existe pas,
Que l'idéal ne se trouve pas...

Se satisfaire de la tendresse,
C'est une preuve de paresse,
Petit amour jamais ne blesse;
Le grand amour vous rend princesse.

Moi je savais que tu viendrais,
Qu'un jour on se retrouverait,
Que mon coeur plus fort taperait,
Que ma vie entière changerait...

Toi, mon amour, tu es ma vie,
Et c'est à toi que je dis oui,
Car chaque jour tu me séduis,
Je nous sais à jamais unis...

On dit qu'il n'y a qu'un amour...
Si vous le rencontrez un jour,
Sachez le vivre sans détour
Et aux jaloux vous rendre sourd...

inconnue_...
m
6 juillet 2005 15:05
On dit que, les chiens peureux,
Ont de la crainte, dans les yeux,


On dit que, les malheureux,
Ont du désespoir, au fond des yeux,


On dit que, les amoureux,
Ont de la tendresse, au bord des yeux,


On dit que, les gens heureux,
Ont du bonheur, dans leurs yeux,


On dit que les plus envieux,
Ont, pourtant, tout, pour être heureux
m
6 juillet 2005 15:07
Toi, que j'ai aimé, tendrement,
La tête blottie, câlinement,
Au creux de ton épaule,
Cachés, sous un saule.


Toi, que je guettais, en vain,
T'attendant, jusqu'au matin,
Jouant de mes sentiments,
Je pleurais, désespérément.


Toi, qui a ta vie, ailleurs,
Marié, volage, menteur,
Quel comédien, à tes heures,
Me faisant croire, au bonheur.


Toi, qui m'oublie si souvent,
M'appelant, de temps en temps,
T'es-tu demandé, qu'était ma vie,
Sans toi, qui, lâchement, t'enfuit.


Toi, qui m'appelle et attend,
Un mot, de moi, maintenant,
Laisse-moi souffler et pleurer,
Toi qui a sali le Mot: Aimer.


m
6 juillet 2005 15:08
Quand JESSICA est arrivée,
Une nouvelle famille est née,
Emerveillée, émue et fière,
Tombent mes larmes de mère.


Quand, dans l'école, en fête,
Danse, ma fille, irréelle,
Le coeur heureux et fier,
Coulent mes larmes de mère.


Quand tes premiers poèmes,
Tu me les dédies, si fière,
Mon coeur, plein de tendresse,
Déborde, de mes larmes de mère.


Quand, la première fois, tu aimes,
Le regard doux et confiant,
Mon coeur se dit, confusément,
Prends garde cet homme lui ment.


Quand je te découvrirai,
Morte, avec ta moue d'enfant,
Mon coeur soudain de de maman,
Se brise, dans un long hurlement.




m
6 juillet 2005 15:22
Ils sont, des millions sur terre,
A des milliers de kilomètres,
Qui se cherchent, en silence,
Se trompant parfois de chance.

Ils ont, dans les yeux, un espoir,
Malheureux, ils désirent croire,
Que l’homme ou la femme de leur vie,
C’est celui ou celle, qui leur sourit.

Ils ont caché dans leur cœur,
Des parcelles vierges de bonheur,
Qu’ils sont prêts à offrir simplement,
Dans un amour éclos, doucement.

Ils ont connu par milliers,
La désillusion et le chagrin,
Mais, un matin, ils auront oublié
Car, un autre prendra leur main.

Il n’y a pas, de place pour la haine,
Qui vous ronge, comme une gangrène,
Mais il existe tout simplement,
L’amour, balayant vos tourments.
r
6 juillet 2005 16:35
Je veux ta chair...
En doigté fleur saveur de miels aquarelles, quête du peintre artiste en territoire mystère

Je veux tes regards...
Pour vêtir ma nuit de tes désirs, dévêtir le temps de ses illusions, louangé l'éternelle tes yeux en prose temptation

Je veux tes lèvres...
En plume métaphore qui navigue mon corps en mer d'une infinis de lendemain sans fin, rime ta bouche poète

Je veux l'impossible...
Gouter l'interdit de ta beauté, m'acquérir de l'envoutement de tes parfums sacré en fable passion de rêves épopées

Je te veux...
Être l'écho de ton corps au chevet de la convoistise,
Être l'architectque de l'amour sur ta muse silouhette,
Être aujourd'hui pour toi ce que demain tu redécouvriras...

sans nom
r
6 juillet 2005 22:50
sur une note de flûte

T'aimer en silence
Te l'avouer dans un triolet

Pianissimo

La flute joue
Un solo

Un fond de cimbale
En accompagnement

Tempo Al dente

Le chef d'orchestre se démène
Sa baguette dans tous les sens

Je t'embrasse entre deux pulsations

T'aimer un temps
Mourir le deuxième

Une ronde

Sur une note l'ensemble
Point d'orgue ...

Crescendo

Une clarinette
Une guitare
Mes mains esclaves
Du rythme, trop tard !

Te hurler que je t'aime
Avant la fin de la mesure
Retomber raide

À l'autre porté

Me laisser emporter
Par le son du piano

Même partition
La flute recommence
Je me glisse dans tes bras

Je t'aime
Au son de la flute
Diminuendo
Jusqu'au silence

Demi pause

Une dernière note
La flute se tait

Dans tes bras, morte

Je t'aime tu sais ...

Pause complète ...

anonyme
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