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BulleBelleRebelle a écrit:
La perfection n'existe pas sauf dans les contes de fées ...
La Romantique. Ce qu'elle dit : J'attends le "Bon". Ce que ça cache : La romantique n'a pas grandi. Elle est cantonnée dans la toute-puissance de l'enfant qui croit qu'il peut tout avoir. Cette femme qui peut être brillante, performante, lucide dans une multitude de domaines, est totalement aveugle dès qu'il s'agit de se confronter à la réalité affective !
Elle reste en haut de sa tour d'ivoire et attend le prince charmant. Elle pare sa peur de tous les atours du romanesque et de l'amour sublime, mais elle vit dans un total déni du quotidien. Mauvaise nouvelle : elle peut attendre longtemps, car si elle ne va pas vers l'autre, l'autre ne viendra pas vers elle. Surtout si elle n'accepte pas l'éventualité que le prince charmant ne sera jamais qu'un être humain, c'est à dire faillible et rempli de défauts...comme elle.
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princess819 a écrit:
Moi je me reconnais dans le 4e type : la Romantique !! ça craint je peux toujours courire alors pour trouver mon prince charmant lol
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Hafida- a écrit:Citation
princess819 a écrit:
Moi je me reconnais dans le 4e type : la Romantique !! ça craint je peux toujours courire alors pour trouver mon prince charmant lol
Moi c'est kif kif, plus le 4
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princess819 a écrit:Citation
Hafida- a écrit:Citation
princess819 a écrit:
Moi je me reconnais dans le 4e type : la Romantique !! ça craint je peux toujours courire alors pour trouver mon prince charmant lol
Moi c'est kif kif, plus le 4
Bienvenue au club Hafida mais on risque d'attendre longtps le prince charmant !! lol
TRés beau travailCitation
Monoki a écrit:
Dans un récent n° de "Psychologies Magazine", j'ai lu une enquête sur les raisons avancées par les filles célibataires quant à leur célibat.
Ils ont établi une typographie par "blocage" ou "peur" des célibataires qui est intéressant, mais je voudrais votre avis, les filles de Yabiladi. Avis masculins bienvenus aussi.
1er type de célibataire décrit : la Résignée, "Je ne rencontre jamais personne".
Ce que ça cache : C'est la vérité, elle ne rencontre jamais personne. Aucun risque. Elle préfère s'avouer vaincu avant d'avoir livré la bataille, et ne pas affronter l'éventuel danger de la rencontre. Sa négation est un blindage sécurisant contre un total manque de confiance en elle.
D'ailleurs, pour peu qu'on la pousse, elle finira très vite par avouer : "de toute façon je suis nulle !"
2e type : La Guerrière. Ce qu'elle dit : "Je fais peur aux hommes".
Ce que ça cache : Bien sûr elle fait peur aux hommes, cette amazone forte et sûr d'elle-même. Et dont personne ne voit qu'à l'intérieur pleure une enfant blessée.
De quelle souffrance de la petite fille répare la grande ? De qui se venge-t-elle ? De son père, de son grand-père, de son frère, de son oncle , de son patron, de son ex...?
3e type : L'Indépendante. Ce qu'elle dit : "J'aime trop ma liberté".
Ce que ça cache : Elle bosse beaucoup, fait du sport, de la musique, court les expos et les concerts, voit ses copines et part en vacances, bref, elle n'a pas une minute à elle. Où donc coller un Post-it "Homme" dans cet agenda-la ? En fait, elle a pris le problème à l'envers : sa vie n'est pas trop remplie pour que s'y glisse un homme, elle l'a saturée pour qu'un homme n'y trouve pas sa place. Doù vient ce besoin de contrôle absolu, cette peur de lâcher prise et de s'abandonner ? Sans doute, dans son histore, de la présence d'un parent intrusif et autoritaire, toujours à juger ce qu'elle faisait, toujours à critiquer, toujours à porter un regard inquisiteur. Comme la petite fille n'a pas pu dire "non" à ce regard inquisiteur, la grande craint de ne pas savoir le faire face à un homme. Donc, elle verrouille et ne laisse aucune place vacante.
4e type : La Romantique. Ce qu'elle dit : J'attends le "Bon".
Ce que ça cache : La romantique n'a pas grandi. Elle est cantonnée dans la toute-puissance de l'enfant qui croit qu'il peut tout avoir. Cette femme qui peut être brillante, performante, lucide dans une multitude de domaines, est totalement aveugle dès qu'il s'agit de se confronter à la réalité affective !
