Le PJD a du mal à accepter la mise à l’écart du maire de Rabat de la prière du vendredi accomplie par le roi Mohammed VI. Mais ce genre de sanction n’est pas inédit. D’autres élus locaux à Tanger, Fès, Agadir et Casablanca avaient été la cible de la colère royale avant l’actuel maire de la capitale.
Le maire de Tanger, Fouad El Omari, a été écarté de la cérémonie de lancement, par le roi Mohammed, de nouveaux projets. Un message indirect envoyé au ministère de l’Intérieur pour agir à l’encontre des mauvais gestionnaires de la chose publique. Toutefois, les responsables des grandes villes, comme la capitale du Détroit ou Casablanca échappent, pour le moment, aux sanctions de la tutelle.