Par un frisson léger et presque imperceptible Le corps ressent soudain comme un mal ignoré Qui le ronge et le rend vulnérable et sensible Au charme d'une voix ou d'un nom évoqué, murmuré Puis viennent les envies, les chaleurs, les vertiges Les raisons d'espérer et celles d'avoir mal Les besoins de tendresse enfin qui nous obligent À trouver merveilleux ce qui n'est que banal
Aimer plus que soi-même Aimer sans réfléchir Aimer plus qu'on nous aime Pour mieux se plaindre et mieux souffrir
Le cœur n'est qu'un organe étranger à ces choses Qui ne bat ni plus fort ni plus vite, et pourtant On lui offre une action, on lui donne une prose Et Dieu seul sait pourquoi on le jette en avant, en tremblant L'amour vient-il des yeux, de la peau ou du ventre ? Pour le localiser, c'est difficile en soi C'est comme un tourbillon dont on se veut le centre Et on parle de lui pour mieux parler de soi
Aimer plus que soi-même Aimer sans réfléchir Aimer plus qu'on nous aime Pour mieux se plaindre et mieux souffrir
Et bien que tous nos gestes au fond restent les mêmes On les veut singulier, on les croit différents On se sent libre enfin de n'avoir qu'un problème Que d'aucuns qualifient de simple mal de dent d'un moment Entre nous, l'être aimé n'a que ce qu'on lui prête La grâce qu'on lui loue, la beauté qu'on lui crée Ses formes modelées par nos pensées secrètes Deviennent œuvre d'art qu'un subconscient a fait
Aimer plus que soi-même Aimer sans réfléchir Aimer plus qu'on nous aime Pour mieux se plaindre et mieux souffrir
Au clair de mon âme Au cœur de mon cœur Je cherche la flamme De notre bonheur je sais que nos amours sont mortes Mais je ne veux pas Que le temps déporte Tout de toi et moi
Au clair de mon âme Tout comme un Pierrot Qu'un chagrin désarme Je n'attends qu'un mot Un mot de tes lèvres Un cri de ton cœur Pour chasser ma fièvre Et briser ma peur
Au clair de mon âme Cerné de chagrin Et noyé de larmes Je ne trouve rien Tu le vois, je me meurs ma vie Rallume ton feu Et rends-moi la vie Pour l'amour de Dieu
C'est fini
Je ne peux détacher Mes yeux de ton visage Et ne peux m'empêcher De penser à demain Qui s'annonce déjà Comme un mauvais orage Qui lavera nos rires A l'eau de mon chagrin
J'ai le cœur déchiré Et j'ai mal de comprendre Que les mots que tu dis Veulent tous dire adieu Je regarde sans voir J'écoute sans entendre Le chagrin me surprend Debout silencieux
Je rêve de passé Quand le présent t'emporte Qu'il ne me reste plus Qu'à te serrer la main Je voudrais la garder Mais nos amours sont mortes A deux pas de mon cœur Tu es déjà si loin
C'est fini fini fini fini fini fini fini
Se peut-il qu'un bonheur Qui tenait tant de place Et donnait tant de joie Disparaisse à jamais Effaçant de ta vie Même jusqu'à la trace Du moindre souvenir Que l'amour nous a fait
Je ne sais comment faire Et je ne sais que dire Je veux paraître fort Une dernière fois Les larmes au coin des yeux Je me force à sourire D'un sourire forcé Qui ne te trompe pas
Trop lâche pour mourir Bien qu'effrayé de vivre Je compte sur l'oubli Pour trouver le repos Il faudra m'habituer Dans les années à suivre A des jours sans ta voix A des nuits sans ta peau
C'est fini fini fini fini fini fini fini...
