salam alikom mes freres j'ai voulu partager avec vous ce que j'essaye de tarduire de mes sentiments en des lettres malgré que c'est pas facile !! ya des poemes en arabe et en français pour tous les gouts alors ne me privez aps de vos commentaires sur mon email [email protected] les poemes en français : ************************
Se taire......
Se taire , c'est se laisser faire
se priver de lumière,
et réserver une place au cimetière,
quelle affaire , vue l'horaire
pas de commentaire, c'est être àl'ombre
voir tout ,sombre !
alors, prière de enlever les lunettes et cesser de dire des devinettes
et fonce comme une lance vers ton avenir , avance et prudence
d'enfoncer tes pieds et d'y rester à vie......le 15/04/2001
**************************************
Quand tu partira :
Quand tu partira de ta maison
pense qu'il y a une famille qui t'attend
Quand tu contempleras des visages froids !
pense qu'il y a des souvenirs au chaud en soi
Quand tu sentiras seul dans la vie ?
le soir, tu verras mon visage dans les étoiles te sourit
Quand il yen aura pas de larmes à verser
ne croit surtout pas que ton cœur de battre a cessé
j'ai goûté à cette vie, et elle est sans goût
Pleurer mon destin, ce que je ne ferai surtout pas
ton cœur est brisé et tes rêves les plus fous
C’est n'est que le début et tu encaisseras encore et encore des coups
alors prière de lutter, de ne pas s’enterrer vivent
c'est ce que fait les lâches souvent
et tache de mourir sur debout sur tes jambes....... ****************************************** Le à la marocaine :
J’ai voulu quitter le maroc, pays du troc
Les diplomes au stock et de l’avenir ils se moquent.
Ou la politique, combat des cocques
J’ai quitter mon foyer ,payer mon loyer ,
vider mon cahier a coup de balayer
mais qu’a tu trouve ailleurs ?
rien que la stupeur
Ailleurs,
Avant de mourir, il faut sourir
Voler pour se nourrir ,
S’evader et courir ,survivre ou perir
Si j’avais su, Si j’avais su…
Vivre sans papiers, sous les éscaliers,
A l’ombre ou tout est sombre
A la rencontre du diable , coupable de ta couleur
Bransè de naissance ,est ce une imprudence ???
A paris, survivre c’est le paris et tu est toujours fouille jusqu’qu pied
A la musique des insultes de tom père de ta mère
De la mer qui t’a balancé ici et rien qu’ici !
Alors vous avez un raccourci a l’enfer sous leurs merci laba et ici
C’est ainsi laba et ici
Changement du cap vers le bled oasis et nomades
Espérant rejoindre le sable accueillant , le tajine et la famille
Loin du poulet signant, jacqueline et marie.
Comptant les jours et les étoiles ,
Souflant de tous mes forces au voile
Avec mes cadeaux et une poile, éspèrant jouer le père noel,
Si j’avais su, Si j’avais su………………….
********************************** C'est comme ça !
si tu vis en enfere,
ne crois surtout pas que tes larmes vont le refroidir
si tu es étouffé de chagrin, sachez que les rudes tempetes font de braves marins
si tu luttes contre les douleurs, sachez que vous êtes loin d'être un reveur !
si tu trouves que la vie te tournes le dos, sachez qu'après la tempète, jaie le temps le plus beau !
si tu a peur de perdre tes souvenirs, il faut de temps en temps éssayer de sourir.
tu as de la chance :
tu es encore jeune, plein de vie et tu veux à pein temps, qu'elle te sourit
mais non, tu débarques trop tôt dans la misère
tu te trouveras pour tes rêves une place au cimtière !
la peau est douce comme celle d'un enfant,
durant ta lutte tu aura l'air d'avoir cent ans !
appercevant une lumière, tu entrera dans une tanière, à ton accueil une vipère
en t'accueillant avec les bonnes manières...
ton enthosiasme se change en agonie, au lieu de faire des amis, tu te fera des énemis;
défiant l'oragon et les feux du dragon, peut -être tu reussiras ou tu mourira, ou tu t'en sortira..., qui sait ????
