moi je suis pour le kif,je ne fume pas et je ne l'ai jamais fumé,cequ il faut faire disparaitre c'est l'alchool il fait beacoup plus de deguat chez les gens que le kif.j'adore m'assoir avec les gens qui fument le kif,ils vous raconte des histoires toute la nuit
teleboutik a écrit: ------------------------------------------------------- > LE KIF FAIT PARTI DU PATRIMOINE CULTUREL DU MAROC, > IL NE DOIT PAS DISPARAITRE.
j'espère pour vous que vous n'aurez jamais des enfant dependant du kif
car vous soufrirez avec eux le jour ou il vous metra un couteau sur votre gorge ou celle de sa mère pour lui en acheté ou ils vot agressés pour l'avoir.
le kif ça rapporte trop d'argent à l'etat et aus paysans
comme a dit un paysan je me souviens: je vais planter des patates je vais gagner des misères...je plante du kif..ça va très bien .......c'est la culture de l'argent malheureusement
hakim075 a écrit: ------------------------------------------------------- > le kif ça rapporte trop d'argent à l'etat et aus > paysans > > comme a dit un paysan je me souviens: je vais > planter des patates je vais gagner des > misères...je plante du kif..ça va très bien > .......c'est la culture de l'argent > malheureusement
il plante les patates ou autre chose au moins il aura la conscience tranquille et que va faire avec cette argent lorsque il crève il n'emportera rien ou plutôt les malheurs des victimes
TOUCHE PAS A MON KIF de toute façon, ya rien d'autre qui peut pousser sur les terres, même les patates ça marche pas, ils pourraient essayer le pavot....
technocrate, tu confonds le Kif avec l'héroïne et la cocaïne, on a encore jamais vu quelqu'un mettre le couteau sous la gorge de son père pour s'acheter un joint.
Pour ta gouverne, sache que dans le nord il est pas rare qu'un père de famille sorte son sebssi juste après le repas.
Je préfère m’asseoir à coté des fumeurs de kif qu’à coté des buveurs de vin. Les fumeurs de kif sont pacifiques, Ils ne cherchent pas la bagarre, tandis que les buveurs de vin sont majoritairement très agressifs (Les alcooliques battent leurs femmes jamais les fumeurs de kif). Je vous le dis en toute franchise. J’ai bu le vin et j’ai fumé le haschisch. Les meilleures soirées sont celles que j’ai passées en compagnie des fumeurs de joint. Fumer le kif est moins grave que sniffer la cocaïne (je ne l’ai jamais essayée). D’après les consommateurs de la cocaïne, la dépendance à cette dernière est très forte et plus grave (ouallahou alam). Pour l’Instant je ne bois pas le vin depuis 1983 et j’ai arrêté de fumer il y a 2 ans sans aucun problème.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/09/04 15:42 par kardach.
bravo Kardash!pour avoir arreté de fumer,c'est une preuve qu'on ne devient pas fort dependant de Ktama,mais j'aime l'enbience des gens qui la fume surtout le kif pas le hash ,le fumeur de kif au moment ou il sort son sebssi il s'incarne en roi,les gestes ,les paroles!!un vrais roi..
Voici quelques extraits que personnellement je trouve qu’ils sont véridiques.
"Des études scientifiques toutes récentes aux Pays-Bas et en Australie ont tout démontré que les conducteurs sous influence de THC provoquent moins d’accidents que des personnes lucides, il est donc prouvé que ces conducteurs ne représentent pas un danger potentiel supplémentaire"
"L’intérêt pour le Cannabis a été développé davantage par plusieurs écrivains et poètes populaires qui consumaient et écrivaient à propos du haschisch avec enthousiasme, dont Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, et Théophile Gautier. Gautier et Baudelaire étaient membres du Club des haschisch, où un grand nombre d’écrivains se rassemblaient de manière à expérimenter la drogue. Le phénomène du Haschisch qui attirait leurs attentions était l’augmentation de la sensibilité de leurs cinq sens. Sous l’influence de Haschisch, quelqu’un peut éprouver de la joie et de la douleur intense en entendant certains sons. Ils peuvent sentir fortement les harmonies de même que les rythmes. Le haschisch et l’opium semblaient offrir aux artistes les expériences émotionnelles intenses qu’ils croyaient essentielles pour créer une œuvre d’art. Cela offre la libération de tous les dons imaginatifs perdus dans l’esprit du poète, et l’opportunité d’examiner sa propre âme à la recherche de quelque chose de nouveau".