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour C'est fantastique C'est trop compliqué pour Que ça s'explique Ça va, ça vient, ça court C'est lunatique C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux C'est un dilemme Qui pose aux amoureux Plus d'un problème C'est un jeu dangereux Mais quand on aime C'est merveilleux l'amour
Ça crie Ça mène notre vie Sur terre Ça pleure Et ça nous prend des heures Entières Et l'on a beau dire Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts Notre vie change Car on subit sa loi Qu'est un mélange De tourments et de joies Vraiment étrange C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour Qu'on se le dise Ces instants qu'on savoure Et qui nous grisent Dont dépendent nos jours Nous électrisent C'est merveilleux l'amour
Ça vient sans s'annoncer Sans crier gare Un regard, un baiser Hop! ça démarre Le bonheur est lâché Dans la bagarre C'est merveilleux l'amour
Ça vit De rêves et d'ennuis Qui passent C'est fier Ça fait un bruit d'enfer Ça casse Et quoi que l'on pense Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon Il nous entraîne Ça prend des proportions Surhumaines Et qu'on le veuille ou non C'est une chaîne Qui nous tient nuit et jour C'est merveilleux, merveilleux l'amour
Tu t'laisses aller
C'est drôl' c'que t'es drôle à r'garder T'es là, t'attends, tu fais la tête Et moi j'ai envie d'rigoler C'est l'alcool qui monte en ma t^te Tout l'alcool que j'ai pris ce soir Afin d'y puiser le courage De t'avouer que j'en ai marr' De toi et de tes commérages De ton corps qui me laisse sage Et qui m'enlève tout espoir
J'en ai assez faut bien qu'j'te l'dise Tu m'exaspèr's, tu m'tyrannises Je subis ton sal'caractèr' Sans oser dir' que t'exagèr's Oui t'exagèr's, tu l'sais maint'nant Parfois je voudrais t'étrangler Dieu que t'as changé en cinq ans Tu l'laisses aller, Tu l'laisses aller
Ah ! tu es belle à regarder Tes bas tombant sur tes chaussures Et ton vieux peignoir mal fermé Et tes bigoudis quelle allure Je me demande chaque jour Comment as-tu fait pour me plaire Comment ai-j' pu te faire la cour Et t'aliéner ma vie entière Comm' ça tu ressembles à ta mère Qu'a rien pour inspirer l'amour
D'vant mes amis quell' catastroph' Tu m'contredis, tu m'apostrophes Avec ton venin et ta hargne Tu ferais battre des montagnes Ah ! j'ai décroché le gros lot Le jour où je t'ai rencontrée Si tu t'taisais, ce s'rait trop beau Tu l'laisses aller, Tu l'laisses aller
Tu es un'brute et un tyran Tu n'as pas de cœur et pas d'âme Pourtant je pense bien souvent Que malgré tout tu es ma femme Si tu voulais faire un effort Tout pourrait reprendre sa place Pour maigrir fais un peu de sport arranges-toi devant ta glace Accroche un sourire à ta face Maquille ton cœur et ton corps
Au lieu d'penser que j'te déteste Et de me fuir comme la peste Essaie de te montrer gentille Redeviens la petite fille Qui m'a donné tant de bonheur Et parfois comm' par le passé J'aim'rais que tout contre mon cœur
Au clair de mon âme
Au clair de mon âme Au cœur de mon cœur Je cherche la flamme De notre bonheur je sais que nos amours sont mortes Mais je ne veux pas Que le temps déporte Tout de toi et moi
Au clair de mon âme Tout comme un Pierrot Qu'un chagrin désarme Je n'attends qu'un mot Un mot de tes lèvres Un cri de ton cœur Pour chasser ma fièvre Et briser ma peur
Au clair de mon âme Cerné de chagrin Et noyé de larmes Je ne trouve rien Tu le vois, je me meurs ma vie Rallume ton feu Et rends-moi la vie Pour l'amour de Dieu
C'est fini
Je ne peux détacher Mes yeux de ton visage Et ne peux m'empêcher De penser à demain Qui s'annonce déjà Comme un mauvais orage Qui lavera nos rires A l'eau de mon chagrin
J'ai le cœur déchiré Et j'ai mal de comprendre Que les mots que tu dis Veulent tous dire adieu Je regarde sans voir J'écoute sans entendre Le chagrin me surprend Debout silencieux
Je rêve de passé Quand le présent t'emporte Qu'il ne me reste plus Qu'à te serrer la main Je voudrais la garder Mais nos amours sont mortes A deux pas de mon cœur Tu es déjà si loin
C'est fini fini fini fini fini fini fini
Se peut-il qu'un bonheur Qui tenait tant de place Et donnait tant de joie Disparaisse à jamais Effaçant de ta vie Même jusqu'à la trace Du moindre souvenir Que l'amour nous a fait
Je ne sais comment faire Et je ne sais que dire Je veux paraître fort Une dernière fois Les larmes au coin des yeux Je me force à sourire D'un sourire forcé Qui ne te trompe pas
Trop lâche pour mourir Bien qu'effrayé de vivre Je compte sur l'oubli Pour trouver le repos Il faudra m'habituer Dans les années à suivre A des jours sans ta voix A des nuits sans ta peau
C'est fini fini fini fini fini fini fini...
