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mag3 a écrit:
Bonjour Talfit,
Moi aussi je connais les Marocains et je t'assure que l'expérience dont tu parles je l'ai déjà vu dans l'oriental. L'on distribuait aux nécessiteux de la farine et de l'huile venus directement des États-Unis. Résultats des courses, une partie était volée par KROUCH LAHRAM, une autre partie était vendus dans le commerce parcde que les nécessiteux voulaient de l'argent et avaient marre de la farine et de l'huile.
Un autre exemple, mais algérien celui-là. Boukharrouba distribuait une certaine somme mensuelle aux femmes de Martyrs, tout le monde est devenu Martyr mais personne ne voulait travailler la terre alors que le colon ramassait de cette même terre ce que jamais l'Afrique du Nord n'avait donné.
Je comprends ce que tu dis, je suis d'accord avec toi mais j'ai peur d'apprendre au Marocain une nouvelle habitude TENDRE LA MAIN ! C'est pour cela que je préfère lui apprendre à travailler pour se nourrir.
mag3
Aussi, c'est une bonne tradition qu'on retrouve dans les pays où il y'a des communautés musulmanes...Citation
azl95 a écrit:
J’ai été attiré au coin dans une rue de CASA de voir un attroupement autour d’un CAFE, des jeunes et des moins jeunes, prenaient place calmement autour d’un ftour garni en attendant sagement l’heure de l’Iftar.
C’est une vision des plus banales à Casablanca durant ce mois de Ramadan mais mon regard se glissa vers une grande pancarte blanche sur laquelle était écrit en rouge et en gros.
ICI ON FAIT AL FOUTOUR ;
Rien d’extraordinaire jusqu’à maintenant mais je me décidais de lire jusqu’au bout et la je vis clairement : GRATUITEMENT
Et oui : ICI ON FAIT AL FOUTOUR GRATUITEMENT.
Tout un CAFE qui ouvre spécifiquement, qui mobilise tous ses cuisiniers, ses serveurs pour préparer un ftour complet et le servir gratuitement et dans la bonne humeur…
Merci mon dieu de faire en sorte pour que des citoyens honnêtes et généreux existent encore dans mon pays.
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azl95 a écrit:
dans les centres d'appel au Maroc , les entreprises offrent al foutour aux employés qui travaillent au moment de la rupture.