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Des essais
C
14 mars 2016 11:02
Je suis complètement dingue… Je ne fais que penser à elle…Depuis qu’elle m’a déposé en bas de mon immeuble mon cœur bat la chamade…Comment est-ce possible ?

Il est 5h37 je me prépare pour aller me recueillir et demander pardon à mon Seigneur, mais impossible de l’effacer de ma tête… Je ne connais cette fille que depuis deux heures et je suis complètement fou d’elle…

A chaque pas que je fais pour me diriger vers la mosquée, son visage et son sourire ne me quitte pas, je m’étais pourtant promis d’être fort vis-à-vis des femmes… J’avais tenu bon jusqu’alors, j’avais à chaque fois fais sauter d’un revers de manche toutes les approches de ces femmes à l’envie décadente… Un peu facile me dirait vous après avoir multiplié les conquêtes ? Non il en est rien…Les femmes me fascinent et j’ai toujours cherché à les comprendre, les décrypter, les analyser…Cependant au temps le dire tout de suite je n’y suis jamais arrivé…

Ma « nuit » de sommeil a été chaotique impossible de trouver le sommeil moi qui aime tant me retrouver dans ma couette et partir vers des horizons lointains…

Je me lève et prépare mon sac pour aller à l’entrainement sans trop d’envie ni de motivation. Je n’ai plus de voiture mais heureusement ma dulcinée m’attend au garage.

Un tour de clé et me voilà tout émoustillé, quel bruit, quelle courbe elle me rend dingue… C’est une italienne, une passionnée, brulante et tellement attachante… La ligne Termignoni la rend encore plus séduisante… Je l’enfourche et direction la rocade pour un pur moment de jouissance…Les voitures défilent, le temps s’arrête, l’extase totale…

J’arrive au Gym et croise les habitués, Mehdi qui est notre champion chez les cruisers, Nabil le déjanté et mon ami de toujours Mambi…

- « Oh là, tu as fais quoi cette nuit mon petit halouf ? »
- « Arrête je n’ai pas envie de rigoler, je suis crevé sérieux… »
- « Tu es certain de vouloir tourner ce matin »
- « J’ai besoin de me défouler de me vider la tête »

Malheureusement la séance de sparring a été catastrophique, je me suis fait laminé, quand le corps et l’esprit sont absent ce n’est même pas la peine…

- « Soufiane, frérot c’est quoi le problème ? »
- « Mambi il faut que je te raconte une histoire un peu bizarre, j’ai besoin de tes conseils… »

Je lui raconte alors le déroulement de ma soirée complètement folle, de ma rencontre avec Leila, de mon coup de cœur complètement dingue etc…

Et dire que sa réponse va finalement changer à jamais le déroulement de ma vie...
Incroyable…
C
16 mars 2016 11:36
- « Tu es sur et certain de ce que tu racontes !? »
- « Soufiane, quand même…J’ai grandi avec ses frères et son frère Morad était super pote avec ma petite sœur Assiata ou collège. »

Je pers pied quand il m’annonce cela, mon cœur se serre mon estomac se noue ma bouche se dessèche je suis un homme en sursis…La peine capitale semble proche et le verdict inéluctable : Cupidon m’a envoyé une flèche sanglante et brulante, l’amour…

Je compose le numéro de Najib qui est du même quartier que Morad il va pouvoir m’en dire plus j’espère…J’ai la voix qui tremblote quand Najib décroche :

- « Salam alaykom Soufiane ca fait plaisir comment tu vas ? »
- « Bien, bien et toi la forme, tu bosses toujours chez Sagem, ton frère Said vit toujours à Bali ? »
- « Oui il s’est marié avec une indonésienne, il est à fond c’est un malade ! »
- « Najib j’ai une petite question tu connaitrais Leila la petite sœur à Morad »
- « Oui je la connais !Meskina tu es au courant de ce qu’il lui est arrivé ? »

