Tout en assurant que «la vie privée des gens est sacrée», Abdellatif Ouahbi a annoncé des peines «sévères» contre la diffamation sur les réseaux sociaux par des non-journalistes, qui seront poursuivis par le Code pénal.
Alors que la justice française a examiné, mardi, les plaintes déposées par le Maroc à travers son ambassade à Paris contre plusieurs médias de l’Hexagone, cette affaire de soupçons de diffamation à la suite des révélations sur l’utilisation présumée de Pegasus par le royaume s’est invitée au parlement.
A travers son ambassadeur à Paris, le Maroc a saisi la justice française en portant plainte pour diffamation contre le journal L’Humanité, auprès du tribunal correctionnel de Paris. Par le biais de l’avocat Olivier Baratelli, le royaume a demandé des dommages et intérêts pour les préjudices subis.