En 1998, Abderrahman El Youssoufi avait décrété une amnistie fiscale au profit des sociétés marocaines peu conformes avec la loi. En 2014, Abdelilah Benkirane promet une amnistie aux auteurs de détournement d’argent. C’est la première mise en application de son appel, en 2012, aux fraudeurs pour tourner la page et oublier le passé.
Sans contestation, le passage de Benkirane, hier, au parlement a ravi la vedette aux programmes des télés marocaines. Le one man show, gratuit, du chef de gouvernement a éclipsé les sitcoms produites à coup de millions de dh pour la grille de ramadan. Récit des moments phares.