J'aimerai savoir si au Maroc ces maladies existent, si oui, pourquoi personne n'en parle. Il n'y a pas de honte, c'est une maladie comme les autres et qui se soigne.
Je me permets d'ouvrir ce sujet aux personnes qui souhaitent en parler
Je vous demande du courage, vous pouvez y arrivez.
c'est considéré comme hchouma parce que on ne prete pas attention aux etats d'ames, une severe deprime peu mené à la mort alors que l'on peut guerri de certains cancers mais pourtant certains ne le comprennent pas , faire evoluer les mentalités c'est tres ou même trop compliqué!!
apparemment personne n'apprecie ce sujet, et pourtant nous avons les mêmes pourcentages de personnes atteintes qu'en Europe et même plus selon de études sur les differentes depressions
J'attend toujours ces personnes qui ne veulent pas prendre leur courage à 2 mains et preferent soufrir que de guerir.
c vrai que les tabou peuvent gacher notre vie, j'avais deja posé mon bleme sur le forum, vs vs rappelez? alors; par ce que j'ai honte de ma phobie j'ai parlé a personne de ma souffrance, j'ai meme pas osé consulter un sexologue. les vacances sont fini, la semaine prochaine je reprend le travail et j'ai pa encore reglé mon probleme par ce que c hchouma da parler de son intime
Bonjour Hichou: Je te rapporte un petit pan de mon vécu. Je suis à la base d'une nature assez anxieuse et introvertie, mais je n'ai jamais versé dans la panique...jusqu'a il y a prés de deux ans mtn. J'etais alors mariée, aux prises de problémes permanents et d'une pression croissante. J'etais également à un tournant de ma vie professionnel, et ces amas d'événements m'avait amené a craquer, un jour. C'est la ou j'ai eu une attaque de panique. Un matin, les idées se sont bousculées dans ma tete, ma vie me semblait tout d'un coup etre un échec complet, je me voyais dans l'impasse. Dans les faits, cette panique s'est manifesté mar une sorte d'asphyxie, d'affolement, des palpitations, des sueurs profuses. Je me suis retrouvée accrochée a la fenetre, les yeux exorbités, et si ce n'etait mon attachement a ma famille et un reste de foi profonde, j'aurais sauté, tant cette panique nous prend au cou. Mon ex-mari, n'avait rien compris, et avait pris cela pour une crise d'hystérie typiquement féminine. Alors qu'il s'agissait bien d'un signal d'alarme que mon corps m'envoyait. Je garde un souvenir douloureux de cet épisode. Etant du milieu, je sais que par la suite, il s'installe la phobie d'une éventuelle nouvelle attaque. Heureusement, ayant remédié a la cause de l'unique attaque de panique que j'avais vécu, je n'ai pas eu a souffrir d'autres. Le fon anxieux est tjs la, j'apprends a faire avec. Je pense a prendre des cours de yoga pour apprendre a relativiser et me calmer. Donc, voici mon témoignage. J'espére t'avoir aidé.
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