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12 000 mères marocaines pour la fraise espagnole
j
24 juillet 2010 12:40
Citation
lmajdoub20600 a écrit:
Citation
BlackPanther a écrit:
Ceux qui critiquent doivent voir les conditions de travails dans les champs de tomates ou de fraise au maroc

Mais c'est ce qu'on fait! indirectement si tu veux
Un État incapable d'organiser son marché de travail où la corruption fait des ravage et qui se contente de sous-traiter ses problèmes sociaux : c'est ça le but du poste. Tu ne l'a pas vu sous cet angle?

L'angle sous lequel tu en a parlé était plutôt orientée vers le gouffre entre riches et pauvres.

lmajdoub20600 [ MP ]
18 juillet 2010 12:24
Re: 12 000 mères marocaines pour la fraise espagnole

Drôle de pays, les uns gambadent en Porsch cayenne, Caviar au diner, bouteille de champagne à 3000DH en fin de soirée, les autre obligés de traverser une mer pour cueillir des fraises (la pire cueillette qui puisse exister, car la fraise pousse au ras du sol) où même une "comira" est difficile à trouver.
On peut accepter qu'il y est des riches et des pauvres mais là c'est trop....cette société ne tourne pas rond


Le reste des commentateurs ont critiqué l'exploitation des pauvres marocaines et même remis en question le droit des femmes marocaines de travailler sous prétexte que les hommes étaient prioritaires. Comme la solution de FIS au chômage en Algérie en 1991.

L'état marocain subventionne déjà l'agriculture sous forme d'exemptions fiscales. Et pourtant, le secteur n'arrive pas à employer toute la main d'œuvre marocaine. Que proposes tu que l'état fasses de plus? Je te rappelle que le Maroc est un pays pauvre malgré les 300-400 Porsche Cayenne qui sillonnent le pays. Les taxes sont déjà tellement lourdes que les riches expatrient leurs fortunes.
c
24 juillet 2010 12:45
Citation
jalilou5454 a écrit:
Citation
chibani R a écrit:
12 000 marocaines pour les fraises en espagne....

30 000 artiste dans les sous sols dans le Golf....

Il ya encor du Stock par millions........

on peut les envoyer de Partout..frais d'expeditions fournies.....

Tu t'opposes à l'émigration par principe ou tu t'apitoie sur le manque de qualifications des marocains? Si c'est par principe, je te conseilles de faire un tour en Corée du Nord. Tu verra les "bienfaits" de cette politique. Si c'est le fait que les marocaines en Espagne cueillent des fraises et ne sont pas cadres dans des entreprises Espagnoles, ce n'est sûrement pas en s'opposant à la rentrée de devises qu'elles engendrent (qui paie entre autre pour les études de leurs enfants) que tu va faire avancer le schmilblick.

Les discours moralisateurs à deux doro, tu les gardes pour la cave. OK?

Vous etes trop sur de vous....( cela reste un echange avant TOUT).....

Je vous explique mon point de vue......je ne vous demande pas d'etre ok avec moi.....

Le Maroc peut mieux faire.....Hassan II nous a fait perdre trop de Temps......

Vu la proximité du Maroc avec l'europe le Maroc peut mieux faire....

Et j'ai une garande confiance dans la capacité de mes compatriotes....je sais qu'ils ( elles valent mieux que ca).....

Si le Maroc a misé depuis son independence sur une education de qualité ....orientée vers l'excelence....et si le Maroc a misé sur l'industrialisation de son economie.....et si Krocuhe laharma et chafaras rapatrient l'argent qui dorment dans les comptes suisses...et si krouches lahrmaes payent correctement les impots...et si le Roi reduit son train de vie.....
Et si ses sommes sont allouées a la recherche et a l'industrialisation du pays et bien le maroc peut niquer les Espagnoles....et ses enfants trouveront un job dans leur propre pays......

Faire en sorte que TOUT le NORD DU MAROC ( zone franche) et le Maroc peut se positionner et offrir suffisament d'emplois...
et si le Maroc modernise son agriculture ( L'agriculture est une source de devoloppement et d'amenagement du territoire tout en fixant les gens sur place....( Bravo pour le plan vert du Maroc ))..

Et si on limite la natalité.......

Et si les ressources marocaines sont investis au Maroc ( Phosphate et richesse de la mer)....

