Telle une tragédie grecque, l’épée de Damoclès s’est abattue sur Hajar et son fiancé écopant d’un an de prison ferme, deux ans pour le médecin et du sursis pour l’anesthésiste et l’assistante. Autant de vies sous l’emprise des machoires d’un titan.
Un peu plus d’un mois après l’affaire de la tangéroise Safae et trois mois après le suicide d’Amina Filali (cf notre article), une nouvelle jeune fille est forcée d'épouser son violeur à Salé pour éviter la «hchouma». Une affaire que suit de près l’antenne de l’AMDH à Salé.
Hajar Smouni, chercheur marocaine au Centre de Doha pour la liberté d'information a été empêchée momentanément de quitter le Qatar, le mardi 24 mars selon un communiqué du Centre dirigé par Robert Ménard, ancien secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF).