Bien qu’il y ait une «prise de conscience par les autorités des manifestations de dégradation» de la situation des oasis au Maroc, la volonté de transformer ces oasis en zones agricoles fortes menacerait l’écosystème, alors que l’eau se raréfie, indique une récente étude de MIPA.
Si les grandes villes telles que Casablanca ou Marrakech sont relativement épargnées, c’est bien le sud du pays qui subit les conséquences de cette pénurie. Économie, éducation, santé, environnement… Les conséquences du manque d’accès à l’eau et aux services essentiels comme l’hygiène ou l’assainissement sont nombreuses.