Oui j'ai confiance aux capacités de mes compatriotes si on leur donne les moyens..ils ont soif de reussite)...
l
25 juillet 2010 20:25
Citation
118218 a écrit:



Je voulais te répondre point par point mais en te relisant je remarque que 90% de ta réponse attaque ma personne, et le 10% restant est hors sujet.

pouah !!! le champion du hors sujet !!!
sinon je n ai pas fais d attaque personnels ,a vrai dire je n en ai rien a cirer de ta personne ,j en ai vite fais le tour.




Citation
a écrit:
A tu des éléments sérieux sur lesquels tu souhaites me contredire ?

ouhais ,je repete :
Ton initiative de boycotter les fraises hors saisons pour sauver ces pauvres femmes de l exploitation est comprehensible venant d un vrai bobo completement coupé de la réalité .
Mais venant d un marocain qui connait la réalité du terrain et qui sait pertinnement que c est une formidable opportunité donné a ces femmes de nouurrir leurs gosses et d ameliorer leurs conditions de vies.
venant d un marocain ca s apparente plus a du mimetisme grossier . d ou mon "faux bobo" que tu a pris pour une insulte .

c est pas moi qui t ai insulté118218 c est la realité qui a été insultante pour toi.

Citation
a écrit:
Pour m'attaquer tu n'avais pas besoin de 20 lignes, une seule suffit. Essaye d'utiliser 20 lignes pour développer ton regard macro économique ou néolibéral, c'est au choix. Tu es un libéral assume le.

Tu veus absolument que je le sois ??hein 118218???
Tu veus absolument que je le sois pour pouvoir nous servir ton degueulis d attardé de gauchiste.

ecoute mon vieux je t ai expliqué comment j en ai deduis que tu essayais de ressemblé aux vrais bobos et comment pour se faire tu utilise la misere de ces femmes.

A ton tour maintenant explique moi qu est ce qui te fais dire que je suis un liberal.???
et comment puis-je etre un liberal moi qui defend l absolutisme royal??? demande a boultrioult il corrigera tes lacunes.

ca t apprendra a faire du boldy bulding intelectuels dopé a la propagande gauchiste.
l
25 juillet 2010 20:57
Citation
jalilou5454 a écrit:
Citation
lmajdoub20600 a écrit:
Citation
BlackPanther a écrit:
Ceux qui critiquent doivent voir les conditions de travails dans les champs de tomates ou de fraise au maroc

Mais c'est ce qu'on fait! indirectement si tu veux
Un État incapable d'organiser son marché de travail où la corruption fait des ravage et qui se contente de sous-traiter ses problèmes sociaux : c'est ça le but du poste. Tu ne l'a pas vu sous cet angle?

L'angle sous lequel tu en a parlé était plutôt orientée vers le gouffre entre riches et pauvres.

lmajdoub20600 [ MP ]
18 juillet 2010 12:24
Re: 12 000 mères marocaines pour la fraise espagnole

Drôle de pays, les uns gambadent en Porsch cayenne, Caviar au diner, bouteille de champagne à 3000DH en fin de soirée, les autre obligés de traverser une mer pour cueillir des fraises (la pire cueillette qui puisse exister, car la fraise pousse au ras du sol) où même une "comira" est difficile à trouver.
On peut accepter qu'il y est des riches et des pauvres mais là c'est trop....cette société ne tourne pas rond


Le reste des commentateurs ont critiqué l'exploitation des pauvres marocaines et même remis en question le droit des femmes marocaines de travailler sous prétexte que les hommes étaient prioritaires. Comme la solution de FIS au chômage en Algérie en 1991.

L'état marocain subventionne déjà l'agriculture sous forme d'exemptions fiscales. Et pourtant, le secteur n'arrive pas à employer toute la main d'œuvre marocaine. Que proposes tu que l'état fasses de plus? Je te rappelle que le Maroc est un pays pauvre malgré les 300-400 Porsche Cayenne qui sillonnent le pays. Les taxes sont déjà tellement lourdes que les riches expatrient leurs fortunes.

