Le pardon peut être demandé en toute circonstance.
J'ajoute que pour celle ou celui qui est empêché de jeuner pour une cause valable (la femme qui a ses menstrues ou qui vient d'accoucher, le voyageur, le malade ...). Pour cette personne, si elle avait l'intention de jeuner cette année ou avait l'habitude de le faire les années précédentes, son intention est suffisante et elle peut espérer profiter de ces mérites.
Citation :
Celui qui s’abstient du jeûne en raison d’une excuse comme la femme qui voit ses règles , celle qui est dans ses couches, le malade et le voyageur, s’il avait l’habitude de jeûner ces jours là ou avait l’intention de les jeûner, l’intéressé serait récompensé pour son intention, compte tenu de ce qui a été rapporté par al-Boukahri (2996) d’après Abou Moussa (P.A.a) selon lequel le Messager d’Allah (Bénédiction et salut soient sur lui): « Quand un fidèle tombe malade ou voyage, on lui inscrit la récompense de ce qu’il faisait quand il était sain et résident.»
Ibn Hadjar (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dit: les propos « on lui inscrit la récompense de ce qu’il faisait quand il était sain et résident» concerne celui qui accomplissait un acte d’obéissance puis en est empêché alors qu’il nourrissait l’intention de le pérenniser.» Fateh al-Bari.