Elle reste en haut de sa tour d'ivoire et attend le prince charmant. Elle pare sa peur de tous les atours du romanesque et de l'amour sublime, mais elle vit dans un total déni du quotidien. Mauvaise nouvelle : elle peut attendre longtemps, car si elle ne va pas vers l'autre, l'autre ne viendra pas vers elle. Surtout si elle n'accepte pas l'éventualité que le prince charmant ne sera jamais qu'un être humain, c'est à dire faillible et rempli de défauts...comme elle.
5e type : La Platonique : Ce qu'elle dit : "Je n'aime pas le s.exe"
Ce que ça cache : Elle adore son boulot, elle est entourée d'amis, bref, elle a d'excellentes relations avec les autres. Tant que le s.exe n'est pas en cause. Elle n'a pas peur de l'amour, mais de la sexualité - c'est d'ailleurs le propre de toutes les femmes qui la connaissent peu ou mal. Avant, pour le meilleur ou pour le pire, elles affrontaient cette peur dans les bras de leur mari. Aujourd'hui, elles utilisent un célibat parfaitement admis par tous pour la camoufler sous la forme d'une libido absente. Mais plus le temps passe, plus la peur s'enkyste. D'autant que notre société hypersexualisée n'est pas faite pour les rassurer. S'ajoute, en effet, la peur de ne pas savoir répondre à ces diktats de jouissance, qui enferment nos platoniques dans une "anormalité".
6e type : La Femme blessée. Ce qu'elle dit : Je ne veux plus souffrir.
Ce que ça cache : qu'elle ait perdu un homme, qu'elle l'ait quitté ou qu'elle ait été abandonnée, la victime associe amour et souffrance. Ou alors, à l'inverse, elle n'arrive pas à faire le deuil d'une histoire magnifiée. Ou encore, elle garde en tête un homme idéalisé, un père, un frère, un ami...
Dans tous les cas, elle n'a pas su faire le travail de deuil nécessaire. En restant victime, elle n'est pas actrice de sa vie et ne peut pas se rendre disponible pour une nouvelle histoire. En restant prisonnière d'une histoire magnifiée, elle repousse la rencontre pour ne pas rompre avec son imaginaire. Elle est célibataire, mais elle n'est pas seule, en tout cas pas disponible.
7e type : La Mère Souffrante. Ce qu'elle dit: Mes enfants ne m'accepteront jamais.
Ce que ça cache : en s'abritant derrière ses enfants, elle cache son refus de l'engagement,sa peur de la rencontre. On trouve en elle de l'infirmière et de la platonique : être mère lui sert d'alibi pour ne pas être femme. Le drame, c'est que ses enfants risquent de ressentir, plus tard, une immense culpabilité à vivre et à aimer ailleurs, puisqu'elle même n'aura pas su. Il sera alors très difficile pour eux de se rebeller contre ce qu'ils prennent pour de l'amour, et risquent de se réfugier dans la violence pour tenter de couper plus vite ce cordon qui les étouffe.
8e type : L'Infirmière. Ce qu'elle dit : "Je ne tombe que sur des losers".
Ce que ça cache : le pire, c'est que c'est vrai. Mais elle y est pour beaucoup puisqu'elle pense ne pouvoir être aimée que lorsqu'elle est utile.
A tous les coups, elle va être attirée par un homme avec une blessure narcissique qu'elle va vouloir réparer. Or, c'est un binôme fondé sur la souffrance. Car en aimant l'autre, elle croit s'aimer elle. Mais l'autre est un vampire : il va l'aspirer jusqu'à ce qu'elle n'ait plus rien à donner. Et la jeter.
Elle pourra alors se morfondre en disant "avec tout ce que j'ai fait pour lui". Cette idée de l'amour vient souvent des injonctions parentales. N'entend-elle pas toujours sa mère lui dire : "Je ne comprends pas que tu sois seule, tu as tout pour rendre un homme heureux" ?
Mais on ne parle pas d'amour ici. On parle de dévouement.
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Voili voilou on dit merci qui pour ce long compte-rendu ?
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mouna067 a écrit:
6e type : La Femme blessée. Ce qu'elle dit : Je ne veux plus souffrir.
Ce que ça cache : qu'elle ait perdu un homme, qu'elle l'ait quitté ou qu'elle ait été abandonnée, la victime associe amour et souffrance. Ou alors, à l'inverse, elle n'arrive pas à faire le deuil d'une histoire magnifiée. Ou encore, elle garde en tête un homme idéalisé, un père, un frère, un ami...
Dans tous les cas, elle n'a pas su faire le travail de deuil nécessaire. En restant victime, elle n'est pas actrice de sa vie et ne peut pas se rendre disponible pour une nouvelle histoire. En restant prisonnière d'une histoire magnifiée, elle repousse la rencontre pour ne pas rompre avec son imaginaire. Elle est célibataire, mais elle n'est pas seule, en tout cas pas disponible.
je me reconnais totalement