Beh oui c'est ça, qui est responsable de ce gouffre? des disparités sociales? de cette économie féodale? Tiens, tu es a pas parlé de l'économie féodale dans un autre poste? pourquoi tu la trouve normale dans ce cas? c'est le problème avec toi, toujours à dire la chose et son contraire.
E
26 juillet 2010 00:05
Il est preferable d'aller cueillir des fraises en Espagne ou meme de vivre en chaumage dans son pays (Maroc ) que d'etre ne et vivre dans certains pays Arabes du Golfe .
N'oublions pas que les femmes aussi ont le droit de gagner leur pain , beaucoup de femmes doivent travailler pour nourir leur enfants , Il l'y a des veuves , des femmes abondonnees avec des enfants par leurs maries , d'autres qui n'ont pas aucun choix si le mari est malade et ne peut travailler. Donc a mon avis stop la discrimination envers ces pauvres femmes , elles demandent rien a personne et arretez de les juger.

La pratique a atteint des proportions alarmantes au Yémen : La traite des enfants inquiète les ONG
Officiellement, l’esclavage est aboli partout dans le monde depuis près de deux siècles. Mais dans certains pays, en particulier ceux du Golfe, la traite des êtres humains est loin de disparaître. Pis encore, elle y est même profondément enracinée.
Les chiffres sont effarants. Plus de 27 millions de personnes dans le monde sont aujourd’hui exploitées. Le drame existe partout. Il ne se limite pas à une région spécifique. Il est connu et reconnu que dans les pays du Sahel, chez les Touareg, dans les pays du Golfe, en Mésopotamie et à Djibouti, l’esclavage se pratique ouvertement. Selon des études faites par différents organismes, il n’est, en effet, pas un lieu gagné par l’Islam où ne se soit jamais pratiqué le commerce d’esclaves. Au Yémen, l’un des pays les plus pauvres du monde arabe, le phénomène est encore plus vivace. Le pays compte une population de quelque 24 millions d’habitants. Certaines régions reculées échappent totalement à l’autorité de l’Etat. Certes, les marchés de la chair à ciel ouvert n’existent plus, mais il existe bel et bien d’autres formes « d’esclavage moderne », telles que le travail forcé, l’exploitation sexuelle, les domestiques non rémunérés et ceux réquisitionnés nuit et jour. La situation est dramatique dans ce pays. Elle est aggravée par un autre phénomène : celui des nombreuses familles yéménites qui, à cause de la pauvreté, vendent leur progéniture, des mineurs de surcroît, aux richards des pays du Golfe.

« La faim justifie l’esclavage »
La traite des mineurs dans ce pays se justifie par plusieurs facteurs : la famine et d’autres considérations d’ordre culturel sont à l’origine de la croissance alarmante du phénomène. En tout cas, l’exploitation des enfants est un véritable fléau dans ce pays. Chaque année, environ 1,2 million d’enfants sont vendus à des criminels, en Arabie Saoudite et dans les riches pays du Golfe. La vente des enfants yéménites, notamment les jeunes garçons, s’effectue plus particulièrement au niveau des frontières nord avec l’Arabie Saoudite. Certains d’entre eux sont également victimes d’exploitation sexuelle durant leur transit ou après leur arrivée en Arabie Saoudite. Ces « misérables » bambins candidats à l’esclavage viennent des provinces yéménites les plus reculées et les moins fertiles, où l’agriculture ne fait pas vivre les familles pour qui chaque enfant devient une bouche impossible à nourrir. De surcroît, dans une société patriarcale comme au Yémen, les fils doivent assumer des responsabilités dès leur jeune âge. Ce qui les pousse à recourir à tous les moyens pour subvenir à leurs besoins. Que ce soit à l’intérieur de leur pays ou au-delà des frontières, des millions de jeunes Yéménites vivent l’enfer : ils finissent par mendier dans les rues, travailler comme domestiques dans les foyers prospères, sont exploités comme ouvriers d’usine ou comme jockeys de chameau. A titre d’exemple, dans les villes d’Aden et de Sanaa, au sud du Yémen, les enfants sont exploités principalement dans les réseaux de mendicité, mais aussi pour la servitude domestique ou alors dans des boutiques.

