Du nouveau dans l’affaire du refus de prénom au consulat du Maroc à Pontoise. Après plus d’un mois d’attente, le consulat fait savoir à la jeune maman MRE que le prénom de son enfant – Rawane – a été rejeté par la Haute commission de l’état civil relevant du ministère de l’Intérieur au Maroc. Cependant, ladite commission ne s’est pas encore réunie et n’a
Le choix du prénom du nouveau-né n’est pas toujours un exercice facile pour les parents marocains, qu'ils soient résidant au royaume ou surtout à l’étranger. Plusieurs sont parfois confrontés à des refus de prénoms par les agents de l’état civil pour une raison ou pour une autre. C’était d’ailleurs tout récemment le cas de Sara Louazzani, une MRE de France. Après un entretien avec
Notre article – paru jeudi 12 décembre - sur la MRE de Pontoise qui n’arrive pas à enregistrer son bébé au consulat de Pontoise a suscité plusieurs réactions. Si certains internautes se sont souvenus des déboires similaires vécus, le consulat estime que la MRE en question - Sara Louazzani - n’a pas dit toute la vérité. Le consul et son adjointe estiment avoir fait leur part en se conformant à la liste
Sara Louazzani et son époux ne savent plus où donner de la tête. Tous deux de nationalité Marocaine, ils prévoient depuis la naissance de leur petite fille - fin août dernier- un voyage au Maroc pour présenter le fruit de leur amour à leurs parents restés au pays. Difficile pour eux, cependant, d’établir le passeport du nouveau-né. Et pour cause, son prénom – Rawane - ne serait pas sur la liste,
Anir, Sifaw, Tifawt, Thiyya ou Bahac, sont là quelques uns des nombreux prénoms amazighs (cf liste prénoms amazighs) désormais reconnus et autorisés au Maroc. Hier, le royaume a fait passer une circulaire, envoyée à tous les bureaux d’état civil du pays et à l’étranger, leur ordonnant d’accepter les prénoms amazighs. Une circulaire qui signe la fin d’une discrimination subie depuis des
Bien que sa langue ait été consacrée par la Nouvelle Constitution, la culture Amazighe n’en demeure pas moins toujours considérée comme une sous-culture au Maroc. Pour preuve, les bureaux d’états civils marocains, qui prétextent l’existence d’une «liste des prénoms approuvée» établie par le ministère de l’Intérieur, refusent encore à ce jour d’enregistrer de
Le e-gouvernement réalise la mise en place de 89 téléservices d’ici 2013. En 2010, 25 projets étaient opérationnels dont 6 des 15 projets phares. Le comité interministériel pour la mise en place de ses téléservices, présidé par le Ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, espère mettre en place 15 nouveaux portails d’ici la fin de l’année. Omar Lamrini,