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour C'est fantastique C'est trop compliqué pour Que ça s'explique Ça va, ça vient, ça court C'est lunatique C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux C'est un dilemme Qui pose aux amoureux Plus d'un problème C'est un jeu dangereux Mais quand on aime C'est merveilleux l'amour
Ça crie Ça mène notre vie Sur terre Ça pleure Et ça nous prend des heures Entières Et l'on a beau dire Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts Notre vie change Car on subit sa loi Qu'est un mélange De tourments et de joies Vraiment étrange C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour Qu'on se le dise Ces instants qu'on savoure Et qui nous grisent Dont dépendent nos jours Nous électrisent C'est merveilleux l'amour
Ça vient sans s'annoncer Sans crier gare Un regard, un baiser Hop! ça démarre Le bonheur est lâché Dans la bagarre C'est merveilleux l'amour
Ça vit De rêves et d'ennuis Qui passent C'est fier Ça fait un bruit d'enfer Ça casse Et quoi que l'on pense Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon Il nous entraîne Ça prend des proportions Surhumaines Et qu'on le veuille ou non C'est une chaîne Qui nous tient nuit et jour C'est merveilleux, merveilleux l'amour
Tu t'laisses aller
C'est drôl' c'que t'es drôle à r'garder T'es là, t'attends, tu fais la tête Et moi j'ai envie d'rigoler C'est l'alcool qui monte en ma t^te Tout l'alcool que j'ai pris ce soir Afin d'y puiser le courage De t'avouer que j'en ai marr' De toi et de tes commérages De ton corps qui me laisse sage Et qui m'enlève tout espoir
J'en ai assez faut bien qu'j'te l'dise Tu m'exaspèr's, tu m'tyrannises Je subis ton sal'caractèr' Sans oser dir' que t'exagèr's Oui t'exagèr's, tu l'sais maint'nant Parfois je voudrais t'étrangler Dieu que t'as changé en cinq ans Tu l'laisses aller, Tu l'laisses aller
Ah ! tu es belle à regarder Tes bas tombant sur tes chaussures Et ton vieux peignoir mal fermé Et tes bigoudis quelle allure Je me demande chaque jour Comment as-tu fait pour me plaire Comment ai-j' pu te faire la cour Et t'aliéner ma vie entière Comm' ça tu ressembles à ta mère Qu'a rien pour inspirer l'amour
D'vant mes amis quell' catastroph' Tu m'contredis, tu m'apostrophes Avec ton venin et ta hargne Tu ferais battre des montagnes Ah ! j'ai décroché le gros lot Le jour où je t'ai rencontrée Si tu t'taisais, ce s'rait trop beau Tu l'laisses aller, Tu l'laisses aller
Tu es un'brute et un tyran Tu n'as pas de cœur et pas d'âme Pourtant je pense bien souvent Que malgré tout tu es ma femme Si tu voulais faire un effort Tout pourrait reprendre sa place Pour maigrir fais un peu de sport arranges-toi devant ta glace Accroche un sourire à ta face Maquille ton cœur et ton corps
Au lieu d'penser que j'te déteste Et de me fuir comme la peste Essaie de te montrer gentille Redeviens la petite fille Qui m'a donné tant de bonheur Et parfois comm' par le passé J'aim'rais que tout contre mon cœur
Je t'aime tant Peut-être maladroitement Mais sans détour Comme peu aimer un enfant Tremblant d'amour
Je t'aime tant d'un amour pu et merveilleux Éperdument Aveuglément comme un croyant Peu aimer Dieu Je t'aime tant
Ton amour est une île Inconnue et sauvage Où mon cœur en péril Chaque jour fait naufrage Terre Où ton seul nom Est ma frontière Et ma prison
Je t'aime tant Et quand mes yeux plongent en tes yeux Tendres et profonds J'ai le vertige et je n'en peux Toucher le fond
Je t'aime tant D'un amour pu et merveilleux Éperdument Aveuglément comme un croyant Peu aimer Dieu Je t'aime tant
Avec mes paradis Mes enfers dans ma tête Je chevauche les nuits Debout sur mes tempêtes Ivre Pour à tes pieds Mourir de vivre Vivre d'aimer
Je t'aime tant Et je suis prêt à affronter Dans ma folie Tous les hasards, tous les dangers Comme un défi
Je t'aime tant D'un amour pu et merveilleux Éperdument Aveuglément comme un croyant Peu aimer Dieu Je t'aime tant
Je t'aime tant D'un amour pu et merveilleux Éperdument Aveuglément comme un croyant Peu aimer Dieu Je t'aime tant
Je t'aime comme ça