L’exploitation au su et au vu de tous
Au Yémen, l’esclavage est un phénomène connu des pouvoirs publics. Ce n’est nullement un secret. De l’aveu même du gouvernement, il existe plus précisément dans le nord-ouest du Yémen une région à forte structure tribale. Toutefois, dans une déclaration publiée par l’agence de presse Reuters, un représentant de l’Unicef au Yémen a expliqué les difficultés rencontrées dans la maîtrise de cette traite. Un trafic qui se fait dans la clandestinité, avec la complicité des fonctionnaires. « Ce commerce expose les enfants à des risques de violence, d’abus et d’exploitation sexuels », a révélé le représentant de l’Unicef. Cette situation très critique a amené une organisation non gouvernementale locale à se pencher sur ce fléau. Elle a lancé, dans ce sillage, une campagne de lutte contre cette pratique. « Nous sommes en phase de recensement des cas de personnes acquises par la traite ou par filiation », a déclaré à l’AFP Mohamed Naji Allaou, coordinateur de l’Organisation nationale pour la défense des droits et des libertés (Hood), initiatrice de cette campagne. Selon une enquête menée en 2009 par le ministère yéménite des Droits de l’homme, l’esclavage y est encore pratiqué, notamment dans les provinces de Hajjah et de Hodeida (nord-ouest), sous trois formes : la première catégorie concerne les esclaves que « leurs propriétaires traitent à leur guise » ; la deuxième a trait aux ex-esclaves officiellement affranchis mais restant au service exclusif de leurs anciens maîtres, qui continuent à les nourrir sans jamais leur payer de salaire ; la troisième catégorie, expliquent les enquêteurs, est formée « de serviteurs, utilisés comme des domestiques corvéables à merci », ce qui est un phénomène très fréquent aussi bien dans les milieux ruraux qu’urbains, dans la province de Hajjah. Dans la pratique, les personnes appartenant à cette troisième catégorie sont traitées en esclaves. Si un serviteur tente de fuir son employeur, « il est traqué, battu et humilié », écrit le ministère dans son rapport, ajoutant que les autorités régionales de Hajjah avaient « officiellement admis que la traite et l’esclavage » étaient encore pratiqués dans leur province. Ces serviteurs « ne se vendent pas et ne s’achètent pas, mais dans la pratique, ils mènent une vie d’esclaves », note le coordinateur de Hood. De l’avis de ce dernier, les victimes des pratiques esclavagistes sont généralement des Africains noirs descendants de l’ancienne Ethiopie, qui ont dirigé des régions de l’actuel Yémen aux XIe et XIIe siècles avant d’être asservis à la chute de leur dynastie, celle des Béni Najah. « Un comité de dignitaires va visiter les régions où vivent ceux qui pratiquent l’esclavagisme pour les informer sur la gravité de leur crime », a annoncé le responsable de Hood, menaçant de « poursuivre en justice ceux qui s’estiment maîtres et qui asservissent d’autres citoyens ».

Un crime passible de dix ans de prison
La Constitution yéménite interdit l’esclavage et, selon le code pénal, ce crime est passible de dix ans de prison. « Le gouvernement a déjà effectué un recensement, malheureusement incomplet » et « nous espérons qu’il coopérera » avec Hood, d’autant que « les autorités dans la province de Hajjah cherchent à masquer ce phénomène », a encore déclaré M. Allaou, soulignant les difficultés rencontrées sur le terrain. « La campagne nécessite de l’argent et beaucoup d’efforts. Notre organisation a des moyens limités. Nous cherchons à coopérer avec ceux qui s’y intéressent », a-t-il lancé à l’adresse du gouvernement « en premier lieu », mais aussi des ONG locales et internationales. De son côté, l’Unicef, qui depuis des années tente de faire la lumière sur la situation, n’a pas été tendre avec le gouvernement yéménite. Elle a fait appel à la contribution des autorités yéménites, mais celles-ci ont toujours refusé d’examiner le problème pour des raisons ayant trait à la religion. L’Islam étant la religion d’Etat au Yémen, les enfants doivent être automatiquement protégés et il est inconcevable que la violation des droits des enfants dans ce pays extrêmement religieux soit à l’ordre du jour. Il s’agit-là d’un tabou et aussi d’un dossier à ne pas traiter afin de ne pas froisser les susceptibilités. Et cela se fait au détriment des enfants victimes de cette pratique. Pour l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), il semblerait que le gouvernement yéménite est de plus en plus conscient de la tragédie. « Il y a deux ans, nous ne pouvions même pas parler officiellement de ce problème », a confié à l’AF, Stefano Tamagnini, représentant de l’OIM. « Maintenant, il commence à accepter le mot trafic », dit-il. Mais le rythme auquel le gouvernement prend connaissance de la situation ne rejoint pas celui des trafiquants qui, mois après mois, poursuivent leur trafic sans être inquiétés. Ces dernières années, les langues se sont déliées, notamment après l’affaire du juge qui aurait approuvé la vente d’un esclave. Ce scandale, révélé par un groupe local de défense des droits de l’homme, a fait le tour du monde et a fait réagir les autorités et le ministre de la Justice du Yémen. Un comité judiciaire a été installé pour enquêter sur le rapport élaboré par le groupe de défense des droits de l’homme, qui a cité un contrat juridique pour la vente d’un homme de 26 ans nommé « esclave Qannaf » l’année dernière, portant la signature d’un juge et de plusieurs autres fonctionnaires de la cour. Le juge avait été convoqué pour interrogatoire et sera puni si l’histoire s’avère vraie.
Par Nabila Amir
f
29 juillet 2010 22:33
Ces femmes sont peut être aussi ravies de découvrir autre chose et de sortit de leur famille et du potentat masculin
l
30 juillet 2010 15:45
Citation
gemia a écrit:
Ces femmes sont peut être aussi ravies de découvrir autre chose et de sortit de leur famille et du potentat masculin