Seigneur tout puissant je suis en lévitation émotionnelle tout s’arrête, « meskina » il est donc arrivé malheur à Leila ! Je savais que je n’aurais jamais du la laissé partir ce soir là, quel lâche j’ai été, elle avait surement besoin d’aide, besoin de moi et comme un idiot fini je l’ai salué et suis parti…Un lâche…Je m’en voudrais toute ma vie…

- « Elle a eu accident au petit matin, un gadjo qui sortait de nulle part avec 4g dans son sang de sanglier, ce n’est pas juste… »
- « Najib merci frérot je te rappelle. »

Tout s’enchaine dans ma tête, Leila est à l’hôpital « Avicennes » il faut que j’aille la voir peu importe sa famille, peu importe le qu’en dira-t-on je suis prêt à braver tous les interdits pour elle…

Je fonce sur ma bécane, je sais qu’il fortement recommandé d’éviter d’enfourcher son deux roues dans ces conditions mais peu importe… Je suis en totale alchimie avec ma moto…Je domine ma monture pour finalement ne faire qu’un avec elle…Tout défile tellement vite un peu comme ma vie ces dernières heures je suis dans un nuage sensationnel ou la chute peut être à tout moment fatale…

J’arrive à l’accueil de l’hôpital avec une certaine appréhension mais je me dois de le faire. Le faire pour elle, pour nous…

- « Bonjour, la chambre de Leila Benseddik s’il vous plait »
- « Monsieur je suis désolé Mlle Benseddik est en réanimation et les visites sont interdites, vous êtes un proche ? »
- « Oui je le suis… »

Je monte au troisième étage, dans le couloir il y a du monde beaucoup de monde. Je suis dans un stress total et finalement je me sens complètement inconscient, complètement fou…Ou je suis fou…Fou d’elle…

Je me dirige vers une dame qui semble être sa maman, une hajja avec une expression de douceur qui me fige sur place, elle a donc héritée ce don magique de sa maman me dis-je…Je raconte tout de notre histoire dans les moindres détails elle m’écoute attentivement sans ciller jusqu’ à me dire.

- « Outroul Wouldi et ne reste pas longtemps »

Me voilà donc face à elle…Elle est si belle avec ces gros cheveux enflés, elle dort elle me semble loin…Je l’aime j’en suis sur… Me voilà donc à lui réciter des versets du Coran je suis ému tellement ému…

Au moment où je commence à psalmodier le verset de la sourate An Anfal : « Les vrais croyants sont ceux dont les cœurs frémissent quand on mentionne Allah. Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi. Et ils placent leur confiance en leur Seigneur.”

Elle ouvre un œil, je lui parle comme si nous nous connaissons depuis des années, le temps s’arrête….
B
16 mars 2016 13:28
Deux plumes, deux styles différents mais tout aussi agréable l'un que l'autre. thumbs up
l
30 mars 2016 21:41
[...] Une sensation étrange me prend. Comment est-ce possible..? Qu'est-ce qui...

- RAHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !

J'ouvre les yeux soudainement.

Je suis entourée... je regarde à gauche, je regarde à droite, tous ont l'air stupéfaits.
Avais-je vraiment crié son nom aux yeux de tous?

Ma mère, mes frères, ma voisine et.. Soufiane, tous me fixent, je préfère refermer les yeux, comment ai-je pu crier son nom?

Le médecin entre alerté par mes frères et il demande à ce petit comité de sortir.
Soufiane est le dernier à quitter la salle mais avant de partir il me laisse une carte "pour que tu te souviennes" dit-il; je me penche difficilement et vois cet as de coeur sur mon drap blanc.

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Je ne savais ce que représentait cet as pour lui jusqu'à ce qu'il me le montre.
A force de méditation j'en ai conclu 2 choses.

L'as, le 1, le seul et l'unique est celui qui sauve, c'est ce qu'il m'avait dit et par les paroles de L'unique je suis revenue à moi-même. Ce qu'il voulait dire c'est qu'il fallait s'accrocher à Allah pour espérer un retour, dans ce jeu de cartes il était le Seul qui aurait pu renverser la situation.