Tu es toute ma vie Je ne sais pas pourquoi Tu n'es pas très jolie Mais je t'aime comme ça Tes joies sont enfantines Tes gestes maladroits T'as l'air d'une gamine Mais je t'aime comme ça Tu cries sans raison Tu mens avec aplomb Et me donnes des noms Insensés Qui font rire mes amis Et lorsque je te dis Que tout cela un jour doit changer Tu te mets à pleurer Moi pour te consoler
Dans mes bras je t'emporte Et blottie contre moi C'est bien toi la plus forte Mais je t'aime comme ça Mes yeux sont pleins de larmes Comment expliquer ça Tout en toi me désarme Mais je t'aime comme ça Tu as des défauts Souvent tu parles trop Et quand je suis par trop Excédé Je m'écrie ça suffit Mais lorsque tu souris Avec un regard désemparé Devant ton air perdu Je me sens tout ému
Tu es toute ma vie Je ne sais pas pourquoi Tu n'es pas très jolie
Nous représentions pour beaucoup L'image d'un couple solide L'exemple à désigner du doigt Jusqu'au jour où rentrant chez nous J'ai trouvé l'appartement vide Cela ne te ressemblais pas Je n'aurais pas cru ça de toi
Placards béants, tiroirs vidés C'est fou ce que le cœur encaisse Quand le bonheur vole en éclats Hier encore tu jurais m'aimer Et tu pars sans laisser d'adresse Sans un mot griffonné, pourquoi ? Je n'aurais pas cru ça de toi
Je n'aurais pas cru ça de toi Moi pauvre fou qui prétendais Que rien au monde ne pourrait Briser un couple, comme le nôtre Et muré dans mon désarroi Je comprends que ces chose-là Hélas ! n'arrivent pas qu'aux autres
On ne peux tomber de plus haut Tout ce brouille en moi quand je songe Que l'amour s'est joué de moi Tes serments n'étais que des mots Sous lesquels filtraient tes mensonges Que tu distillais de sang-froid Je n'aurais pas cru ça de toi
Trois jours sans dormir ni manger J'ai relancé crevant d'angoisse Hôpitaux et commissariats Et puis j'ai dû me résigner A voir la vérité en face Tu m'avais rayé d'une croix Je n'aurais pas cru ça de toi
Sans réfléchir j'ai allumé Cigarette après cigarette Bien qu'ayant banni le tabac Mais que m'importe ma santé Le ciel me tombait sur la tête Le sol s'écroulait sous mes pas Je n'aurais pas cru ça de toi
Je n'aurais pas cru ça de toi J'avais confiance et rien de plus Personne au monde n'aurait pu Semer le doute la dans mon âme Ma tête sous le couperet J'aurais juré que tu étais Différentes des autre femmes
Si par bonheur tu revenais Je n'en crois rien mais qui peut dire Je saurais étouffer en moi Les voix du mal que tu m'as fait Mais dans mes yeux tu pourras lire Sur fond de détresse et de joie Tu vois, je n'aurais pas cru ça de toi
Sur ma vie
Sur ma vie je t'ai juré un jour De t'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours Et le même mot Devait très bientôt Nous unir devant Dieu et les hommes
Sur ma vie je t'ai fait le serment Que ce lien tiendrait jusqu'à la fin des temps Ainsi nous vivions Ivres de passion Et mon cœur voulait t'offrir mon nom
Près des orgues qui chantaient Face à Dieu qui priait Heureux je t'attendais Mais les orgues se sont tues Et Dieu a disparu Car tu n'es pas venue
Su ma vie j'ai juré que mon cœur Ne battrait jamais pour aucun autre cœur Et tout est perdu Car il ne bat plus Mais il pleure mon amour déçu
Sur ma vie je t'ai juré un jour De t'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours Et même à présent Je tiendrai serment Malgré tout le mal que tu m'as fait Sur ma vie Chérie Je t'attendrai
hakim075 a écrit: ------------------------------------------------------- > mar_1........nou nou nouuuuuu celle là je peux me > reveiller à 3 heures du mat pour aller lui acheter > des cerises à -20 degré dehors
ah oui ? et avec moi tu tleves meme pas à 20h me faire un thé awili ces hommes !!!
hakim075 a écrit: ------------------------------------------------------- > titi, wa c'est alicia kays, excuse moi, c'est pas > toi qui me chante des berceuses pour > dormir..........
ben jpeux essayer de te faire ecouter de la bonne musik, jai acheté une nlle scie electrik, jte ferais ecouter juste avt q tu tendorme
hakim075 a écrit: ------------------------------------------------------- > titi mdr psychopate vaaaaaa => wééééééééééééééé > > mar_1...lâche l'affaire, elle est raide dingue de > moiiiiiiii, il faut juste qu'elle me rencontre => c ça ben qd jlé vu à son dernier concert elle ma pas parlé de toi !