Bon elles vont sortir du potentat masculin pour entrer dans le potentat patronal. Ces femmes sont une force de travail bon marché point. l'État marocain, l'État espagnole, les exploitants agricoles n'ont en rien à cirer de leur conditions de femme. La preuve une fois leur contrat fini, elle rentre à la maison.
الزيت يخرج من الزيتونة والفاهم يفهم لغات الطير إلى ما تخرج كلمته ميزونة يحجرها في ضميره خير
f
30 juillet 2010 15:53
Certes elles rentrent à la maison mais avec un salaire digne malgrè tout car il résulte de leur travail,avec un contrat papier et non pas "au black" comme pour les employés de maison)!Qui peut témoigner directement ?Y a t'il des personnes sur ce forum qui l'ont Fait?
l
30 juillet 2010 17:10
Citation
gemia a écrit:
Certes elles rentrent à la maison mais avec un salaire digne malgrè tout car il résulte de leur travail,avec un contrat papier et non pas "au black" comme pour les employés de maison)!Qui peut témoigner directement ?Y a t'il des personnes sur ce forum qui l'ont Fait?

Bon là il faut être sérieux un peu : au début tu nous sorts le couplet habituel sur la condition féminine (comme si ces femmes allaient en vacance sur la costa d'el sol) ensuite tu nous gratifie de l'argument fallacieux "du moins pire".

Que ce soit bien claire, je ne met en aucun cas ces femmes courageuses en cause. Elle ont saisi une occasion qui devait les sortir (temporairement) d'une condition difficile. Mais en aucun cas cela n'atténuera la responsabilité des autorités marocaines qui ont démissionné de leur rôle sociale dans la situation de ces femmes. De même que la responsabilité des autorités espagnoles qui tolère ce genre de comportement et qui de fait pénalise le travailleur espagnole (même si j'en ai rien à cirer de celui là).
الزيت يخرج من الزيتونة والفاهم يفهم لغات الطير إلى ما تخرج كلمته ميزونة يحجرها في ضميره خير
f
30 juillet 2010 18:51
C'est vrai que le travail social d'une population est un sacré challenge(mais cela demande que tout le monde sorte de l'argent selon ses revenus!)Le Maroc est-il prêt pour cela?
Y
13 août 2010 12:08
Je trouve que c'est une bonne opportunité qui est offerte là à nos marocaines du monde rurale..

Certes le travail est très dur, mais ça leur permet de gagner 1000€ par mois..et heureusement qu'elles ne font pas ça toute l'année, mais juste 3-4 mois.

Ces 3-4 mois leur permettre de revenir au Maroc avec un salaire de un an de travail au Maroc. De quoi aidé leurs familles souvent issues du monde rurale.

Lah yi3awen nos femmes marocaines partout dans le monde.

PS : L'article que vous avez publié est un peu vieux, il date de mai 2008.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/08/10 12:13 par You84.
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