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heywa a écrit:
Le sondage veut nous faire croire qu'on est tellement stupides qu'on croient nous même etre nos pires ennemies pour évoluer professionnellement.
Chers sondeurs, je pense qu'au contraire on est très lucides qd aux obstacles que l'on rencontre et ces obstacles existent bel et bien on a rien inventé.
En plus, renoncer a une carrière prometteuse ce n'est pas se mettre des bâtons dans les roues c faire des choix de vie ce qui est complètement différent.
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yallahah99 a écrit:Citation
heywa a écrit:
Le sondage veut nous faire croire qu'on est tellement stupides qu'on croient nous même etre nos pires ennemies pour évoluer professionnellement.
Chers sondeurs, je pense qu'au contraire on est très lucides qd aux obstacles que l'on rencontre et ces obstacles existent bel et bien on a rien inventé.
En plus, renoncer a une carrière prometteuse ce n'est pas se mettre des bâtons dans les roues c faire des choix de vie ce qui est complètement différent.
De choix de vie.....rester à la maison pour y faire le ménage est l'ambition qui se propage chez de plus en plus de femmes chez nous. Dépendre financièrement de son mari également.
Se plaindre qu'elles grossissent parce qu'elles s'ennuient et mangent pour combler ce vide.
C'est ce que je vois de plus en plus autour de moi. Je parle des femmes musulmanes.
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heywa a écrit:Citation
yallahah99 a écrit:Citation
heywa a écrit:
Le sondage veut nous faire croire qu'on est tellement stupides qu'on croient nous même etre nos pires ennemies pour évoluer professionnellement.
Chers sondeurs, je pense qu'au contraire on est très lucides qd aux obstacles que l'on rencontre et ces obstacles existent bel et bien on a rien inventé.
En plus, renoncer a une carrière prometteuse ce n'est pas se mettre des bâtons dans les roues c faire des choix de vie ce qui est complètement différent.
De choix de vie.....rester à la maison pour y faire le ménage est l'ambition qui se propage chez de plus en plus de femmes chez nous. Dépendre financièrement de son mari également.
Se plaindre qu'elles grossissent parce qu'elles s'ennuient et mangent pour combler ce vide.
C'est ce que je vois de plus en plus autour de moi. Je parle des femmes musulmanes.
Lol tu es bien pessimiste...
Oui oui je parle de choix de vie car si g une carrière pro, cela ne m'empêche pas de vouloir d'abord une vie de famille.
Pkoi tenir son foyer serait degradant et perçu comme un manque d'ambition !? Élever ses enfant et tenir un foyer c du boulo aussi, ce n'est pas moins valorisant qu'être directrice de je ne sais quelle boite.
Hé bien moi, autour de moi c etrange je fais un tout autre constat.
Les femmes que je connais la plupart d'entre elles ont fait de bonne études, des carrières prometteuses mais une fois mariée, avec des enfants et qques années après, leur idéal serait de ne pas travailler ! Pkoi !? Parcequ'elles trouvent qu'elever leurs enfants, s'occuper d'elles et de leur couple c plus enrichissant.
D'autres ne sont pas mariée encore et ont de bon job mais espèrent se caser rapidement et bosser moins, voir pas du tout !
Moi même j'etait carrieriste plus jeune, je le suis encore un peu mais c parce que je suis célibataire....dans la vie ya des priorités et pour moi la vie pro passe après la vie de famille et c en cela que je dis que c un choix.
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yallahah99 a écrit:Citation
heywa a écrit:Citation
yallahah99 a écrit:Citation
heywa a écrit:
Le sondage veut nous faire croire qu'on est tellement stupides qu'on croient nous même etre nos pires ennemies pour évoluer professionnellement.
Chers sondeurs, je pense qu'au contraire on est très lucides qd aux obstacles que l'on rencontre et ces obstacles existent bel et bien on a rien inventé.
En plus, renoncer a une carrière prometteuse ce n'est pas se mettre des bâtons dans les roues c faire des choix de vie ce qui est complètement différent.
De choix de vie.....rester à la maison pour y faire le ménage est l'ambition qui se propage chez de plus en plus de femmes chez nous. Dépendre financièrement de son mari également.
Se plaindre qu'elles grossissent parce qu'elles s'ennuient et mangent pour combler ce vide.
C'est ce que je vois de plus en plus autour de moi. Je parle des femmes musulmanes.
Lol tu es bien pessimiste...
Oui oui je parle de choix de vie car si g une carrière pro, cela ne m'empêche pas de vouloir d'abord une vie de famille.
Pkoi tenir son foyer serait degradant et perçu comme un manque d'ambition !? Élever ses enfant et tenir un foyer c du boulo aussi, ce n'est pas moins valorisant qu'être directrice de je ne sais quelle boite.
Hé bien moi, autour de moi c etrange je fais un tout autre constat.