Cependant, en voyant cet as je n'ai pu m'empêcher de penser qu'il s'agissait peut-être d'un élan du coeur. Etait-il la nouvelle carte dans mon jeu ? Soufiane.. Un parfait inconnu. Un inconnu qui se tenait néanmoins à mes côtés alors que celui de qui j'avais crié le prénom n'appartenait plus depuis longtemps à ma vie.
Le jeu était fait mais la partie n'était pas encore arrivée à son terme.
"Ton paradis se trouve à l'intérieur de ta poitrine, là où tu te trouves Il ne te quitte pas."
l
31 mai 2016 13:28
Partie 16 : Un train en cache un autre

J'étais a présent seule sur mon lit blanc et glacé, je repensais à ce que j'avais crié.

Je savais que ce n'était pas vraiment fini au fond, que les choses n'allaient pas en rester là, qu'à un moment ou un autre j'allais être prise de court, mais ce qu'il y avait autrefois au fond de mon Coeur avait disparu et je le savais c'était définitif. J'attendais seulement avec impatiente, comme un spectateur devant une pièce de théâtre, la suite de l'histoire, la prochaine scène, par curiosité, pour égayer mes journées, pour me sentir vivre.
Triste.. Voilà ce à quoi je m'étais réduite pour tuer l'ennui..

Finalement ce Rahim n'avait plus rien d'exceptionnel à mes yeux, plus rien ne me retenait, plus aucune raison n'était assez bonne pour continuer à perdre mon temps; les résultats étaient tombés, le verdict prononcé, l'histoire était scellée.

Mes interrogations étaient aujourd'hui bien différentes. Où allais je trouver une personne au moins équivalente à lui dans toutes les qualités que je lui trouvais et supérieure dans les défauts que je lui avais comptés.

C'était donc vrai..
Le coeur ressent tout dans les moindres détails et il nous inspire ce que l'on appelle communément une intuition.
Le coeur à l'origine est pur, dépourvu de toute souillure et de tous vices, le suivre finalement n'est que justice pour nous même. Mon Coeur avait arrêté ces battements irréguliers et sa course folle, il s'était apaisé mais toujours dans l'espoir de revivre cet état avec la bonne personne.

Soufiane semblait mature, c'était un homme un vrai mais ces années à rigoler futilement et à sympathiser avec le sexe opposé m'avaient fait perdre certaines qualités que j'avais autrefois. Je n'étais peut-être moi-même plus faite pour un véritable homme de ceux que je convoite depuis toujours, je devais me rendre à l'évidence je n'aurais plus maintenant que ce que je mérite.
Soufiane était bon mais je n'étais plus cette personne attirée par ce style de garçons.
Je m'étais rendue compte que je n'étais pas vraiment religieuse j'étais ce que l'on appelle une fille de principes, et ces mêmes principes m'avaient portée toute ma vie, me poussant naturellement vers la religion. Je n'avais ni le comportement d'une religieuse ni sa constance et sa fermeté dans les rites.

Mais ça allait changer...
"Ton paradis se trouve à l'intérieur de ta poitrine, là où tu te trouves Il ne te quitte pas."
l
6 septembre 2016 01:07
Sur le coup, lorsque l'on se détache de celui que l'on pense depuis toujours être le bon c'est comme essayer de diviser en deux une pelote de coton; on tire.. on tire.. mais les filaments peinent à se séparer.

Mais bien souvent ce que l'on pense être de l'amour n'en est pas.

Au-delà de cet amour qui peut unir deux personnes, j'ai appris qu' il existait d'autres formes d'attachement et de sentiments.
J'avais découvert ce qu'était l' affection viscérale et l'hyper empathie avait pris en moi sa forme la plus poussée.
Ce n'était pas l'amour avec un grand A que je ressentais, comme celui qu'une femme aurait envers son mari, cela allait bien plus loin. Je me retrouverais presque totalement en Rahim et paradoxalement l'aider c'était comme me venir en aide à moi-même et entendre ou deviner sa douleur c'était comme réouvrir mes propres cicatrices.

Les discussions que l'on avait eues étaient profondes mais les sentiments que l'on avait bien confus, de part et d'autre. J'avais des fois cette impression de ne pas lui plaire totalement et en même temps je le sentais à des moments presque accro.

