Dans la dixième partie de cette série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous nous penchons sur la réaction du Protectorat après le début des opérations du 2 octobre 1955. Entre confusion et brutalité, les Français se rabattèrent sur les civils, incendiant maisons et biens au passage.
Dans ce neuvième volet de notre série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous nous intéressons aux réactions des forces coloniales françaises après le lancement des opérations du 2 octobre 1955. A Gueznaya, des maisons furent incendiées, poussant les habitants de villages entiers à fuir vers les zones d’influence espagnole.
Dans le huitième épisode de cette série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous revenons au lancement de la guerre de libération marocaine pour l’indépendance, le 2 octobre 1955 à une heure du matin. Nous revenons également sur les cibles de le bilan de cette offensive.
Dans cet épisode, nous aborderons les circonstances liées à l’opération menée le 2 octobre 1955 et les faits relatifs à la période ayant suivi les négociations à Aix-les-Bains entre les autorités coloniales françaises et les partis marocains. Nous aborderons aussi la tentative de la France d’entraver le lancement de l’armée de libération marocaine.
Dans cet épisode, nous nous intéressons aux événements historiques qui s’enchaînèrent peu avant le début des batailles de l’armée de libération (2 octobre 1955).
Se fournir en armement ne fut pas des tâches les plus aisées pour l’armée de libération marocaine. En effet, ses cellules veillaient à tenir secrètes leurs actions, d’autant plus que ses membres tentaient d’obtenir le matériel nécessaire sans être soupçonnés de rouler pour les communistes et le bloc de l’Est.
Dans cette quatrième partie, nous revenons sur le début de la formation des cellules de l’Armée de libération dans le «Triangle de la mort», à Mermoucha ainsi que dans d’autres régions. Nous ferons aussi le point sur le rôle prépondérant de plusieurs personnalités dans ce processus dont Ali Boutaher Akdad et Abbas El Messaâdi.
À la fin des années 1940 et au début des années 1950, certains membres de la résistance étaient convaincus de l’échec de l’action politique. Face à la situation difficile de la résistance dans les villes, ils décident de transférer leurs opérations dans la campagne, notamment au nord du Maroc, et de lancer une nouvelle phase d’action armée, au grand dam de l’opposition des partis
Dans le second épisode de cette série historique, nous évoquons le rôle de Mohamed ben Abdelkrim el-Khattabi dans la genèse de l’Armée de libération marocaine, ainsi que les divergences entre lui et les représentants des partis politiques marocains dans le cadre du Comité de libération du Maghreb arabe.