Plusieurs sources ont tari à Figuig, contraignant les agriculteurs de l’oasis à abandonner plusieurs cultures pour préserver le palmier. L’agriculture vivrière et la qualité des dattes en pâtissent par conséquence.
Le baisse continue du niveau des eaux souterraines de la zone El-Arja n’empêche pas le développement les plantations phoénicicoles. Un phénomène qui se produit dans l’oasis de Figuig et aux confins de la province qui porte le même nom, interpellant sur la durabilité de cette pratique agricole ancestrale.
Les sources souterraines enregistrent un tarissement inouï à Figuig, ce qui ébranle l’ordre agricultural établi depuis des siècles. Ce tarissement, qui touche les nappes à la base,et qui n’est pas pris en compte par les nouveaux agriculteurs investisseurs, affecte fortement la gestion de l’eau, le palmier dattier et la vie nomade. Reportage.
Si plusieurs centres urbains au Maroc ont été affligés par la pandémie, Figuig est habituée à l’isolement et au confinement géographique. Sous-peuplée et enclavée, elle possède cependant plusieurs atouts culturels et historiques. Reportage.