Les jours passaient et les mois défilaient à très grande vitesse.
Je savais que ma réponse négative n'allait pas l'arrêter bien qu'hésitant il ne voulait peut-être pas commettre l'erreur de sa vie et se questionner tout au long de celle-ci au sujet de notre histoire.

Ce qui allait suivre allait pourtant bouleversé nos vies.

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27 novembre 2016 :

Je faisais mes bagages, m'apprêtant à partir quelques temps. Mon visage s'était apaisé et le sport m'avait redessinée en l'espace de quelques mois à peine. Mon sourire était à nouveau éclatant mais avant de partir je m'apprêtais à assister au mariage de Nouria, une amie du lycée.

Cette journée était spéciale je le savais et cette nuit promettait d'être festive !

J'allais faire un petit tour dans ma boulangerie favorite histoire d'acheter quelques pâtisseries pour chez moi et pour rattraper le déjeuner que je n'avais pas pu avaler.

- Leila ! Tu vas bien !! Ca fait longtemps que tu n'es plus revenue ici !
- Oh Karim ! Ba écoute je suis là aujourd'hui je vais remplir un peu ta caisse (grand sourire) et puis tu vas m'offrir des malabars comme d'habitude !
- Ba ouii avec plaisir !

(Sentant un pied derrière ma cheville)
- Oups pardon excusez-moi jregarde même pas derrière moi..
-Leila ...
Me retournant le sourire aux lèvres :
...
- Rahim... !
Mon sourire se redessina franchement.
- Oh ! Ca fait longtemps !!! Tu vas bien ? Qu'est-ce que tu deviens ?
- Ba rien de spécial, tu t'en vas là ?
- Oui faut que j'aille ramener ces gâteaux chez moi et ensuite faut que je me prépare à un mariage et toi alors ? t'es revenu du Danemark ?
- Oui jtravaille plus là bas je suis à Dubai maintenant.
- C'est pas vrai ???? T'y es depuis longtemps tu t'y plais?
Bon Karim merci pour tout ça, passe un bonjour à tout le monde de ma part je vais arrêter de crier dans ta boulangerie !
Rahim je t'attends rapidement devant puis après je vais y aller.

Une fois sorti avec sa baguette et demi à la main, il me regarda attentivement pendant une vingtaine de secondes avant de me dire très calmement :
- Jvois que t'as repris du poil de la bête, t'as l'air beaucoup mieux, ya du changement dans ta vie ?
- Oh pas grand chose mais je vais aussi à Dubai dans quelques jours, je vais m'installer là bas quelques temps je pense.
L'air agréablement surpris :
- C'est pas vrai? tu t'es décidée alors finalement!
- Oui bon ba jsuis pas sûre d'y rester mais bon qu ne tente rien n'a rien.. Bon je dois y all...
- Attends Leila, il faut que je te parle s'il te plait.
- Nan stp pas ça, on va pas remettre ça sur le tapis c'est bon on était bien à rigoler là
- Leila stp écoute moi
"Ton paradis se trouve à l'intérieur de ta poitrine, là où tu te trouves Il ne te quitte pas."
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6 septembre 2016 23:25
Alors que je débordais de joie, en l'espace de quelques secondes mon sourire s'effaça lorsque je lu dans ses yeux ce grand vide, le marron clair de son iris laissa transparaître cette tristesse immense et son regard devint d'une profondeur insondable.

Pourquoi me faisait-il cela ...?
Je ne pouvais supporter la douleur d'une autre personne alors même que je venais tout juste de me débarrasser de la mienne, je refusais de porter son fardeau, c'était trop difficile, c'était injuste.

- Leila écoute..
- Mai..
- Pourquoi tu me fais ça ? Pourquoi tu me laisses après m'avoir dit tout ça.. Si tu pensais toutes tes paroles pourquoi est-ce que t'es partie..
Wallah je t'aime Leila et j'aimerais jamais personne comme toi, pourquoi tu m'as rendu comme ça... Je te ferai jamais de mal ce serait comme me faire du mal à moi même, tu seras la seule, l'unique, tu l'as toujours été.
Leila écoute, je sais pas ce que t'attends de moi mais je deviendrai ce que tu veux que je devienne, je serai celui que tu veux que je sois.
Je sais que tu m'aimes et ce qui me rend le plus fou c'est que je t'aime plus encore que tout ce que tu peux imaginer.