Les femmes que je connais la plupart d'entre elles ont fait de bonne études, des carrières prometteuses mais une fois mariée, avec des enfants et qques années après, leur idéal serait de ne pas travailler ! Pkoi !? Parcequ'elles trouvent qu'elever leurs enfants, s'occuper d'elles et de leur couple c plus enrichissant.
D'autres ne sont pas mariée encore et ont de bon job mais espèrent se caser rapidement et bosser moins, voir pas du tout !
Moi même j'etait carrieriste plus jeune, je le suis encore un peu mais c parce que je suis célibataire....dans la vie ya des priorités et pour moi la vie pro passe après la vie de famille et c en cela que je dis que c un choix.
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Kabi101 a écrit:
Les femmes sont leur pire ennemie en ce qui concerne leur avancement professionnel. Elles accordent trop d’importance à ce qu’elles perçoivent comme étant des obstacles à leur avancement et pas assez d’importance à ce qu’elles ont à offrir.
La conciliation travail-famille est l’obstacle le plus important à leur progression, et les congés de maternité les empêchent d’obtenir une promotion.
Telles sont les constats selon une nouvelle étude issue de Ipsos-Reid.
J’aurais aimé savoir l’avis des working-girls:
Est-ce que l’étude a bien cerné le problème?
Vivez-vous les mêmes obstacles?
Y en a-t-il d’autres que l’étude n’y s’est pas penché?
Que pensent-vous?
Les femmes sont-elles responsables de leur insuccès professionnel?
Par Brenda Bouw (Blogue Finance de Yahoo Québec)
Les femmes sont leur pire ennemie en ce qui concerne leur avancement professionnel. Elles accordent trop d’importance à ce qu’elles perçoivent comme étant des obstacles à leur avancement et pas assez d’importance à ce qu’elles ont à offrir, selon une nouvelle étude.
Le sondage Ipsos-Reid, effectué pour Randstad Canada, révèle que plusieurs femmes sont ralenties dans leur avancement professionnel par les apparences et leur statut familial, mais ce serait leur propre perception de ces facteurs qui seraient réellement à blâmer. Par exemple, 90 % des 500 répondantes au sondage ont affirmé que leur image, incluant leur apparence, a un effet important sur leur progression professionnelle. Seulement 37 % d’entre elles pensent que cela est également vrai pour les hommes.
Trois femmes sur cinq affirment que la conciliation travail-famille est l’obstacle le plus important à leur progression, et près de la moitié d’entre elles affirment que cette conciliation a une incidence sur leur progression professionnelle. Vingt-quatre pour cent d’entre elles affirment que leur congé de maternité les a empêchées d’obtenir une promotion.
Le sondage révèle que ces questions ne peuvent être abordées par les politiques et les procédures administratives des entreprises, « en raison de la manière dont la société perçoit les femmes et de la complexité des relations entre les femmes et les hommes ».
Que ces problèmes soient réels ou non, ou simplement une question de perception, ce n’est pas nécessairement le plus important, dit Gina Ibghy, chef des ressources humaines chez Randstad Canada. « Si les femmes choisissent de croire que ce qu’elles perçoivent est vrai, elles vont agir en conséquence, dit-elle pour encourager les femmes à changer d’attitude.
L’idée est de changer cette perception et de ne pas mettre toutes vos énergies à attribuer à votre apparence ou votre statut de mère vos difficultés à progresser dans votre carrière, mais à vous concentrer sur ce que vous pouvez contrôler afin d’accroitre vos responsabilités et votre valeur au sein de l’entreprise. »
L’avancement professionnel des femmes dans le monde du travail fait débat depuis fort longtemps et cette question est récemment revenue au premier plan au Canada. Plus tôt en octobre, le Régime de pensions des enseignantes et des enseignants de l’Ontario a demandé à l’organisme de règlementation des valeurs mobilières de l’Ontario d’exiger que les entreprises publiques nomment au moins trois femmes dans leurs conseils d’administration.
Les femmes font des avancées importantes au Canada. Par exemple, cet été, Kathleen Taylor est devenue la première femme élue présidente d’une grande banque canadienne, en étant nommée à la tête du conseil d’administration de la Banque Royale du Canada. Un nombre record de femmes sont également à la tête de nombreuses provinces, notamment en Colombie-Britannique, en Alberta, en Ontario, au Québec, au Nunavut et à Terre-Neuve-et-Labrador.
Néanmoins, les femmes ont encore beaucoup de chemin à faire pour occuper des rôles de leaders. Selon un rapport du Conference Board of Canada publié en mai, le nombre de femmes occupant des rôles de cadres intermédiaires et dans la haute direction stagne depuis 20 ans. Le rapport indique également que les hommes qui occupent ces rôles font partie du problème puisqu’ils ne reconnaissent pas que le manque de femmes dans ces rôles est un problème.