les poemes en arabes ****************************
apres !!!!!!!!!!!!! car ce pc ne veut pas afficher l'arabe . merci
Ce amour Si violent Si fragile Si tendre Si désespéré Cet amour Beau comme le jour Et mauvais comme le temps Quand le temps est mauvais Cet amour si vrai Cet amour si beau Si heureux Si joyeux Et si dérisoire Tremblant de peur comme un enfant dans le noir Et si sûr de lui Comme un homme tranquille au milieu de la nuit Cet amour qui faisait peur aux autres Qui les faisait parler Qui les faisait blêmir Cet amour guetté Parce que nous le guettions Traqué blessé piétiné achevé nié oublié Parce que nous l'avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié Cet amour tout entier Si vivant encore Et tout ensoleillé C'est le tien C'est le mien Celui qui a été Cette chose toujours nouvelle Et qui n'a pas changé Aussi vraie qu'une plante Aussi tremblante qu'un oiseau Aussi chaude aussi vivante que l'été Nous pouvons tous les deux Aller et revenir Nous pouvons oublier Et puis nous rendormir Nous réveiller souffrir vieillir Nous endormir encore Rêver à la mort Nous éveiller sourire et rire Et rajeunir Notre amour reste là Têtu comme une bourrique Vivant comme le désir Cruel comme la mémoire Bête comme les regrets Tendre comme le souvenir Froid comme le marbre Beau comme le jour Fragile comme un enfant Il nous regarde en souriant Il nous parle sans rien dire Et moi je l'écoute en tramblant Et je crie Je crie pour toi Je crie pour moi Je te supplie Pour toi pour moi et pour tous ceux qui s'aiment Et qui se sont aimés Oui je lui crie Pour toi pour moi et pour tous les autres Que je ne connais pas Reste là Là où tu es Là où tu étais autrefois Reste là Ne bouge pas Ne t'en va pas Nous qui sommes aimés Nous t'avons oublié Toi ne nous oublie pas Nous n'avions que toi sur la terre Ne nous laisse pas devenir froids Beaucoup plus loin toujours Et n'importe où Donne-nous signe de vie Beaucoup plus tard au coin d'un bois Dans la forêt de la mémoire Surgis soudain Tends-nous la main Et sauve-nous.
Démons et merveilles Vents et marées Au loin déjà la mer s'est retirée Et toi Comme une algue doucement caressée par le vent Dans les sables du lit tu remues en rêvant Démons et merveilles Vents et marées Au loin déjà la mer s'est retirée Mais dans tes yeux entrouverts Deux petites vagues sont restées Démons et merveilles Vents et marées Deux petites vagues pour me noyer.
RIFIA voila mon msn et atout ceux qui veulent me contacter d'apres ce que j'ai lu vous cachez des sentiments nobles et vos mots sont choisis meme elus pour les representer les annoncer a ce monde de brutes nous sommes peotes, on defient ceux qui veulent polluer la pureté de nos âmes gardez ce precieux tresor en vous car vos sentiments c'est la preuve de votre existance non que terriens mais comme etant des humains des etres vivants gloire aux âmes pures je vous remercie et je vous prie de continuer a faire l'exception dans ce monde! vous etes uniques !! [email protected] [email protected]
Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/07/05 02:47 par markdoom2003.
Je me pamoise Tu me pavoises De tes lèvres coloriées tes fantasmes M'invitant à tes orgasmes Sur tes envies tu me plaques Or Je te calque, tu me décalques Roucoulades en jérémiades Sérénade et toquade Baisers en marmelade Tu me loukoum sous la douche Les fruits sucrés de ta bouche Dégoulinent M'épépinent M'égrappent Dérapent Tu me bandes les yeux Pour me perdre dans tes jeux Pour frémir à tes feux Défaillir Rejaillir A chaque caresse J'y suis tu restes S'emmieller de nos salives En VO et en live Tu me touches tu me coules Emporté par la houle De tes reins, de tes hanches Tu me dimanche Tu me lances ton avis de tempête Guettant sadique ma défaite Tu me chasses me pourchasses Tu m'enchâsses Tu me dorlotes En papillote Face à face, face à tes sens Face à fesse, frôlant l'indécence Tu me lèches et j'en bave M'avalant comme une coulée de lave Comme un objet, ton esclave Tes mains hantent mes frémissements Mon corps n'est plus que ton balbutiement Tu érailles ma respiration Je déraille à ton unisson Tu martyrises mes frissons M'exploses le mur du son Je me décharne Tant tu t'acharnes Tu m'exécutes ton bonheur Et d'un doigt doux mais ô combien vengeur Tu te perds dans mes abîmes Juste avant qu'on se décime....
Je veux ta chair... En doigté fleur saveur de miels aquarelles, quête du peintre artiste en territoire mystère
Je veux tes regards... Pour vêtir ma nuit de tes désirs, dévêtir le temps de ses illusions, louangé l'éternelle tes yeux en prose temptation
Je veux tes lèvres... En plume métaphore qui navigue mon corps en mer d'une infinis de lendemain sans fin, rime ta bouche poète
Je veux l'impossible... Gouter l'interdit de ta beauté, m'acquérir de l'envoutement de tes parfums sacré en fable passion de rêves épopées
Je te veux... Être l'écho de ton corps au chevet de la convoistise, Être l'architectque de l'amour sur ta muse silouhette, Être aujourd'hui pour toi ce que demain tu redécouvriras...