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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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bouloulou4 a écrit:
Les insultes vous servent d'arguments.
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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Leilalala93 a écrit:
C'est sûre que les mecs de chez nous qui ont une èrection à la vue d'un cheveu ou d'un bras ils sont pas du tout pervers mdr. Et ceux qui battent leur fille ou leur sœur quand elles ne sont pas d'accord avec eux ne sont pas diaboliques. L'islam pratiqué aujourd'hui n'est pas le vrai c'est de l'extrémisme où alors RishaKalabre vous donnez raison aux mécréants quand ils disent que notre chère prophète et nous mêmes sommes des montres ?
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Capestian a écrit:
leurs desseins pervers et diaboliques
Liberté et l'égalité, les desseins pervers de l'occidental
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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Leilalala93 a écrit:
C'est sûre que les mecs de chez nous qui ont une èrection à la vue d'un cheveu ou d'un bras ils sont pas du tout pervers mdr. Et ceux qui battent leur fille ou leur sœur quand elles ne sont pas d'accord avec eux ne sont pas diaboliques. L'islam pratiqué aujourd'hui n'est pas le vrai c'est de l'extrémisme où alors RishaKalabre vous donnez raison aux mécréants quand ils disent que notre chère prophète et nous mêmes sommes des montres ?
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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RishaKalabre a écrit:
Les mécréants ne cesseront jamais d'attaquer l'islam, ils se délectent du mal pour assourvir leurs desseins pervers et diaboliques
Il faudrait stopper la prolifération de ce virus occidental et que la Tunisie se débarrasse de ces troubles faites hypocrites et vils
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RishaKalabre a écrit:
Tiens, il y a plus d'ennemis que je le pensais, intéressant de voir qui sort du lot
C'est l'islam que vous appelez obscurantisme, terme inventé par les mécréants, s'il y a des musulmans parmi vous ça ne me surprend pas
Pauvre de vous
Pas le temps de vous répondre un par un
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axis7 a écrit:
LE MONDE Le 12.07.2018 // Par Frédéric Bobin (Tunis, correspondant)
Quand la Tunisie interroge ses tabous les mieux gardés
Le débat s’enfièvre dans le pays autour des réformes sociétales proposées par une Commission pour libertés individuelles et l’égalité (Colibe). La plus emblématique touche à l’égalité successorale entre hommes et femmes.
C’est âpre, rugueux, parfois toxique, mais où ailleurs que dans cette région du monde un tel débat sur des sujets qui fâchent peut-il se déployer sans émeute ni matraque ? La Tunisie questionne depuis peu ses tabous les mieux gardés, son intime social que seules des mains tremblantes avaient jusqu’alors effleuré.
Faut-il instaurer l’égalité entre hommes et femmes dans l’héritage ? Déboulonner la statue du père « chef de famille » ? Dépénaliser l’homosexualité ? Remettre en cause le délai de viduité (délai de remariage imposé aux femmes) ? Abolir la peine de mort ? La Commission pour les libertés individuelles et l’égalité (Colibe), un groupe d’experts créé à l’initiative du chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi, a publié à la mi juin un rapport proposant d’ouvrir ces brèches-là dans la tradition.
Depuis, le débat s’enfièvre. Sa présidente, Bochra Belhaj Hmida, avocate, féministe et électron libre, court les forums et les agoras pour s’expliquer, lever les malentendus, désamorcer les suspicions.
Les libéraux et progressistes, qui sont légion dans le pays, applaudissent au nom des principes de la Constitution de 2014 : « liberté de conscience » (article 6) ou « l’égalité des citoyens et des citoyennes devant la loi sans discrimination » (article 21).
Les conservateurs, dont l’écho dans la population demeure significatif, rechignent et objectent au nom de « l’identité religieuse de la Tunisie ». Eux aussi invoquent la Constitution : « l’Etat protège la religion » (article 6), « la famille est la cellule de base de la société » (article 7). « Les libertés individuelles ne sont pas sans limites par rapport aux nécessités sociales », met en garde Hmida Ennaifer, professeur de théologie qui admet néanmoins « l’intention positive » du rapport.
A la marge du camp conservateur, les plus extrémistes excitent les réseaux sociaux – ou les mosquées – en attisant les peurs, le plus souvent en déformant les recommandations de la Colibe. Ainsi certains prêtent-ils à cette commission – contre toute évidence - le projet occulte de proscrire la circoncision ou de légaliser le mariage homosexuel.
« Il y a beaucoup de manipulation », déplore Mme Belhaj Hmida, visée par des menaces. « Je reçois des messages me traitant de “mécréante”, confie-t-elle. On appelle à me tuer, à me lapider, à m’asperger d’acide. » Mme Belhaj Hmida fait l’objet d’une surveillance policière discrète tandis que la famille progressiste tunisienne – jusque-là un brin silencieuse – commence à se mobiliser en sa faveur.
Malgré les outrances, le débat s’installe et là est l’événement en attendant une traduction législative – à ce stade incertaine. Pareille introspection collective sur la question des rapports entre l’individu et la communauté est inédite en Tunisie.
Les temps changent assurément. Le « printemps » révolutionnaire de 2011, né d’une fronde sociale, avait surtout embrassé la cause des droits politiques. L’obsession institutionnelle avait fait oublier d’autres causes, celles de l’intime, des familles, de l’intégrité des corps. Sept ans plus tard, voilà que le combat s’élargit sur ce terrain des droits individuels et des discriminations de genre.
Inégalité successorale
La Tunisie était déjà certes pionnière sur ce front sociétal. Habib Bourguiba, le « père de la nation », l’avait propulsée aux avant-postes du monde arabo-musulman en matière de droits des femmes en imposant son fameux code du statut personnel (CSP) dès l’indépendance de 1956. Atteinte à la tradition, il avait aboli la polygamie, institué le divorce judiciaire – se substituant à la répudiation –, fixé un âge minimum pour le mariage (15 ans pour les femmes, devenu plus tard 18 ans) et exigé le consentement des deux époux lors du mariage.
Socle de ce qu’on a appelé le « féminisme d’Etat » – le statut de la femme tunisienne servait aussi de caution internationale aux régimes autoritaires de Bourguiba et de Ben Ali –, ce code a pris des rides au fil des années. Les féministes de la nouvelle génération le critiquaient comme insuffisant, inabouti. Car il dispose toujours que le père est le « chef de famille ». Et il a laissé intacte l’inégalité successorale, fruit de préceptes du Coran en vertu desquels les femmes n’héritent que de la moitié de la part des hommes du même degré de parenté.
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