Dans l’étude de Randstad, on a demandé à des femmes chefs d’entreprises si le fait d’avoir eu des patrons de sexe masculin ou féminin a eu une incidence sur leur avancement professionnel. Les réponses ont été partagées.
Selon le rapport, « celles qui considèrent que le sexe joue un rôle pensent que les patronnes sont plus susceptibles de freiner leur progression que les patrons », ce qui contredit la perception que les femmes se soutiennent mutuellement au travail.
On a également demandé aux participantes qui, des hommes ou des femmes, font de meilleurs patrons. Il est peu surprenant que 65 % des répondantes ont répondu les femmes, expliquant leur choix par les meilleures communications et compétences organisationnelles des femmes, ainsi que leur plus grande empathie.
De plus, 77 % des répondantes croient que les femmes doivent travailler plus fort et plus longtemps que les hommes pour gravir les échelons.
Randstad se servira de l’étude pour lancer sa campagne « Women Shaping Business » qui, espère-t-elle, suscitera des changements positifs pour les femmes sur le marché du travail canadien.
« Il ne fait aucun doute que les femmes font d’excellentes leaders. Notre objectif est d’encourager les dirigeants, les employés et tous les Canadiens à discuter avec honnêteté des derniers tabous des entreprises qui créent des obstacles pour les dirigeantes », explique Mme Ibghy.
Ce texte est une traduction de « Are women to blame for lack of career success? », publié sur Yahoo! Canada.
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Kabi101 a écrit:
Merci de votre participation.
Hewa:
Donc selon toi, les spécialistes de cette étude sont mal informés et se trompent sur les causes du non succès des femmes. Pourrais-tu donc nous expliquer le constat que ce sont les femmes, elles-mêmes questionnées, qui ont révélés à ces spécialistes ces faits ?
En passant, les sondeurs ne lisent pas ta réponse ici sur ce forum, il serait judicieux de leur écrire directement, essaies de chercher les contacts de Ipsos-Reid sur leur site web.
Yallahah99: Lorsque tu dis:
'' C'est l'ambition qui se propage chez de plus en plus de femmes chez nous''
''C'est ce que je vois de plus en plus autour de moi.''
C'est où ça ce CHEZ VOUS et ce AUTOUR DE TOI ?
Hewa: également pour toi quand tu expliques que:
''Hé bien moi, autour de moi c etrange je fais un tout autre constat. '' et aussi ''Les femmes que je connais…''
C'est où ça ce AUTOUR DE TOI et de ou se trouvent ces femmes que TOI TU CONNAIS.
J'ai la nette conviction que vous vivez dans deux environnements totalement opposés, et chacune de vous côtoient des femmes qui sont diamétralement opposés, c'est ce qui explique vos points de vue totalement différents. Donc une explication de ces ''entourages'' pourrais bien clarifier la situation.
Stoique
Merci de ta participation, mais pourrais-tu développer un peu plus l'idée que '' Le meilleur succès d'une femme c'est d'éduquer la génération de demain'' ?
Merci
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yallahah99 a écrit:
CHEZ NOUS signifie chez les musulmans.
AUTOUR DE MOI c'est mon milieu familial et amical..
Les deux donc se recoupent. J'ai des belles-soeurs, cousines qui soit arrêtent leurs études les jugeant inutiles puisqu''elles vont "de toute façon se marier" et donc "s'occuper de leurs enfants".
Soit ont fait des études supérieures (master2 entre autres...) pour renoncer à travailler.
A quoi bon se battre pour obtenir des droits sociaux équivalents à ceux des hommes si c'est pour être
dépendantes d'eux?
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yallahah99 a écrit:
CHEZ NOUS signifie chez les musulmans.
AUTOUR DE MOI c'est mon milieu familial et amical..
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Kabi101 a écrit:
La question qui se pose : est ce que ce sont ces personnes qui doivent changer cette perception qu’ils ont de la femme ? ou est ce que ce sont les femmes qui doivent cesser de s’auto-percevoir comme tel ?
L’étude relate que ‘’L’idée est de changer cette perception et de ne pas mettre toutes vos énergies à attribuer à votre apparence ou votre statut de mère’’
Quand on dit : ‘’Pour ce qui est du physique il compte plus pour la femme, peu importe le post on attend d’une femme qu’elle soit top ou du moins agréable visuellement.’’
Es ce que ce sont les autres qui veulent que la femme soit vue ainsi, ou est-ce que ce sont les femmes elles-mêmes qui donnent trop d’importance à ce point-ci ?
En passant il y a un ensemble d’article très intéressant dans la revue de Harvard business magazine du mois de septembre dernier, révélant justement le rôle des femmes dans le monde professionnel.
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Hewa a écrit:
Ha oui et je reviendrais te répondre kabi concernant ton intervention, pour le moins hautaine je trouve.