Je lisais dans ses yeux une peine que je ne saurais décrire. Est-ce qu'il me voyait comme sa dernière chance de pouvoir être heureux dans cette vie ? Comment pouvait-il miser autant sur moi..
Ce n'est pas de l'amour... Je ne peux pas accepter une telle chose, c'était injuste, est-ce que lui se souciait de mon bonheur à moi ? Continuerais-je à faire des sacrifices tout au long de ma vie ?
Non c'était au dessus de mes forces.
Pour la première fois je le sentais entièrement sincère et à la fois entièrement désespéré.

Il me prit alors la main et me regarda droit dans les yeux en disant avec cette voix basse et légèrement tremblante :
- Leila je t'aime deviens ma femme.
Il mit ma main sur son coeur et enchaina :
- Mon coeur est à toi tout entier et il ne sera jamais à personne d'autre. Tu es ma princesse, mon amie, sois ma femme.

Ses yeux débordaient presque de larmes.
Mais que me faisait-il ? A quoi cela était dû ? Qu'est-ce qui l'animait ? J'aurais voulu rentrer dans sa poitrine par l'air qu'il inspirait pour comprendre ce que réellement je ne saisissais pas.

Bouche bée je le regardais, incapable d'enlever ma main de la sienne.
Je voyais Karim nous observer par la vitrine de la boulangerie et quelques passants curieux s'arrêter non loin.
Il ne semblait se soucier de personne, ses yeux profondément dans les miens, il était comme seul même au milieu de tous.

D'un geste brusque j'enlevai ma main lorsque je repris le dessus sur mes émotions.
- Je peux pas jsuis désolée jpeux pas
- Mais on peut essayer, pourquoi tu ne peux pas, pourquoi tu me fais ça, Leila..
- Arrete..
- Leila...
Il se mit alors à pleurer à chaudes larmes se tenant la tête, se répétant à lui-meme :
"Qu'est ce que j'ai pu bien faire, qu'est ce que j'ai pu bien faire pour mériter tout ca..".
Je me mis alors à penser à ce poème que j'avais écrit quelques temps auparavant..

Les lilas poussent tout autour de moi
Seulement pour me frayer un chemin jusqu'à toi
Une main sur le Coeur l'autre sur la tete
Pieds nus au beau milieu de la rue je me répète
"Qui m'a ensorcelée, qui m'a détournée?"
Ton nom en boucle dans mes pensées
Qui me dira ce qu'est l'amour.. C'est insensé.
Comment ma raison peut elle donc t'aimer
Une main sur le Coeur l'autre sur la tête
Rien ne va je finirai aux oubliettes.


Était-il possible qu'il ressente la même chose que moi ... ?
En le regardant je ne pu moi aussi retenir mes larmes, je lui pris alors la main.
- Je t'aime wallah mais jpeux pas notre avenir n'est pas ensemble..
- Mais qu'est ce que t'en sais putain si t'essayes pas
- Si tu l'avais voulu on aurait été ensemble depuis bien longtemps
- Mais j'étais jeune Leila, j'étais jeune ..
- C'est le destin... (essuyant mes larmes). Je vais partir et toi aussi et tu verras chacun trouvera son chemin.



Modifié 4 fois. Dernière modification le 18/02/17 05:57 par leilamalabarr.
"Ton paradis se trouve à l'intérieur de ta poitrine, là où tu te trouves Il ne te quitte pas."
l
7 septembre 2016 12:19
Jai repris l'histoire mais il faut oublier la partie ou je dis que leila finit mariee avec soufiane ce n'est pas fini ca continue finalement.
"Ton paradis se trouve à l'intérieur de ta poitrine, là où tu te trouves Il ne te quitte pas."
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