Le correspondant de l'AFP au Maroc n'a pas été le seul à avoir été tabassé par les forces de l’ordre lors de la dispersion, mercredi, d’une manifestation des opposants à la cérémonie d’allégeance au roi. Des photographes et des journalistes travaillant pour des journaux marocains ont subi le même sort mais eux n’ont eu droit aux excuses du ministre de la Communication.
Jamais un acte d’allégeance du chef du gouvernement au roi, n’a été autant au cœur d’un débat que cette année, au Maroc. Religieux et membres du Mouvement du 20 février n'ont pas hésité un instant à monter sur l’arbre de la polémique. La position d'Abdelilah Benkirane, chef du gouvernement, sera également très suivie au cours de cet évènement puisque qu’il avait