Une étude publiée début décembre montre que les Algériens et les Marocains de France s’engagent quasiment autant les uns que les autres dans la sphère publique de leur pays d’origine, mais les Algériens choisissent la voie politique, tandis que les Marocains ont optés pour l’associatif, faute d’obtenir droit de vote et éligibilité au Parlement marocain.